Souverain mépris pour une Fondation
Initiée par deux élus de sa majorité l’idée d’une Fondation pour le Vésinet s’est vite imposée et s’est donnée pour premier objectif : faire renaitre le parc des Ibis à la façon du comte de Choulot
Le principe du cofinancement des
replantations est avalisé par la ville : achat des sujets par la Fondation, mise en terre
et entretien assurés par les services municipaux. Des centaines d'arbres implantés de 2014 à 2020 à la
satisfaction générale …
D’ailleurs les 4 fleurs ne sont pas venues de nulle part, mais d’un travail acharné impulsé par un maire puis développé par la Fondation qui n’avait d’autre agenda que de protéger et d’embellir notre environnement privilégié.
C’était il y a une éternité !
B. Coradetti a débarqué, des fleurs ont flétri, l’effectif municipal a fondu, des 24 fantassins œuvrant sous la houlette de Louis Ricard il n’en reste pas même la moitié. Quant aux sous-traitants, aucun n’aura pour la ville l’ambition d’une équipe de jardiniers dédiée, d’autant moins que personne ne leur fixe de cap en l’absence de DST.
B. Coradetti prétend créer un label 4 arbres mais "en même temps" autorise l’abattage de sujets
remarquables sur le triangle d’or pour ériger un bloc-haus et laisse faner la 4ème fleur.
Avec ténacité les donateurs de la Fondation voudraient coréaliser des projets clairement identifiés comme la rénovation, sous le regard des 3 grâces, du jardin à la française au cœur de l’ile des Ibis. Le faire en symbiose avec les équipes municipales, dans un schéma de parité, implique que la mairie s’y intéresse et soit équipée pour exécuter l’aménagement …
A ce jour malgré la perpétuation des donations – ici on parle en centaines de milliers d’€ - le maire n’a que mépris pour cette forme de partenariat. La Fondation n’a pas reçu le commencement d’un début de reconnaissance de la part de l'édile, tout occupé à se faire mousser auprès de sa haute Perchée, quand il n’est pas en stage de dilettante. Il n’a jamais reçu les membres de la Fondation !
Macron et ses obligés n'auront qu'un temps ... le parc des Ibis sera longtemps le fleuron des jardins
urbains admiré par le banc et l’arrière banc des paysagistes.
Encore faudrait-il qu'au pipeau - l’outil privilégié des dilettantes - succède des engins pour réaliser les travaux !
Ce qui n'exclut pas - cerise sur la gâteau - la considération pour les donateurs.
On peut rêver !
Le Huron
Le Huron passe sous silence le rôle fondateur de Jean Charles Colliez dans l'obtention des 4 fleurs.
RépondreSupprimerCet élu dévoué à la cause mérite qu'on salue sa mémoire.
Vous confondez 4 fleurs et fleur d’or. La Ville était déjà 4 fleurs depuis quelques mandatures lorsque Jonemann Fils a été élu, ce qui n’enlève rien à l’effort réalisé en 2013 et qui a permis à la Ville d’être « d’être labellisée fleur d’or »
RépondreSupprimerMilles excuses ! le label "fleur d'or" est exceptionnel, c'est bien sûr celui là que D. Jonemann, JC Colliez et L Richard ont décroché !
SupprimerLe Huron