Le HURON

En ce dernier jour de l'année petit regard dans le rétroviseur. Depuis la chute du patriarche Alain Jonemann, le Vésinet n’a plus connu d’élu ayant engagé ses sous dans ses propres affaires … à une exception, le tsarévitch. Dont la gestion de la Ville n’a provoqué aucune turbulence financière. Occuper de hautes fonctions est une chose, engager ses deniers en est une autre … Investir l’argent que l’on a pas ne peut être dans l’ADN d’un entrepreneur ni d'un maire responsable ! Mais le Rital est l’archétype du gugusse, VRP sur-commissionné, nouveau riche flambeur bien incapable de discerner l’aspect idiot utile des systèmes dont il n'est qu'un des esclaves dorés. A cette aune là IBM … et tant d’autres en ont produit des tonnes … ! Alors parvenu – dans tous les sens – il claque le fric qu'il n'a pas, emprunte à tout va, puisant par un droit de tirage illimité dans la poche des administrés. Rien,  pas même le bon sens, ne peut arrêter l’enflure qui guette ces ir

Et oui, nous vivons les Fêtes de Noël. C’est la joie qui illumine nos cœurs, nos enfants et qui nous fait rayonner. En famille ou entre amis, il arrive de se balader dans les communes voisines de la Boucle. Que voit-on, sans que ce soit ostentatoire, des illuminations, des quartiers mis en valeur, des rues accueillantes. ( cf photo ) Dès que l’on revient au Vésinet, c’est le noir. Les lumières blafardes des lampadaires ne font rien pour réchauffer nos cœurs. Hors quelques secteurs du centre-ville, aucune illumination, aucune chaleur espérée en cette période de fête. Un vrai désastre bien à l’image de ce que nous offre au quotidien cette municipalité. Les habitants du centre-ville auraient-ils plus de privilèges que ceux des autres quartiers, paieraient-ils plus d’impôts ? Les bras cassés de la Mairie, qui s'offrent de belles illuminations devant leur parvis, ont-ils plus de droits que les autres Vésigondins ? Notre Haut Perchée (que le Figaro verrait bien en cuissardes un m

Le Figaro* peu suspect d’anti Yaélisme primaire en vient à fustiger la Haut perchée … Dans un libelle peu flatteur l'organe de la famille Dassault dont le cœur bat pour la bien-pensance judéo plus que chrétienne éreinte sa coqueluche Yaël par statistiques interposées*. Voir graphe ci dessous. «  On n’est pas élu pour retirer 50 % de leur rémunération à des collègues députés  ! » s’indigne une député … Renaissance. « Les réunions sont devenus des conseils de discipline … je suis ni juge ni procureur  » persifle une député Horizons. Les citations se suivent de députés de tous bords écœurés par la dérive totalitaire de la fouettarde du Perchoir. A son age on ne refait pas. Tatie Yaël tu nais, Tatie Yaël tu demeures ... D’autant qu’elle est à l’abri. Nul ne peut lui sucrer ses 20,000€ mensuels. Alors dans ce système féodal, de quasi droit divin, son pote Habib - le meyer d’entre nous, dixit le théocrate Netanyahou - peut appeler à la likoudation des palestiniens, sans qu’il y

Il y a des chiffres qui ne trompent pas et qui sont le fruit de l’incompétence assortie d’une mauvaise gestion. Le Vésinet comme la CGT* en font une brillante démonstration car l’une comme l’autre se trouvent en déficit en 2023 de l’ordre de 5 millions d’euros. Il faut croire que Coradetti, biberonné par la socialo Haut Perchée, a compris que dans le monde socialo-bobo-coco l’argent ne compte pas. On dépense sans compter et si on n’a pas assez d’argent on va allègrement piocher dans les poches des contribuables. Il n’y a qu’à suivre les élucubrations lors du show du Grand Messe au cours du Conseil Municipal (Coradetti n’ouvre pas la bouche car il ne pige rien à ces sujets financiers : cf le dernier conseil où il avoue publiquement ne rien comprendre aux négociations sur les emprunts), pour se rendre compte que la ville du Vésinet est engagée dans une spirale infernale de dépenses toutes plus inutiles qu’idiotes. Il faut croire que l’âge (d’une retraite confortable) ne sert pas les

... a questionné martial le Stalinovitch devant sa Douma. Défiguré par un rictus jubilatoire l'ange exterminateur ajouta à l’adresse du saint Père, rappelant la barbarie du 7 octobre  : « Nous allons intensifier les combats. » Ses opérations militaires n’ont éliminé que 20,000 gazaouis en deux mois. « Peut mieux faire » est-il allé leur dire le jour de Noël à Gaza. Malgré des exploits indéniables : abattre 3 otages hissant un drapeau blanc, anéantir deux religieuses armées de missel sur les marches d’une église, exécuter un brave humanitaire de l’ambassade de France sa soldatesque est sous employée. Ses militaires le lui ont dit : « Chef, il faut intensifier » De retour, faisant face à des parents d’otages anéantis par l’ivresse revancharde le Trochu* en kippa martela : «  Je suis leur chef donc je les suis » Le désastre humanitaire enfin dénoncé par François en des termes oh combien réalistes, a provoqué une intervention sidérante à l'Assemblée nationale. L'ig

