Place du marché : Concertation ?
A la mairie on ne confond pas vitesse avec précipitation. C’est plus d’un mois après les réunions populaires du 15 octobre que la ville rend compte des travaux organisés pour définir le réaménagement de la place du marché.
Quelle déception, hormis le papier toujours plus glacé (et couteux) c’est une énième compilation de tout ce qui a été dit et redit depuis bientôt 20 ans !
Même vœux pieux dont la candeur le dispute à la naïveté. Même mise en scène de prétendues concertations. Dont on sait qu’elles riment avec contestation !!
Comment expliquer que l’option « Ferme » qui a été choisie par les Vésigondins - dixit le maire fier de ses 18% - puisse passer aujourd’hui à la trappe. Quelle sera la légitimité du nouveau choix quand seulement une petite centaine de gens a été consultée ?
C’est bien entendu la porte ouverte à toutes les contestations et dieu sait si les Vésigondins sont créatifs quand il faut coaliser les mécontents !
Coradetti par dilettantisme et amateurisme a perdu trois ans, et fait des chèques conséquents aux cabinets sollicités pour ressasser tout ce qui existait dans les dossiers du premier étage. Encore fallait-il les trouver (ne pas virer les gens compétents) et les étudier, c'est-à-dire un peu travailler …
Les problématiques sont connues, il suffirait de réactualiser les couts et de proposer par une consultation officielle aux Vésigondins de faire un choix.
Plus facile et moins laborieux de donner l’illusion d’une concertation (toujours les mêmes qui se déplacent et qui produisent les mêmes suggestions : cqfd)) que de se remettre sérieusement au travail là où les équipes précédentes avaient du passer la main.
Le résultat est à l’avenant : rien de neuf, du réchauffé et pas la moindre probabilité de déboucher sur une réalisation avant la fin de ce calamiteux mandat.
Dans trois ans préparez vous à tout recommencer !
Le Huron
Aujourd'hui les écoles princesses ne sont pas en mesure d'accueillir les enfants, faute de chauffage entre autre.
RépondreSupprimerA ce niveau il vaut mieux qu'ils ne touchent à rien le restant de leur mandant.