Madame « Moi-Je » ou la girouette du perchoir
Si sur la forme tout était dans le gnangnan qu’elle maîtrise à la perfection, sur le fond on a une fois encore flirté avec la sidération. Des journalistes habitués aux pitreries des politiciens de second plan avaient du mal à garder leur sérieux !
Sur les Institutions après avoir déclaré, il y a une semaine que « le climat n’était pas propice à leur changement » (sic) elle affirme ce matin dans le JDD: « C’est le moment de réformer les institutions ».
Interrogée sur le sens d’une
telle réforme elle a bafouillé qu’il fallait donner plus souvent la parole au
peuple et développer les referendum, citant « la fin de vie » pour justifier la nécessité d’une telle consultation ! Pourtant il y a longtemps que chez les Corses on ne fait plus voter les morts ...
Quelques minutes plutôt elle
avait asséné qu’elle ne croyait pas au referendum pour sortir de la crise car "nos institutions - disait-elle - fonctionne parfaitement". Si elles fonctionnent parfaitement pourquoi les changer ?
Aristote s’est retourné dans sa nécropole. Comment peut-on ainsi bafouer le principe de non contradiction, dire tout et son contraire en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire.
Au-delà de ce principe, c’est la survie de notre système politique qui est mis en danger quand un personnage d’une telle insignifiance peut devenir le numéro 4 de la république !
On comprend plus que jamais la nécessité d’une réforme !
Le Huron
YBP répète toujours la même chose, elle mime la chanson de Jacques Dutronc "Et moi, et moi, et moi"
RépondreSupprimer"Et moi, et moi, et moi
Avec ma vie, mon petit chez-moi
Mon mal de tête, mon point au foie
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie"
Elle n'intéresse personne sauf sa petite personne.
oui, l'interview de ce matin sur cnews et Europe 1 est à écouter mais avec modération, on connait la chanson, le disque est rayé et ellle remet toujours un jeton dans le "jukebox".
RépondreSupprimer« L'homme est la mesure de toute chose » est une locution philosophique attribuée à Protagoras. Popularisée par Platon dans le Théétète et le Cratyle, elle énonce le principe fondamental du relativisme, selon lequel rien n'existe indépendamment de celui qui le perçoit, c'est-à-dire que rien n'a de réalité objective, extérieure au sujet.
RépondreSupprimersi on est une vraie sophiste , comme Protagoras, tout est relatif , même le principe de non contradiction est sujet à caution, on comprend mieux les variantes dans les discours successifs de Braun Pivet
Certes son attitude déroute mais les sophistes existent en politique il faut s'y faire
Dans l émission « Grand Jury » du dimanche 7 mai à 10h00, elle a fait du Grand Braun-Pivet ! « La crise démocratique n’est pas le bon mot,… l’Assemblée n’est pas bloquée,…. le 49.3 est légal et à été très peu employé , …. Je vais le Tour de France juste pour dialoguer,…. Je veux réformer les institutions mais sans les modifier,… C’est pathétique ! Aucune grandeur, aucune proposition. 100 % déni et prétention. Madame « moi-je » ne sait pas où elle sera dans 4 ans ?
RépondreSupprimerAttention c’est une Dame qui dixit ses propos est écoutée par son Maître Macron et qu’il va jusqu’à mettre en application ses propositions…. C’est qui le Patron ???? Braun-Pivet bien entendu !
RépondreSupprimerBrigitte et YBP sont les oreilles de l'Elysée, Alexis Kohler et les autres laquais de Macron vont pouvoir aller pointer à Pole Emploi.
SupprimerDevinette :
RépondreSupprimer"Je m'aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie"
"Oh mon miroir, mon bon miroir, dis-moi qui est la plus belle, la plus intelligente",
"Je veux être Calife à la place du Calife"
Qui est-ce ?