La république de Salo : un remake ?
Qui a dit :
« la mairie est désertée par les agents, nuisant à la réalisation des projets majeurs de la mandature.
Les dissensions attisées par vous (M. Coradetti - ndlr) et certains élus rejaillissent sur les agents
… dans la Majorité la contradiction constructive n’a pas voix au chapitre …
La liste des dissensions n’est pas exhaustive : entretien des lacs et rivières, gestion RH hasardeuse, une place du marché au stade d’étude après deux ans et demi de mandature, une gestion catastrophique du suivi des travaux du gymnase Matalou, des budgets non maîtrisés. »
Qui a demandé : « de recentrer la majorité sur le travail et d’oublier la communication outrancière » ?
Est-ce un trublion contempteur de monsieur Coradetti, un blogueur décrié pour des polémiques déplacées, ou un agent de l’extérieur décidé à faire exploser la majorité ?
Un émule de Staline ou un disciple de Mussolini, les références que M. Coradetti voue aux gémonies !
Pas besoin d’aller chercher si loin, c’est au cœur du réacteur que la voix s’est faite entendre, en plein Conseil municipal du 8 septembre qu’une deuxième adjointe a fait lire une lettre après que monsieur le maire a refusé d’acter sa démission donnée au C M précédent !
Et c’est par une descente de
police à son domicile devant des enfants tétanisés que le maire lui a courageusement fait transmettre du
papier bleu !
Le Vésinet aujourd'hui : y vivrait-on un remake de la république de Salo ? Verra-t-on l'effigie de Madame Nanoux pendue la tête en bas sur la place du Marché ?
Le Huron
,
Grouchko va pouvoir donner des conseils à Foutriquet, car il en connaît un rayon en matière de démission de maires adjoints.
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