La Macronie, une voyoucratie ?
? Point d’interrogation pour étayer la présomption d’innocence … aucune !
Les indices convergent, les soupçons d’un pacte de corruption pour bénéficier des largesses de l’Etat sont nourris de mille coïncidences et concomitances qu’un hasard bien mal inspiré a seul pu provoquer …
La ficelle est grosse et bien connue de tous les maires de France.
Si Sarkozy n’en a pas usé (?), son entourage en a abusé, le
prochain procès Bygmalion éclairera peut être sur une méthode dont le Huron a été
témoin puisqu'elle est largement développée à l'échelon communal.
Tu te présentes sans le sou, mais avec des espérances sérieuses d’être élu (2017), ou réélu (2022). Une officine bien introduite dans le processus du battage de campagne prend le risque de mettre à ta disposition logistique, infrastructure et petites mains à un prix à faire rougir le black Friday.
Tu casses ta petite tire lire et fait une campagne au rabais qu’une commission des comptes de campagne s’empresse d’avaliser : n’as-tu pas été élu en dépensant moins que tes adversaires déchus ?
La deuxième manche se joue après, dans las salons feutrés aux lambris dorés où le concept d’appel d’offres a un petit gout de vulgarité, où le sigle UGAP est une grossièreté. On s’y distribue les missions de conseil pour un réaménagement d'une place de marché ou une campagne de vaccination, un projet de refonte de l’organisation du ministère de la santé, la réforme des CP … c'est selon, en ayant soin d’imposer quelques contraintes que seul le cabinet pressenti peut honorer !
Le tour est joué … c’est le jack pot pour l'intervenant qui récupère la mise au décuple, ce qui paye pour les coups foireux.
Au passage on aura fait voter la loi « moraline » sur la confiance dans la vie publique, juré ses grands dieux qu'on était "honnête", et invité ses contempteurs à se précipiter au pénal, sachant que la Justice s’arrête à la porte de l’Elysée !
Sans même hésiter les copains et les coquines auront été parachutés dans les postes les plus friqués de la république, s’assurant de leur reconnaissance éternelle, et surtout d’une amnésie totale au cas où ils viendraient à être mis sur le gril par un Van Ruymbeke un peu trop indiscret.
Des voyous héritent ainsi de sièges qui n’ont plus rien d’éjectables et voient le bout du tunnel tout en feignant ignorer le marché implicite sur lequel ils ont vendu leur âme. La voyoucratie nourrit la voyoucratie, car tous les compromis sont liés par le pacte de discrétion d’autant plus qu’ils ignorent quels autres sont aussi tenus par la barbichette.
C’est tout l’art des maffieux de laisser au seul parrain la vision globale sur les liens croisés.
Il faudra des trésors d’opiniâtreté au parquet national financier pour démêler l’écheveau tressé dans la finalité d’échapper aux limiers.
Macron dont personne n’a cherché à connaître où avaient ruisselé les sommes mirobolantes touchées du temps où il fréquentait Mc Kinsey et Cahuzac n'a pas molli pour allumer des contre feux.
Dans 4 ans, sorti de l’Élysée il pourrait fréquenter un tout
autre palais.
Allez, on n'est pas rancunier, bonne ... Santé !
Le Huron
Dans le temps il y avait Khadafi , et Omar Bongo et des valises de billets
RépondreSupprimerBalladur avait du vendre beaucoup de tee shirts pour financer sa campagne
Mais la France Afrique n'est plus
autres temps autres moeurs?
si on remonte dans le temps Urbaconseil faisait de fausses factures pour alimenter le parti socialiste en prenant une dime sur tous les marches publics et Sicopar de même pour alimenter le PCF
RépondreSupprimerPas besoin d'aller chercher si loin. Le Président à talonnettes a démontré combien il est possible d'être fourbe en se dédouanant de toute responsabilité dans le dépassement de 20 millions d'euros de ses frais de campagne. Belle démonstration des hommes politiques sur leurs capacités à savoir compter !
RépondreSupprimerConcernant Jupiter, on verra bien ce qu'il ressort des investigations en cours. Par contre, vu le nouvel endettement du pays grâce à lui, au moins deux générations pourront se souvenir de lui et de son incapacité à faire qui que ce soit de bénéfique pour la France.
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