« Coradetti, c’est qui ? »

En ce dernier jour de l'année petit regard dans le rétroviseur.

Depuis la chute du patriarche Alain Jonemann, le Vésinet n’a plus connu d’élu ayant engagé ses sous dans ses propres affaires … à une exception, le tsarévitch. Dont la gestion de la Ville n’a provoqué aucune turbulence financière.

Occuper de hautes fonctions est une chose, engager ses deniers en est une autre … Investir l’argent que l’on a pas ne peut être dans l’ADN d’un entrepreneur ni d'un maire responsable !

Mais le Rital est l’archétype du gugusse, VRP sur-commissionné, nouveau riche flambeur bien incapable de discerner l’aspect idiot utile des systèmes dont il n'est qu'un des esclaves dorés. A cette aune là IBM … et tant d’autres en ont produit des tonnes … !

Alors parvenu – dans tous les sens – il claque le fric qu'il n'a pas, emprunte à tout va, puisant par un droit de tirage illimité dans la poche des administrés. Rien, pas même le bon sens, ne peut arrêter l’enflure qui guette ces irresponsables, choyés par de plus incompétents – choisis pour leur médiocrité … les rares têtes bien faites ont décampé quand l’irresponsabilité des bonimenteurs leur a sauté au nez.

• Irresponsable d’engager 10M€ de travaux sans aval spécifique de la population.
• Irresponsable de creuser 5 M€ de déficit pour clôturer un projet déjà totalement financé.
• Irresponsable d’augmenter les impôts pour financer le fonctionnement d’une commune quand on réduit les services à la population.
• Irresponsable de financer par l'emprunt le rééchelonnement de 8M€ de dettes.
  
• Irresponsable de mettre en péril le fonctionnement des services municipaux par incapacité managériale.
• Irresponsable d’implanter des SDF et autres cabossés au cœur d’un ensemble scolaire.
• Irresponsable de se mettre à dos toutes les associations de bénévoles qui œuvrent dans l’ombre au bien vivre ensemble
• Irresponsable et surtout impardonnable de feindre s’intéresser à la chose publique - que l’on a ignorée sa vie durant - l’espace d’une campagne pour enfin se la jouer « chef » et effacer tant de déconvenues professionnelles.

Cette instrumentalisation cynique d’une fonction élective aux fins de compensations psychanalytiques se traduit dans l’attitude permanente de Rital 2, dont le mépris pour ses administrés est égal à l’indifférence qu’il suscite dans la population.

« Coradetti, c’est qui ? »

 

 Le Huron