Le HURON

C’est comme le verre, à moitié plein, à moitié vide. Cora attire la lumière en ouvrant une promenade « historique » (sic) entre la gare du Pecq et la maison des aiguilleurs … !   Les Vésigondins de souche se tordent déjà de rire. Reboucher l’immonde terre plein de la place du marché est hors de ses compétences alors pour les ballades   bucoliques on préférera celles qu’il n’a pas encore saccagées et où l’on peut déambuler sans risquer tomber sur des panneaux danger de mort (angle avenue du grand Veneur et avenue de Musset)   masqués par les herbes folles. La connerie des bobos-écolos est définitivement sans limite. Ridiculisé par Montesson qui lance un vaste projet sportif avec en prime une offre « paddel », concurrencé par Croissy qui ouvre une vraie maison médicale et déploie un centre commercial aux portes du parc princesse Cora ressemble à un animal ébahi par le panache des trains. Le monde bouge et Cora solitaire fait du sur place. Dépassé dans tous les domaines, sauf cel

Dans les campagnes, autour des ronds-points, dans les villes défilent   les bataillons de réactionnaires. Scandant « Maréchal, nous voilà ! » on en dénombrait plus de 16.000 ce week-end aux portes de Chartres …  Le retour de l’ile d’Yeu menace la paix civile. Sentinelle haut perchée Braun-Pivet pour montrer la gravité de la situation intervient sur les antennes de la télévision de l’État français avec les accents qui préludent aux cataclysmes. Que Borne instrumentalise son refoulé personnel devrait la disqualifier pour conduire les affaires du pays. Traiter de pétainistes les 46% du corps électoral qui ont voté Le Pen relève du manichéisme qui prolifère chez les autocrates. Alors Braun-Pivet s’est saisie du premier crachoir venu pour faire entendre sa partition, elle qui en connait un rayon sur le pétainisme. " Évidemment, lorsque l'on regarde l'histoire du RN, on a des affinités"   … a-t-elle déclarée péremptoire. Comprenne qui pourra cette phrase qui n’a gu

15.000 balles net par mois, chauffée, logée, véhiculée, gardiennée la haut Perchée se vante de mériter ses émoluments … ! Les étudiants n’en reviennent pas. ! La France d’en haut se gausse, les Tavarez, et   autres CEO de Total gagnent plus en une journée, les Pinault, Arnault ignorent ce niveau de mitraille que le moins performant de leur manager encaisse chaque mois. A charge pour eux d’assurer la survie d’entreprises qui pèsent des centaines de milliers d’emplois, dont la moindre sortie de route est une catastrophe collective … qui se souvient de Péchiney, de Framatome … ? Leur parvenue au sommet n’est pas fille de copinage, leur maintient à ce niveau est la sanction d’une succession de paris aussi risqués que réussis. Il n’empêche que nul ne saura jamais ce qu’il serait advenu de leurs entreprises confiées à un tiers … ce qui autorise la critique sur l’irrationalité des montants octroyés. Braun–Pivet se vante devant des étudiants de mériter son train de vie royal, pharaonique a

21h 15, installée depuis quelques minutes en salle du Conseil municipal, occupée à tapoter ses mails, Braun-Pivet sursaute à la vibration de son portable. Un nom s’affiche qu’elle tente de dérober à la vue de ses voisins et s’éclipse quelques brèves minutes. Sonnée, livide elle retrouve son siège, et n’interviendra sur aucune des délibérations restantes. Un nom circule sur toutes les lèvres : celui du patron ! L’appel a été bref, cinglant … meurtrier! On tient tête au président ou on se couche comme un rampant. Braun-Pivet avait quelques secondes   pour choisir son camp. Un délai suffisant quand on a la stature d’une femme d’État. Il lui suffisait de rappeler au président que la démocratie c’est le respect des principes républicains, et qu’elle ne reviendrait pas sur son choix de ne pas faire obstruction à loi LIOT. Une minute qui fait la femme d’État ou confirme le statut d’assistante servile de la macronie, prise en flagrant délit de félonie. Autant dire une mort sure progra