N’ayons pas peur des mots, la fachosphère est à la manœuvre à Paris-Match ! Pour preuve la Une ci-contre. Tout ce que les media comptent de Saint-Just et de moralisateurs s’offusque dans un concert dont la spontanéité est à l’égal de la virulence. L’impensable, ce que l’on redoutait sans oser le formuler tellement la chose paraissait abjecte, voire obscène est advenu ; Une crèche fait la Une du Match de la semaine ! Dans quel monde vit-on ? Des animaux dans une étable, un nourrisson dans son moïse et quelques étoiles au firmament, sous le regard énamouré d'une fillette blonde.  Heureusement tous les journaleux de France en appellent à défendre la liberté de presse bafouée ! Comment ose-t-on afficher une crèche sur les portants des marchands de journaux ? Quelle provocation pour nous autres baignant dans l’euphorique et doucereux islamisme d’atmosphère tellement tolérant et bon enfant. Ce Bolloré est impayable, il rachète des titres en perdition, les remet d’équerre, leur tr

Merci au millier de lecteurs quotidiens de leur fidélité. Ce blog ne vit que de leur assiduité. Alors quelques jours de repos bien mérité avant de retrouver notre héro malgré lui : Rital 2. ( au centre de la photo) Ici dans ses œuvres de voyou à moitié pété, il déchire les affiches de ses concurrents. Cette photo, si ce blog l’avait publiée, aurait pu dessiller des électeurs égarés par le bavardage sirupeux d’un inconnu qui n’aurait pas été élu avec 13 % des voix récoltées ! Les Vésigondins le retrouveront dès le 12 janvier au théâtre où il interprétera avec les rescapés de sa troupe « Moi, maire du Vésinet, comment j’ai … » Rital 2 leur offrira une rétrospective sur les grands moments de 2023. En introduction la condamnation du Vésinet par le tribunal administratif de Versailles pour tromperie et mensonges avérés de son maire vis à vis du conseil municipal. Le scotch de « menteur invétéré » lui est officiellement décerné. Et puis il nous régalera à la sauce hollandaise

Parmi tous les sujets qui indisposent ses administrés Rital fait face à deux grognes bien structurées. Celle des parents d’élèves «Pasteur», parents qui rejettent massivement le projet d’implantation d’une « pension de famille » au cœur du périmètre scolaire. Ils sont traités par un mépris abyssal, expulsés manu militari, pas même salués par la sorcière ébouriffée quand sa suffisance se faufile hautaine entre des parents bon enfant qui l’interpellent fort civilement. On peut être bien nourrie et mal éduquée … Beaucoup autour de la table du Conseil se reconnaîtront. Et puis celle coagulée autour de la rénovation du centre-ville par des associations de riverains manipulées, instrumentalisées et cocufiées ad nauseam par un tandem de « sachants ». En purs macroniens à quoi bon discuter avec des gueux quand la Vérité vous a été révélée. Si les deux sujets reviennent au devant de l’actualité c’est parce que Rital 2 reprend la méthode de son parent. Morgue et arrogance sont les mamelle

Le premier des Rital n’était qu’un petit joueur. Il avait emprunté 12 millions sur 20 ans à 5,05 % pour détricoter un projet contestable et contesté de patinoire enterrée. Faisant exploser le budget initial il dut s’enfuir par une porte dérobée … c’était il y a 11 ans. Chacun des 5 emprunts contractés à des conditions quasi usuraires contenait une disposition bouclier, une pénalité de 50.000€ exigible avant renégociation. Tous les maires depuis Rital 1er ( cf courrier ) se sont heurtés à ce bouclier et durent abandonner l’espoir de bénéficier de taux réduit. Gestionnaires de la ville en bon père de famille ils se contentèrent d’honorer les traites … Alors Rital 2 est arrivé ... Incapable de payer les échéances Le Flambeur a été contraint de renégocier. En catimini et sans l’aval de son Conseil - faute lourde - il a été désavoué par le préfet. D’où le courrier dont le Huron s’est fait l’écho pour se mettre aux ordres de sa tutelle. Véritable forfaiture : Rital 2 au nez et à la ba

