Cora : Luisant ou solitaire ?

C’est comme le verre, à moitié plein, à moitié vide.

Cora attire la lumière en ouvrant une promenade « historique » (sic) entre la gare du Pecq et la maison des aiguilleurs … !  Les Vésigondins de souche se tordent déjà de rire.

Reboucher l’immonde terre plein de la place du marché est hors de ses compétences alors pour les ballades  bucoliques on préférera celles qu’il n’a pas encore saccagées et où l’on peut déambuler sans risquer tomber sur des panneaux danger de mort (angle avenue du grand Veneur et avenue de Musset)  masqués par les herbes folles. La connerie des bobos-écolos est définitivement sans limite.

Ridiculisé par Montesson qui lance un vaste projet sportif avec en prime une offre « paddel », concurrencé par Croissy qui ouvre une vraie maison médicale et déploie un centre commercial aux portes du parc princesse Cora ressemble à un animal ébahi par le panache des trains.

Le monde bouge et Cora solitaire fait du sur place.

Dépassé dans tous les domaines, sauf celui de la fiscalité, le boulet du Vésinet accumule les revers. Davin, Bristol se gaussent et récupèrent le magot voisin. Croissy déroute les chalands sur les échoppes de son échevinage et Montesson attire la fine fleur des sportifs de la Boucle.

Cora 13^ème vice président que l’on croyait ingénument en charge de la mutualisation communautaire se fait rouler dans la farine par des briscards. L’amateur, l’incompétent, le pusillanime est baladé par ses pairs. D’aucun s’en offusquerait, se rebifferait, mais le roquet a perdu tout son caquet, usé, démonétisé il n’a plus que les deux cent mètres du chemin qui courre des aiguilleurs à la vieille gare SNCF à baptiser en  « promenade historique » pour ne pas se faire oublier.

Lamentable.

 

Le Huron