Forcément discourtois !
Sauf que ce typo, cet erratum* concerne l’édito de monsieur le maire du Vésinet. Et que nul insert n’a été glissé pour corriger l’impair dont monsieur Davin, l’échevin de Croissy, est en droit de s’offusquer.
Sans doute que nul n’avait lu l’édito de monsieur Coradetti avant que la revue municipale ne soit donnée à distribuer. C’est dire l’importance prêtée aux scribouillages de monsieur le maire dans la sphère municipale.
Sauf à méconnaitre les règles en vigueur au sein de cet établissement, quand les services étaient sous la houlette d’un professionnel, il est impossible qu’un texte proposé par monsieur le maire ne soit relu d’abord par sa secrétaire, puis par le service de communication, puis par le directeur général pour s’assurer qu’aucun propos du magistrat n’est susceptible de lui attirer les foudres d’un quelconque mis en cause.
A l’évidence dans cette livraison de fin juin aucun des garde-fous listés dans le protocole de publication n’a fonctionné. Et pour cause, tout le monde s’en fout … si le maire est discourtois !
La faillite concerne toute la chaine de commandement : du géniteur de cet édito au signataire du bon à tirer.
Le Huron
*
Foutriquet ne doit pas connaître le nom du Maire de Croissy. C'est pour ça qu'il a laissé en blanc ... et personne ne l'a remarqué.
RépondreSupprimerOu alors, c'est alzheimer qui frappe Foutriquet!