Où elle décroche d’emblée la noix d’honneur. La haut perchée a payé de sa personne et n’a pas lésiné depuis 3 ans à déverser du haut de la hune sa logorrhée compulsive pour obtenir ce macaron. Ouf, gagné ! Tout dire et son contraire, aligner sophismes et truismes, enfoncer les portes ouvertes (celles des prisons?) pour masquer la vacuité de sa pensée méritait la récompense d’une instance qui s’y connaît en matière d’incongruité !    La récompense vient couronner une phrase impayable pour quelqu’un qui vient de se faire cocufier par LR : « Ce sont des partenaires fiables ! » … comme les analyses de Braun-Pivet persifle le Canard. La même perruche assurait ce matin après la scission de 59 députés Renaissance que « la majorité était soudée … » sic. On fatiguerait le lecteur à rappeler tous les dénis d’évidence que cet oracle auto proclamé a pu proférer. Mais elle s’est surtout fait remarquer par une aptitude inégalée à sortir des inepties, à enfourcher des causes farfelues, à éme

Macron aussi cultivé soit-il découvre sur le tard le talon d’Achille des opportunistes. Un jour il faut choisir son camp. Une France profonde attachée à son histoire, à ses légendes, et à son roman fait face à une France importée pour qui ces mots n’ont aucun sens. La fin de l’illusion d’une cohabitation de ces deux visions, voire d’un possible enrichissement à travers une chimérique fusion a conduit à l’éclatement de sa base électorale entre Zémouriens et Mélenchonistes. Dès lors un clivage irréconciliable guette les élus représentants les deux pôles de sa majorité. Démissions, explosion du groupe Renaissance ... Macron peut tenter raccommoder et faire comme si rien ne s’était passé en ne promulguant pas la loi, ou en la faisant détricoter par le Conseil constitutionnel. L’explosion sera au rendez vous d’un prochain texte. Il peut assumer qu’une France réelle est devenue majoritairement hermétique à la soi disant cross fertilisation de notre culture par la juxtaposition d’élément

Nous retournons en 4ème République. Jupiter aux manettes se croit dans un Paint Ball Theater. Il tire à vue sur la Démocratie, sur le RN, sur les fondements de la République. Lui qui n’a rien apporté de positif depuis qu’il est Président se prend pour le Grand Ordonnanceur de la vie Républicaine. Les Lois, il s’en tape. La représentation nationale, il s’en tape. Ce que veut le peuple, il s’en tape. Après la déculottée reçue au Parlement avec le rejet de la loi immigration, l’immigré en culotte courte de l’Intérieur a cru redorer son blason en laissant croire que tout ce qui arrive aujourd’hui est grâce à lui. Mais il a oublié que, étant un renégat de la droite, il s’est mis à dos toute l’aile gauche de la Macronie, sans même percevoir que tout à sa droite il semait des pièces d’or à la Fille de son Père. Comme dans un Veau de Ville, les portes claques, les cris de trahison fusent, les menaces de démission sont présentées, les cocus de gauche éructent. Seule la Haut Perchée rest

Le 21 décembre Rital 2 fermera-t-il l’accès à la place de l’hôtel de ville ? Face à une déferlante de manifestants grande est la tentation de jouer le C M à huis clos et d’interdire l’accès au parvis de la mairie. Une escouade de gendarmes mobiles suffit à interdire l’entrée de l’enceinte. Où irait alors la foule des protestataires pour brandir leurs pancartes ? Devant les vitrines de la Haut perchée, au milieu du boulevard Carnot en un sit-in improvisé ? Au vu et au su des photographes de presse. Les télés en continu raffolent de ces moments jubilatoires. Le public aussi. Bunkériser l’hôtel de ville, cela n’a jamais été fait ! Rital 1 er , son grand inspirateur, avait laissé la grogne s’exprimer, quitte ensuite à être exfiltré par la police nationale quand la foule grondante s’était massée devant le siège d’où il tentait de mener les débats. Le deuxième avatar de cette pendable lignée assumera -t-il l’impopularité qu’il s’ingénie à provoquer ? Atteindre ce degré de détestatio

Salauds de Pauvres, les voilà pas qu’ils renâcleraient à payer la cantoche à leurs têtes blondes. On me dit que les parents nécessiteux sont furibards, mais qu'est ce qu'ils foutent au Vésinet ? Tout ça pour une misère de 35 % d’augmentation des tickets repas… au temps de mon prédécesseur Rital 1 er ça aurait été 65 au moins. C’est vrai que la lettre de l’autre zèbre aux finances était mal ficelée, annoncer 5 % d’augmentation quand c’est 35 ça frise la provoc. Mais ce type là n’a jamais su compter … à voir où en sont nos finances. J’arrête pas de me décarcasser pour mes administres et je ne reçois que volées de bois verts. J’éteins l’éclairage la nuit pour économiser et je les entends encore râler. Je rafistole tant bien que mal la place du marché et là c’est le forain qui se plaint que ça fait déserter les chalands de se faufiler entre des barrières Vauban. Je réduis la rotation des équipages de pandores pour qu’ils soient disponibles derrière le comptoir à enregistrer