Le HURON

Le maire vient de marquer un point. Encore qu’à vaincre sans péril il ne saurait pavoiser. Les associations des nantis du Vésinet (AVNR, SLV, AEB, SIDSV … ) viennent d’adouber l’ultra gauchiste de la municipalité, adjointe à l’urbanisme et déjà responsable d’avoir autorisé la construction sur des zones protégées. Le   triangle d’or, au cul de la mairie n’est qu’un exemple ! Censés défendre et protéger la ville-parc elles donnent quitus à une municipalité dont le but avoué est de transformer notre espace protégé en déversoir des Indes et autres quartiers favorisés. L’âge moyen de ces dinosaures expliquerait-il qu’ils se soient laissés marabouter ? Le compte rendu cosigné par toutes les associations (voir ci-dessous) est un chef d’œuvre de duplicité (euphémisme pour lâcheté). Depuis 12 ans tous ces thèmes ont été rabâchés, ressassés, pas une once de créativité, juste du copier-coller ! Et on se gargarise … ! Soit on défend le Vésinet éternel ou bien on se compromet en espérant un

Samedi, à l’unanimité ou presque des administrés admis à la concertation le concept de « ferme enterrée » élucubré par la majorité, ou ce qu’il en reste a été rejeté. 5% d’entêtés avec à leur têtes le petit Fouquet municipal trépignent encore pour implanter un jardin potager au fond de la caverne de la place du marché. En se souvenant du ramdam fait par le maire et son Bonnet, des centaines de milliers d’€ consumées en études et papier glacé pour vanter ce   projet - soi-disant parfaitement ficelé et financé - on comprend la perte de crédit du petit marquis et de sa clique ! Inquiétant au demeurant que le projet ou ce qu’il en reste soit défendu par le financier. Pas content d’avoir laissé filé l’oseille des Vésigondins, cramé la caisse à mi mandat, ce panier percé (cf pamphlet de Mme Nanoux, ex deuxième adjointe) s’engage sur une opération que le maire reconnait publiquement ne pouvoir être réalisée qu’avec l’apport d’argent public. Une subvention d’équilibre était inscrite dans le

Ici avec le maillot rose Pédaler le long des voies pour rattraper le RER que l’on vient de rater, c’est l’improbable scénario que le Bruno du Château offre aux Uderzo et Goscinny en herbes. Voudrait-il cultiver le ridicule qu’il ne pouvait mieux s’y prendre. Sans doute ce projet de rallier les deux gares par une piste cyclable aura-t-elle germé dans sa ferme enterrée !  Pas une idée aussi sotte que grenue qui ne soit exploitée par les foutraques du château. Là où l’absurdité pousse il y a un émule de Foutriquet. Saluons – une fois n’est pas coutume - la prose* de T. Gripoix ci-dessous, dommage qu’il n’ait pas illustré son propos d’un cartoon.   Le Vésinet a honoré la mémoire d’un bédéiste de talent. Marcel Gottlieb nous manque doublement, il aurait croqué le petit Bruno pédalant en tandem avec sa DorIx adorée le long de l’avenue Thiébaut … Avis aux postulants !     Le Huron

    Quel but poursuivait B. Coradetti en briguant la mairie du Vésinet ? Etait-il porteur d’un projet, d’une ambition pour la ville ? Souhaitait-il transmettre sa compétence, faire profiter ses futurs administrés de son expérience politique et de ses succès dans l’univers des collectivités territoriales ? Avait-il travaillé, constitué une équipe, labouré le terrain, semé des petites idées que de nombreux Vésigondins s’étaient empressés de s’approprier ? Non ! Aucun doute n’est permis, à toutes ces questions la réponse est niet !  Les Vésigondins l’ont élu sur une imposture. Aux rares égarés qui trouvent des éléments positifs dans les agissements de cet amateur, parcourez son denier poulet, édité sur papier glacé ! On y découvre que ce maire, incapable de mener à bien la modeste rénovation de Matalou, de sortir un équipement collectif à Princesse, de gérer la rénovation de l’ilot des Courses, sans évoquer le padel abandonné victime des relations exécrables avec Montesso