Trop c’est   trop ! La gosse de riches commence à les saouler grave avec ses lubies et sa prétention à détenir le vrai en démocratie. Mettre un scrupule dans la spartiate des marcheurs est le cadeau de trop fait aux adversaires du projet de retraite à 64 ans. En refusant de déclarer irrecevable la proposition de loi susceptible d’être votée le 8 juin, Braun-Pivet déterre la hache de guerre et pas sûr que la macronie lui réserve une standing ovation pour cette acte de félonie. Sans bréviaire ni catéchisme, sans apôtres ni disciples, hormis un quarteron d’affidés payés par nos impôts, grisée par une trajectoire aussi improbable que météorique la diva du perchoir se rêve en recours quand l’hallali populaire aura épuisé un Macron moribond. D’ici là il lui faut exister. Ce ne sont ni ses idées ni ses projets qui peuvent nourrir des débats ailleurs qu’au café du commerce alors elle accélère dans l’impertinence, la surenchère, si ce n’est dans la trahison. C’est la lecture par les «

Sa disparition semble saugrenue tant il participait au paysage politique de notre grande voisine depuis un bail. Il prit le canton sous sa coupe quand le Vésinet entama son déclin et sut le faire sentir aux successeurs d’Alain Jonemann.   Il eut l’indélicatesse d’offrir un strapontin à la bru du patriarche du CNPF … MAG pour les intimes ! Fier et et entêté Jean-François comme l’appelait ses contradicteurs avait du devenir de sa ville-à-la-campagne une idée bien arrêtée : jamais une autoroute ne déverserait son flux de berlines entre ses champs de poireaux et de salades, dusse le ciel lui tomber sur la tête. Jacques Myard tenta de le circonvenir et en fut pour ses frais. Il réussit à sanctuariser les centaines d’hectares bordant l’A14 pour venir planter ses pavillons à deux balles aux marches du Vésinet,   offrant à leurs jeunes cadres d’autres issues que la voirie désuète de la ville-parc, l’accès autoroutier leur étant interdit. Le psychodrame de la ligne 19 puis celui du chemi

D’où vient cette charge brutale, tonitruante, insupportable contre la clé de voute de nos institutions ? De la gauche, d’insoumis, de révolutionnaires suite à la condamnation d’un parangon de la révolte permanente genre Mélenchon ? Que non, la diatribe qui vise le gratin des juges – les petits pois comme les appelait le Voyou de la république   -   est portée sur tous les plateaux par les plus exigeants des légalistes, les défenseurs de l’ordre régalien, les contempteurs du laxisme de la justice. Les ennemis jurés des Moretti et autres Dupont la joie. Ont-ils retourné leur veste,   ont-ils fait un pèlerinage sur le chemin de Damas, ces artificiers dont la violence des propos masque mal l’inanité du procès. Le Voyou condamné pour des pratiques habituelles chez les maffieux rejoint son ami le Nanard déjà mis au tapis par une Justice enfin résolue à ne plus respecter l’adage du fabuliste. «  Que vous soyez puissant ou misérable … » Sauvé par un artifice de procédure dans l’affa

Prenez un projet, confiez le à Cora, vous connaissez déjà le résultat : le lac ( photo ci dessous)  Rien ne résiste aux casseurs du château. Les destructeurs patentés réussissent à défaire ce que des générations d’élus avaient patiemment tissé à commencer par l’art de vivre au Vésinet ! Aucun acquis à poster à l’actif du bilan, oubliée la croisade anti-mégots où la progéniture de la haut perchée s’était illustrée. Depuis qu’elle a émigré à l’hôtel de Lassay les mégots sont cachés à la vue des   administrés,  recouverts d’herbes folles ou de déjections canines ! Denier bide connu, le padel dont le maire se vantait en CM qu’il verrait le jour cette année, promis, juré, craché ! Les promesses et les mensonges proférés depuis le début de la mandature rempliraient un cahier à spirales. L'A O C de "Cora le menteur" a été délivrée par le président du T A dans l'affaire de l'ilot des courses ... la honte ! Le maire incapable d’entretenir des relations cordiales av

Il aura fallu qu’une violence imbécile frappe une pièce de sa famille pour que Macron sorte de sa torpeur. Découvrant que même hyper protégés les siens n’étaient pas à l’abri, il a trouvé des accents grandiloquents pour fustiger les coupables et vanter la protection de la "famille". Pourtant combien de familles, combien d’innocents sont les victimes quotidiennes d’actes tout aussi violents, voire carrément mortels sans que le Monarque ne s’inquiète du sort infligé à ses sujets. N’est ce pas un ressort politique bien connu des gouvernants que laisser la chienlit s’installer espérant nourrir le réflexe sécuritaire de la population ? Toute la séquence « retraite » s’est nourrie de cette hypothèse et le laxisme qui permet aux blacks blocks de perdurer s’est inscrit dans la perspective d’un retournement de l’opinion. Les appels à la violence et la dépénalisation des délinquants clamés par les élus de LFI n’ont à ce jour reçu aucune sanction, ils sont même proférés au parl

