Les ibis : un lac méphitique !

Exhalaisons putrides, émanations fétides, puanteur méphitique : les abords du lac majeur de notre ville-parc font fuir les promeneurs. Aucun risque de croiser un petit marquis enamouré avec sa dulcinée tellement l’atmosphère y est délétère.

Jamais de mémoire de septuagénaire la déshérence de cette aire de plaisance ne s’était exprimée jusqu’aux narines des riverains.  C’était avant qu’un "marcheur" ne se hisse à la gouvernance de ce havre de jouvence.

Depuis tout part à vau l’eau saumâtre … comme celle des lacs et petites rivières laissée à l’abandon, aux algues vertes, au croupissement et à la décomposition organique mère de pestilence. Rien n’est fait alors rien n’y fait, la nature reprend ses droits, et la méthanisation de nos étangs contribue à l’emballement de l’effet de serre !

Bravo les bobos, leur indigence intellectuelle est telle qu’ils n’en ont pas même conscience …

Aux mêmes lieux une signalisation bienvenue invite les clebs à la retenue, mais quid des bernaches, sont-elles victimes d’une discrimination raciste de la part de nos buses ?

Nulle injonction pour s’épancher dans des ilots réservés ! C’est sur les pelouses et les allées jamais nettoyées que gamins, petites vieilles (et vice versa) pataugent dans la fiente et en inhalent les remugles.

Déambulez à Croissy, comme au Pecq, les promenades y sont salubres, les bords de Seines propres et respirables, les espaces de déjection soigneusement entretenus et les distributeurs approvisionnés.

A quand le discret J-R annexera-t-il le Vésinet dans son apanage ?

 

Le Huron