    Un cliché de Kamil ZIHNIOGLU pour le Monde 11 octobre, séance funeste à la Chambre. Des sanctions sont tombées pour insultes imaginaires ! Un après midi dont la présidente – espérons-le -   ne se remettra pas.  Loin d’une gouvernance apaisée, loin du paternalisme austère mais bienveillant de M. Ferrand, l’interventionnisme sectaire, l’autoritarisme primaire ont fini de convaincre les plus indulgents que la Robespierrette du perchoir n’y était pas à sa place.    La brutalité de ses interventions, l’incohérence de ses sanctions – qui pleuvent comme à Gravelotte – témoignent de son incapacité à maîtriser la complexité de la fonction. Primaire, politiquement inculte et teigneuse : c’est ainsi qu’elle est perçue au Vésinet. L’avocate stagiaire s’est convertie en procureure prétentieuse et justicière outrancière contre les ennemis de la « cause ». Parce que le député marcheur qui exécute un salut nazi à la Chambre est exonéré de peine ! Pour avoir qualifié de « communautaris

Quand en Marche va à reculons, son nom devient Renaissance !   Quel est le gynéco qui les a conseillés? Le beau bébé qui devait être joufflu est rachitique et moribond.  A l'heure où tout un chacun, y compris dans les administrations, fait la chasse au papier inutile, voilà que Foutriquet, la Haut Perchée et Rackham se mettent à fliquer les vésigondins. Sous couvert d'une bonne action, marcher ou courir pour une bonne cause (soutenir la recherche contre le cancer), voilà que la Mairie se prend pour les Pandores du Bd Carnot et exige des candidats à la course ce qui n'est  même  pas demandé aux migrants ni aux petits trafiquants débarquant à  Roissy.  Par chance, ni le casier judiciaire, ni le groupe sanguin, ni le test Covid ne figurent dans les réquisitions.  Pour qui se prend le Maire ?  Faudra-t-il bientôt payer pour marcher dans le Vésinet ?  Tout ceci (ci-dessous) est ridicule mais bien à l'image de la Pétaudière qu'est Le Vésinet !  ­­R Bus La Cour

Gripoix, le clone d’Arutro Brachetti, l’as du retournement de vestes, va-t-il dépasser le maître ? Les Vésigondins assistent avec délectation à son énième changement de pied. Le ténor municipal des LR cautionne aujourd’hui la politique de déconstruction du CCAS exécutée par Mme Nanoux accueillie bras ouverts dans son groupe municipal. Que cette élue démissionne pour de tardives incompatibilités d’humeur avec les agissements   cauchemardesques de l’autocrate et de sa clique ne doit pas occulter sa responsabilité pleine et entière dans la déstabilisation du phare de l’entraide générationnelle que fut le CCAS. Le SSIAD* est dissous, absorbée par la CIMAD du Pecq ! Mme Nanoux a torpillé des années de travail, détruit la logique spécifique à ce fleuron vésigondin pour complaire à une idéologie communautariste. La chienlit a succédé à la gestion calme et sereine, les démissions se sont ajoutées aux démissions, et l’incapacité d’attirer des pointures conduit à recruter du tout venant.

Ou l’histoire du camouflet à la première adjointe, ou quand B. Coradetti fait son petit despote. Version vésigondine de : "La démocratie je m’en tape, et le résultat des votes je m’en tamponne le coquillard. Je suis un vieux marcheur, la loi, c’est moi … ! Dupont Moretti, Ferrand et autres Kohler ont montré la voie ! "    Au CCAS ce jeudi Doro, la candidate du maire au remplacement de la 4 ème adjointe démissionnaire, vice-présidente et responsable de fait de la gestion de cette association,   a été renvoyée à sa poissonnerie. Le camouflet infligé au maire est du jamais-vu dans cette institution où se sont succédées des personnalités mêlant distinction et talent, discrétion et efficacité. Pour avoir transgressé ces règles non écrites, B. Coradetti a du subir l’affront de voir Doro, sa   première adjointe, éliminée au premier tour de l’élection à bulletins secrets. Excepté les marionnettes de la mairie, l’ensemble du conseil d’administration s’est ligué contre la parachut

