Le HURON

Le tour de passe pourrait-il réussir ? Le fric frac électoral orchestré par l’outre mère va-t-il amener à la Chambre un Tanguy Nobody qui crèche à Montesson chez ses parents ? Ce serait une falsification de la volonté des électeurs que de porter ce monsieur personne à la députation. Quelque soit l’option prise par les citoyens de la 5 ème circonscription, aucun d’entre eux n’aura choisi d’élire le conseiller de bout de table de la ville de Montesson Son élection par démission de la sortante au soir du deuxième tour serait une violation du verdict des urnes, un camouflet aux électeurs, une parodie de démocratie. Et pourtant cette issue guette les électeurs vu le mutisme absolu de l’outre mère sur les conséquences de sa nomination. Mensonge par omission, mais mensonge aux conséquences affligeantes. La menterie est inscrite dans l’ADN de l’outre mère, et ça ne date pas d’hier. Déjà en 2017 elle avait gommé ses convictions socialistes de son CV de candidate omettant ses éminentes fo

Pour sacrifier au culte du méchant petit homme blanc et prendre sa carte chez les « wokes » Braun Pivet n’a pas perdu de temps. Dans un laïus d’une affligeante platitude la future ex-député et ex ministre s’est fendue en Guadeloupe d’un acte de contrition. Depuis que Chirac a institué le devoir de mémoire et autres fadaises précautionneuses chaque gouvernant se croit obligé d’en gaver les autochtones. Tout juste nommée, y avait-il urgence à s’humilier? Qui réclame le retour de la traite des noirs, qui ne déplore cet avatar de la colonisation et les crimes commis en son nom ?   Sent-on poindre le risque que cette servitude soit imposée un jour prochain aux africains par un Etat blanc ? L’inverse peut-être, mais de cette revanche, de cette déconstruction patiente de la civilisation judéo-chrétienne bimillénaire nul chez les aboyeurs du macronisme ne s’en fera jamais l’écho. On préfère promouvoir Pap Ndiaye ! Madame Braun Pivet peut porter des convictions proches du mélenchonisme, e

Décerné à l’unanimité par le monde associatif au projet de ferme enterrée, aussi farfelu que lunaire imaginé par les zozos de Carnot. Dieu sait s’il est difficile d’obtenir des « héritiers » de Pallu un consensus pour faire entrer le Vésinet dans le 21ème siècle. Les hurluberlus qui squattent Carnot auront réussi cet exploit. Ils réalisent l’union sacrée des protecteurs de notre environnement. Tous sans dissidence vouent aux gémonies l’idée grotesque d’enterrer une ferme sous la dalle de la place du marché. Si par égarement le maire lisait ce billet, il apprendrait que défier les patriciens du Vésinet   conduit immanquablement à mettre la «  ville à feu et à sang  ».   Jugement porté par M. Bastard de Crisnay sur l’état de la ville en janvier 2012, au jour de son intronisation.   La parenthèse Covid a pu laisser croire que les temps avaient changé ….   A contrario le déficit de contestation et la chape de plomb posée sur la vie municipale alimentent de profonds ressentiments dont l

Faut-il qu’au royaume des aveugles les Borne nées soient reines ! Quand la plus bâclée des enquêtes de voisinage, la plus superficielle des études de personnalité pouvait révéler les tendances licencieuses du nommé Damien, madame Borne – décidément peu regardante - préférait évoquer pour les petites filles son parcours empreint de méritocratie et de réussite ! Les petits garçons se rassureront : on peut devenir ministre en étant glauque et lourdingue. On peut parvenir au plus haut sommet de l’État en étant accusé de viols, d’attitudes irrespectueuses, d’agressions sexuelles … alors faudra surtout pas se gêner ! En même temps les petites filles découvrent non sans gêne que madame Borne dans son infinie charité chrétienne les laissera demain côtoyer des individus dont à la nuit tombée, ou dans un ascenseur en panne il vaudra mieux s’être éloignés, faute d’alimenter la rubrique des femmes victimes d’agissements indécents. Ainsi va le « en même temps », summum de l’hypocrisie, dont va

La mairie du Vésinet rétropédale. Le raout du 24 mai en présence de madame la candidate et des sportifs inscrits au CCAS a été annulé et l’agenda de madame la ministre libérée. Détourner des fichiers municipaux au profit de la présidente de la commission des lois, fallait oser ! Audiard ne s’y était pas trompé : « ils osent tout, c’est à ça qu’on les reconnait ». Le moins averti des nains politiques le sait fort bien, s’il est un sujet sur lequel la CNIL est intraitable c’est l’usage des données personnelles pour favoriser un candidat. Après sa révélation par ce blog l’opération montée en dehors du CCAS a tourné au fiasco. D’autres envois par mail ouvraient la voie à une succession de recours et de plaintes dont l’issue était immanquablement fatale à l’outre-mère. D’autant que sur sa lancée la coterie des fayots de Braun Pivet s’apprêtait à commettre d’autres entorses au code électoral. La répulsion des citoyens pour des méthodes qui rappellent les heures les plus sombres ne ces

