Gripoix, Arturo pour les intimes ?
Gripoix, le clone d’Arutro Brachetti, l’as du retournement de vestes, va-t-il dépasser le maître ?
Les Vésigondins assistent avec délectation à son énième changement de pied. Le ténor municipal des LR cautionne aujourd’hui la politique de déconstruction du CCAS exécutée par Mme Nanoux accueillie bras ouverts dans son groupe municipal.
Que cette élue démissionne pour de tardives incompatibilités d’humeur avec les agissements cauchemardesques de l’autocrate et de sa clique ne doit pas occulter sa responsabilité pleine et entière dans la déstabilisation du phare de l’entraide générationnelle que fut le CCAS. Le SSIAD* est dissous, absorbée par la CIMAD du Pecq !
Mme Nanoux a torpillé des années de travail, détruit la logique spécifique à ce fleuron vésigondin pour complaire à une idéologie communautariste. La chienlit a succédé à la gestion calme et sereine, les démissions se sont ajoutées aux démissions, et l’incapacité d’attirer des pointures conduit à recruter du tout venant.
Désastre à tous les étages, on comprend que Mme Nanoux tire sa révérence ! On comprend moins que T Gripoix lui donne le gite et le couvert dans le groupe qu’il cornaque dans l’opposition du conseil municipal.
Gripoix un ancien administrateur émérite de cette institution de 2013 à 2020 - il occupait un siège à temps très très partiel - a avalisé les politiques de développement de ce centre social conduites par tous les maires du Vésinet, jusqu’à l’actuelle calamité. Aujourd’hui il en cautionne la destruction !
Croit-il un instant que ce énième retournement, cette énième trahison va lui attirer la sympathie des électeurs et la reconnaissance des sociétaires du CCAS ?
Lors du dernier conseil on attendait impatient la justification de ce recrutement On est resté sur notre faim.
« N’écoutant que son courage, qui ne lui disait rien, il se garda d’intervenir ». Merci à Jules Romain d’avoir saisi la quintessence de l’étoile montante des LR.
Le Huron
* service de soins infirmiers à domicile
On aurait pu croire que Pois Chiche était devenu comestible. Se taire est une vertu pour celui qui a pour habitude de dire blanc le soir et noir le lendemain matin.
RépondreSupprimerMais ce silence est effectivement inquiétant puisque Le Vésinet, autrefois envié pour sa bonne gestion, ses services sociaux performants, son pôle culture, etc, etc, est devenu la risée de la plupart des communes de la Boucle.
Au lieu d'entretenir ce qui marche, on déconstruit et quand c'est la déconfiture, il nous est raconté que c'est la faute à l'Intercommunalité!
Il serait amusant, quoique plutôt triste, de faire la somme des frais d'études diverses commandées depuis 20 ans sur des sujets devenus bateaux comme, la Place du Marché, l'aménagement de la ville, la dynamisation du commerce ... Tout cet argent qui certainement se compte par millions aurait été plus utile au service des vésigondins.
Mais, l'histoire n'est qu'un éternel recommencement. Coradetti, qui comme ses prédécesseurs n'a aucune idée sérieuse à proposer, nous met encore une fois entre les pattes un AMO pour réfléchir au devenir de la Place du Marché et du Centre ville. Encore des centaines de milliers d'euros qui vont servir à remplir les armoires du Château Carnot, car la probabilité que rien ne sorte de cette pseudo concertation est très forte.
L'avenir de Monsieur est devant lui et, il l'aura dans le dos chaque fois qu'il fera demi tour. (P. Dac)
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