Qu’attend l’USV pour proposer une nouvelle activité : le cirage de pompes et le lustrage des bottines des gugusses de la bande à Cora ? Sa subvention vient d'être sucrée comme l'écrit un brin flegmatique son président. (cf ci contre) Seule l’asso qui se compromet dans cette double activité a vu sa subvention doubler … Il y a bien des voyages qu’il faut financer. Et la présence d’un Européiste convaincu n’a pas de prix pourvu qu'à la sortie de la grand Messe il contribue grassement à la quête. La star des hypocrites a oublié de financer le nettoyage des chenaux de Ste Marguerite au grand dam des bons pères qui voient l’eau des gargouilles se mixer au vin de Maetz ! La copine haut perchée pardonnera de perdre quelques ouailles au centre du village, tellement de voilées débarquent sur le secteur république que même les forains en sont consternés. Mais les voilées savent pour qui voter, la oumma vient de progresser en terre impie avec son emprise sur les marches du Vésine

Elle est loin l’Occupation, qu’évoquait avec des trémolos dans la voix le Président dans l’enceinte du fort Montluc, avec son cortège de lâchetés, de bassesses et de criminelles complicités.    Moulin en   figure de proue d’une France éternelle.   Merci   à Malraux d’avoir fabriqué le mythe d’un résistant d’airain lavé de toute compromission avec le Satan américain.   Facile aujourd’hui de séparer le bon grain de l’ivraie quand la roue a tourné. « Nuits et brouillards » n’est plus qu’un lointain cauchemar fantasmé par des « négationnistes » de l’universalité de la cause Résistancielle.   Les lâches, les franchouillards, les beurres œufs fromages n’ont jamais existé que dans les souvenirs jaunis des familles. Dominent dans nos mémoires re-formatées   les Justes quand l’immense majorité fêtait Pétain un mois avant que Paris ne soit « libéré ». Et si tout recommençait ? Et si la la Lâcheté avait repris son droit de cité. Tous les jours les exemples pullulent d’abandon de nos convi

 Braun-Pivet se moquant des institutions D’une étonnante efficacité c’est l’arme fatale par excellence. Elle réduit l’ennemi au silence sans faire de dégâts collatéraux. Sauf à être utilisée à mal escient où elle se retourne contre son porteur ( à gauche ), elle n’a jamais tué personne et pourtant à la disposition de qui en maîtrise les codes elle a un pouvoir nucléaire. Nul armurerie ne la propose, nul marchand ne s’enrichit en la distribuant et sa maitrise ne s’acquière qu’en maitrisant le … gérondif. C’est dire si l’inculte, le mal dégrossi, le fat ou la boursouflée sont exclus du seul fait de leur indigence. Elle excelle en défense, n’est pas un substitut à la compétence, au professionnalisme mais un précieux adjuvant pour clouer le bec des récalcitrants, des professeurs-je-sais-tout et se défaire de la kyrielle des yaka-fauconnistes patients du docteur Coué. Cette corde semble tellement utile à l’arc des animaux politiques qu’on s’étonne que si peu d’entre eux en fasse usage

Entre 10h 45 et 10 h50 fin de l’interview, Braun-Pivet aura prononcé 13 fois « moi je … » Soit, simple projection, plus de 100 fois durant son intervention en direct sur CNews. Pour l’hypertrophie du moi les politiciens ont trouvé leur étalon. JMMMMM n'était qu'un petit joueur. Si sur la forme tout était dans le gnangnan qu’elle maîtrise à la perfection, sur le fond on a une fois encore flirté avec la sidération.   Des journalistes habitués aux pitreries des politiciens de second plan avaient du mal à garder leur sérieux ! Deux sujets pris   au hasard permettront d’apprécier la fidélité de Madame Moi-je à ses convictions. Sur les Institutions après avoir déclaré, il y a une semaine que «  le climat n’était pas propice à leur changement  » (sic) elle affirme ce matin dans le JDD: « C’est le moment de réformer les institutions ». Interrogée sur le sens d’une telle réforme elle a bafouillé qu’il fallait donner plus souvent la parole au peuple et développer les referendum, c