On n’attendait plus grand-chose de cette municipalité incapable d’organiser un atelier de marquage de vieux clous !   Officieusement c’est une brise importune qui aurait fait de cette mairie une risée (dixit le pandore de garde). Le Coradetti aurait-il eu peur de l’ombre du vent, maintenant que sa tutrice   lui a imposé le méchant Rackham ? Selon des sources au premier étage de la Pétaudière, l’officiel porte-plume serait l’œil du perchoir, chargé de le marquer à la culotte.   La pipelette assez mal en point vivrait mal la déconfiture de son poulain. Aucun repli possible sur le Vésinet, si la dissolution précipitait le naufrage de sa carrière politique. Ce soir en conseil municipal Coradetti va faire acter par ses obligés le décès du projet «  padel  », équipement validé et porté sur les fonts baptismaux par la précédente mandature. Tout était fin prêt, même, coulant pour une fois, le bon Bel avait donné son aval. C’était avant qu’une poissonnière n’hérite du dossier. Avec son re

C'est X R et il est excédé !  On lui garantit l’anonymat bien qu’au château de la Pétaudière il soit connu comme le loup blanc. L’absence de réponse de l’édile à ses nombreux courriels ne le froisse pas. Il les empile sans doute pour éviter que l’autre ne rempile. C’est une histoire de cycle qui motive aujourd’hui son désarroi et le laisse une fois encore pantois. Peut-on tomber plus bas dans l’incurie, dans la désinvolture, dans l’impudence. Car il faut être diablement mal éduqué pour convoquer officiellement des administrés à une séance de marquage et délibérément les laisser tomber. Rien ni personne n’était présent pour accueillir les nombreux Vésigondins qui s’étaient déplacés à l’invitation de la municipalité pour faire graver leur vélo. Aucune structure n’était prévue ce samedi au marché princesse pour réaliser l’opération annoncée par le service Com de la mairie et ce malgré une confirmation relayée auprès des intéressés par ce même service ! (échanges ci-dessous) C’e

Qui a écrit : «  Braun-Pivet, c’est quand même le vide politique. Elle n’a aucune opinion sinon celle de l’air du temps  » ? Un iroquois débarqué du nouveau monde, un opposant politique, un antillais visité par l’éphémère ministre ? Non, même si ces derniers partagent ce jugement. L’auteur de cette saillie n’est autre qu’un cador de la majorité cité par le JDD. Courageux mais pas téméraire cet anonyme rejoint le chœur des excédés par la pipelette du perchoir. Et encore il ignore sa capacité à éructer dont le maire du Vésinet peut témoigner. Incapable d’argumenter ce pur produit de la macronie a tenté – à ce jour sans succès – de faire embastiller son impudent détracteur. C’est peut dire qu’elle a enclenché la machine à baffer. « Braun-Pivet agaçe » euphémise le JDD. D'autant que ce ne sont pas ses contributions intellectuelles qui rendent envieux les acéphales d'En marche ! Les larmoiements ukrainiens depuis un wagon blindé participent à une mise en scène racoleuse d’une a

Des lecteurs s’étonnent de l’espacement des billets du Huron. « Vos chroniques nous manquent » m’écrit-on. Je partage leur frustration. Le paradoxe tient en un mot peut on parler du néant  ? N’est pas JP Sartre qui veut. D’ailleurs depuis la nuit des temps le philosophe s’interroge : pourquoi quelque chose plutôt que rien ? Le maire du Vésinet est un penseur qui s’ignore. Il cultive sa néantitude qu’il tente de camoufler sous un verbiage insipide. Ici rien ne se passe, rien ne se fait, sauf se mirer   le nombril. Les élus donnent dans l’auto satisfaction béate pour une feuille d’automne ramassée ou un carré d’herbe tondu. A coté pousse sur les pelouses de l’avenue du grand veneur des sauvageons d’acacias qu’aucun jardinier n’a eu l’idée d'éradiquer. Et pour cause ils poussent les feuilles une à une, et reprennent leur souffle sur le banc le plus proche … ouf !   Faudrait quand même pas trop en faire !   L’idée lumineuse de re-municipaliser la gestion des espaces verts, même les