Pause ... municipale
… sans doute la seule option pour d’ajouter aux malheurs du monde.
La futilité des déconvenues vésigondines relègue au plus loin de l’arrière plan les commentaires acerbes qu’en temps normal la fatuité du paltoquet et de ses coéquipiers nourriraient jusqu’à satiété.
Quant à poursuivre le « foutriquet », sobriquet dont Michel Onfray affuble le président, de mes assiduités, j’en conçois et l’inanité et l’indécence. La dolence du temps n’incite ni à l’ironie ni à la dérision. N’étant pas équipé pour la complaisance et farouchement hostile à ce que la bien-pensance exigerait, une communion nationale derrière un autocrate équivoque dont je désapprouve la posture, faudrait-il que je dépose ma plume …
… et laisse à la pâle-toquée vésigondine le soin d’encenser le candidat président et vice versa avec l’idolâtrie que ce politicien hybride suscite chez 28% des sondés ?
La capacité de faire valoir une opinion non alignée face au rouleau compresseur de la propagande officielle est obérée par le déferlement calculé de l’émotionnel d’ État dont Macron et ses agents sont passés grand maître, espérant annihiler chez beaucoup l’accès à la raison.
Mais le sens commun que je partage avec beaucoup d’entre vous permet une lecture critique des affirmations et contre affirmations officielles, aussi vais-je continuer à prendre parti.
Au risque de froisser la pale-toquée !
Le Huron
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