  Réflexions sur le précédent " Calcul élémentaire" Eh oui, quand on n’y connaît absolument rien, il suffit d'éloigner tout bon sens, arguer d'une "dette patrimoniale" et faire gonfler les devis. Pas grave,   les Vésigondins paieront, d'ailleurs ils sont riches puisqu'ils bénéficient d'un taux d'imposition locale plus faible que la moyenne des villes comparables selon le benchmark super pointu du Fouquet et de la grande urbaniste en chef. Idem pour les hardis ramasseurs de mégots soudainement investis d'une noble mission de pourfendeurs de l'ultime pollution au milieu de pelouses -pardon espaces verts- que l'on ne tond plus pour respecter la sacro sainte diversité entomologique. La perte des 4 fleurs ? Des banquettes anglaises en jachère ? des trottoirs de début de siècle ? Une place de village que tout le monde nous envie ? Une propreté exemplaire ? Fi ! Aucune importance tout ça, des marqueurs du passé en attendant de po

Si 3 égoutiers curent 10 mètres à l’heure (vitesse constatée) quel temps faut-il pour curer 6 km de rivières sans parler des lacs … Un certain temps  Combien ça coute :  2 millions !  … En voyant 3 malheureux égoutiers s’escrimer avec leurs petits râteaux à ramasser les feuilles au fond d’une petite rivière les passants croyaient ce matin à un remake d’un épisode des Shadocks ! Quelques pauvres feuilles récupérées qu'on verse dans une poubelle puis transvasées dans un petit camion banalisé ... !  Comme si c'était du black ... C’est donc ça le projet pharaonique à 2 Millions d’€ dont la mairie a accouché après 3 ans de diagnostic et d’études sur le terrain. Monstrueux ! Le ridicule de la situation n’échappait pas aux clampins déambulant rue Henri Dunant. Alors qu’il suffit de tronçonner, de vider tour à tour chaque bassin en ayant soin de récupérer les rares poissons et le tour est joué en quelques jours. A condition de partir d’en bas … et d'utiliser des pompes à as

  Descendue de son petit nuage pour une visite éclair à Belle ile la diva municipale s’est trouvée face à ses potes de la CGT. On se souvient qu’elle s’était opposée à la "délictualisation" des actes violents commis par les activistes de la centrale ouvrière. C’était au temps où il fallait racoler des voix de gauche pour se faire réélire député des Yvelines. Les cégétistes auront eu la mémoire qui flanche. C’est par une bruyante casserolade qu’ils ont fêté l’arrivée de la navigatrice dans la grande ile du Morbihan. Inaugurer un hôpital, voila la présidente de l’assemblée qui se la joue guérisseuse des maux du personnel hospitalier. On imagine sa compétence pour discutailler avec les syndicalistes chevronnés … autant dire qu’elle leur aura servi la soupe populaire dont elle s’est repu après avoir quitté la robe d’avocate stagiaire. Serait-ce son homonyme le ministre docteur Braun qui a trouvé ce subterfuge pour se défaire d’une visite empoisonnée ? On pensait sottement

Si c’était une histoire belge on se gondolerait ! Mais c’est du Cora pur jus,   du rital comme on en a connu par le passé.  Et là l’histoire (narrée par le Courrier des Yvelines) est croquignolesque, la ville va dépenser plus de 2millions d’€ dont elle n’a pas le début d’un commencement pour mater l’état des fonds (sic) des rivières.   Les administrés eux le connaissent bien « l’état des fonds », il est plutôt à sec ! Avec les gabegies et les arrosages en tout genre la ville n’a plus un sou. Cora le prétentieux se propose de faire la quête aux subventions. On connait la chanson, là aussi on ne nous la refait pas. Pour 10 subventions demandées, une accordée, tel est le taux de succès de nos quémandeurs. La commune la plus friquée des Yvelines (ou presque) n’obtient que des cacahuètes quand vient l’heure de la distribution. Et pour montrer qu’il a bien appris sa leçon il nous refait aussi le coût du retard d’investissement, majestueusement dénommé «dette patrimoniale » estimée à