Une seule certitude la sortante est sortie définitivement ! Aucun espoir pour les fayots du système de revoir l’Outre-mère siéger comme député de la cinquième circonscription. Bon débarras dirons les Vésigondins qui ont subi cinq ans durant la bobo socialo et ses fantasmes gauchisant. Ouverture des prisons, libération des agresseurs de flics et autres Nupséismes chers à son pote Mélenchon – celui la même qui a fait réélire Macron et a réussi à placer un indigéniste assumé à l’éducation nationale. Soit Dublanche la supplante au deuxième tour et Braun-Pivet disparait du monde des politiquement nuisibles, soit cette dernière obtient sa reconduction et son suppléant se substitue au lendemain de l’élection. Dans cette hypothèse malheureusement plausible un écolo-nocif représenterait les Vésigondins. Dans une circonscription acquise aux valeurs traditionnelles qui ont permis – merci Jacques Myard - la survie des villes parc du Vésinet et de Maisons Laffitte un forcené du logement socia

Avait-t-on jamais autant fayotté ? De mémoire de commis d’office une avocate stagiaire s’est-elle jamais autant fait mousser ? Autant de pompes cirées, de bottes léchées - la trivialité n’est pas notre fort - de planches savonnées … pour rester à quai ! Ce serait à désespérer de la flagornerie. Servir la soupe matin midi et soir, avaler des couleuvres, faire semblant au resto du cœur, tresser des couronnes en minaudant dans les lucarnes, flatter la CGT, promettre d’ouvrir grande les portes des prisons pour finir daubée parce qu’une Borne née vous a refusé ce que votre zélitude vous promettait : un maroquin !  D’autres auront-ils été plus serviles, plus courtisans et encore plus obséquieux qu’ils vous aient damé le pion ? Dans cette monarchie teintée d’absolutisme où les mécréants, les délinquants sont exonérés de peine et les victimes de voyous déchus de leur droit à une justice équitable ; dans ce monde d’hypocrisie où l’on fait croire aux petites filles que l’idéal serait d’êtr

Trois semaines sur les charbons ardents, on allait voir ce qu’on allait voir, l’art du président c’est de surprendre, d’ailleurs il l’a bien dit, on va gouverner autrement  La machine est manifestement cassée, la nomination a fait pschitt et sauf à contester la féminitude de Mme Borne la montagne a accouché d’une souris … honni soit qui mal y pense. Le propre des magiciens c’est de n’opérer qu’une seule fois, ensuite la martingale est révélée et l’absence d’effet détonnant devient la seule mauvaise surprise d’une opération ratée. Etre née Borne sans être bornée est une chance dont Elisabeth avait su tirer profit en évitant le feu des projecteurs. Mais la validité du ticket de Mme Borne s’arrêtait au portillon de Matignon, au-delà je crains qu’il ne soit plus valable. Une IA aurait pu écrire son discours de réponse à Jean Castex. Où sont les tripes, où sont les « guts » ? C’est plat comme une limande, archi convenu et désespérant de mièvrerie, comme si des petites filles pouvaient

Être convié un vendredi 13 dans le gymnase le plus glauque de la ville à se prosterner devant le bourgmestre flanqué de son égérie a manifestement égayé le personnel.  Voir les mines distinctes et réjouies des participants sur la photo largement diffusée* par l’édile et la député sur leur compte FB dès le 13/05 à 18h17.  Habitués à être honorés dans l’un des nombreux lieux select de la ville-parc les agents de la ville ont été confinés dans une étuve surchauffée … même quand l’atmosphère est glaciale.   Qui ne se souvient des discours de campagne où l’obséquiosité le disputait à la démagogie ? Le personnel était promis à des années de bonheur intégral sous la férule d’un maire qui – une fois élu - caresserait les fonctionnaires dans le sens du poil.   D’ailleurs ne leur écrivait-il pas : « Mes amis ! »   Et ils ont vu, plutôt subi les mises à l’écart, les réprimandes, les vexations au point qu’aucune victime ne se souvient d’avoir, de son vivant d’agent communal, été aussi mal tr

Pour avoir diffusé un cliché officiel de notre député – en débardeur - haranguant un hémicycle désert, Pour avoir questionné l’adéquation de la tenue avec le respect qu’un tel lieu exige des élus, Pour avoir fait état dans des courriers - que le procureur qualifie de « privé »-   de son effarement pour une telle violation des égards dus à la République, Pour avoir - par ailleurs - rappelé qu’il est malséant qu’un ou une élue tienne dans une enceinte religieuse des propos communautaristes rompant avec le principe de neutralité, Pour avoir rédigé à l’intention de ce représentant du peuple (député et conseillère municipale)   12 lettres courtoises et respectueuses l’interrogeant sur son absence d’initiatives pour traiter les problèmes affectant son territoire et entrant dans ses domaines de compétence, Pour avoir sur le territoire national commis ces actes un citoyen lambda a été condamné d’office sur réquisition de la plaignante - la député du Vésinet es qualité - à un rappel

Sauf tsunami électoral tout aussi improbable que peu souhaitable chacun des Artaban enrôlé derrière l’oriflamme du fier Mélenchon, auto proclamé premier ministrable, franchira le seuil fatidique des 5% et s’épargnera l’humiliation du machin -thon à la façon Sarko ou Pécresse. Se présenter sans courir le risque de faire la quête ou de mettre en vente son 2 pièces cuisine pour rembourser ses frais de campagne devrait libérer les ardeurs conquérantes de nombreux bobo, verts, écolos ou cocos qui vont désormais batailler pour être désigné l’un des 570 candidats députés de la mélenchonie. L’exploit – ne lésinons pas sur le qualificatif – de réunir tous ces professionnels de l’anathème, d’anti-fa, de lanceurs de fatwa et accessoirement de pavés autour de monsieur « la République c’est moi » relève plus que d’un calcul politique, d’un réflexe animal connu depuis la nuit des temps : la survie ! Le « struggle for life » aura sauvé l’espace d’un printemps la cohorte des apparatchiks, des besogn