Le Vésinet, terre d'Asile ? by R Bus
Après avoir subi les incohérences du Bd Carnot et son lot de décisions foutraques dont, in fine, personne n’est responsable (cf. la réunion sur le Minibus), nous devons subir les inconséquences migratoires d'un trio de "sachants" venus de l’Élysée, de Beauvau et de la Place Vendôme.
Leur seule ligne commune : c’est la faute aux ritals.
Notre premier magistrat de souche transalpine va-t-il redorer le blason des italiens et ouvrir le Sarcophage pour y accueillir fuyards, relâchés et autres quémandeurs d’asile ?
Grande prêtresse du cœur et des restos éponymes, notre Haut perchée et éphémère avocate pénaliste prodiguera –t-elle au Premier Magistrat les conseils avisés pour l’octroi de subventions à ces pôvres déshérités ?
Alors la discrète Fondation pour le Vésinet, pourra actualiser sa mission en obtenant les subsides de Vésigondins rompus à la défiscalisation … au profit de ces « naufragés »
Et notre ex-Maire pourra suggérer à quelques migrants de squatter dans l’ex-gare SNCF du Vésinet-Le Pecq, joyau d’acquisitions pertinentes. Mais peut-être ces derniers hésiteront-ils, au pays d’Abraracourcix à se réfugier là où le ciel peut leur tomber sur la tête …
Place du marché, notre italien de course (pas de la rue des courses), qui a perdu son bonnet d’âne, pourra, à l’approche de l’hiver, protéger les migrants logés dans le trou des quelques bonnets phrygiens que nos féministes des Olympiades n’oseront porter, histoire de ne pas heurter le puritanisme … honni soit qui mal y pense !
Toujours est-il que ce pitoyable et prévisible fiasco montre que les discours des donneurs de leçons ne sont qu’un cataplasme camouflant l’incompétence générale de nos hommes d’état.
R. Bus
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