B. Coradetti frappé d'interdiction !
Au Vésinet c’est une première, le maire est frappé d’interdiction de démolir !
Dommage pour lui car c’était sa
seule raison d’être : détruire ce que patiemment ses prédécesseurs avaient
construit : une certaine façon de vivre ensemble.
Le nouvel exploit des bras cassés
du boulevard Carnot est inédit : se faire interdire de démolir
Dans les tables de la loi que respectent les municipalités existent des dispositions qui protègent la propriété privée. Pas du genre à impressionner Coradetti et Cie. Malgré les avertissements sans frais d’une opposition bien charitable le maire s’est obstiné à prétendre délivrer un PC qui empiétait sur la propriété d’un tiers – un mur en l’occurrence. Pourtant les riverains s’étaient mobilisés et la reconstruction de l’ilot des courses était devenue une affaire d’état – à l’échelon municipal.
Passant outre les avis des juristes, des habitants et de son opposition B. Coradetti a une fois de plus foncé tête baissée dans le mur ! Espérant sans doute le démolir !
Le mur a résisté et le maire s’est
ratatiné !
Cette énième rebuffade laisse ouverte quelques questions.
Y-a-t-il une malédiction Coradettienne ?
Comment une adjointe à l’urbanisme – une ultra rose – a pu signer une demande de PC impliquant la démolition d’un bien extérieur à l’opération immobilière sauf à invoquer une incompétence crasse ? Elle ne pouvait ignorer la nullité de la procédure et la volonté des riverains d’en découdre avec cette implantation forcée d’un surplus de logements sociaux.
Soit elle avait souhaité mettre le maire en échec – ce qui parait même à la portée de la première buse venue, soit elle avait reçu l’assurance qu’une député au bras long ferait passer le projet ?
En tout état de cause l’adjointe a révélé son incapacité à gérer l’urbanisme de la ville.
Le Huron
C'est le comble de la Macronie : un conseil municipal, où siège la Présidente de la Commission des Lois, qui ne connaît pas ou ne respecte pas les éléments basiques du droit !!!
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