La déculottée
Plus qu’une gifle, plus qu’un camouflet, plus qu’une branlée c’est une déculottée que le peuple méprisé a infligé au garnement Macron et à sa tripotée de péteux qui cinq ans durant n’ont eu de cesse de lui infliger brimades et vexations voire des humiliations.
Nul n’est besoin d’être politologue, statisticien ou cartomancien pour décrypter le sens profond du rejet infligé par les bouseux à la macronie et à ses hérauts. Une bande de profiteurs, d’enfants gâtés d’un système à bout de souffle, qui plutôt que de jouer l’humilité en reconnaissant leurs privilèges, ont culpabilisé les exclus, et ceux qui refusant de se joindre à la caste ne communiaient ni à leurs agapes ni à leur grand messe et encore moins au catéchisme jupitérien.
Récoltant les fruits de leur haine pour le commun - ainsi madame Braun Pivet porte sur son visage les stigmates de l’aversion que lui procurent ses contempteurs - les élus macroniens sont cernés. Sur la droite par ceux qui voyaient les valeurs refuges auxquelles ils adhéraient niées par les autorités chargées de les défendre - tel un Darmanin occultant les violences du stade de France, sur la gauche par les déboussolés du double langage, les laissés pour compte de l‘immigration heureuse, les « victimes » du crime commis contre leurs parents par les colonisateurs pas encore exterminés par les saint Just du macronisme.
Réconcilier les extrêmes et leurs partisans était une gageure.
Macron l’a fait pour le malheur des français. Quant à sa petite personne, après cette déculottée, elle n’intéresse plus grand monde, tellement un roi nu n’attire plus que le regard des voyeurs et des pervers.
Les autres regardent déjà ailleurs …
Le Huron
il fut un temps ou le roi des français s'appelait Louis Philippe..
RépondreSupprimerOn dit que l'histoire ne se repète pas et pourtant que de similitudes