"Deutschland über alles" le retour !
Les nains qui l’ont suivi n’avaient d’autre ambition que de laisser la France profiter de la dynamique de cette reconstruction pour récupérer la manne qu’injectaient les Wessis dans le kolossal effort financier d’intégration des Ossis.
Le reste, l’essentiel leur a échappé. Ainsi la supériorité numérique du géant reconstitué mais aussi économique et la position centrale dans une Europe recomposée vers l’est déstabilisaient l’équilibre originel des pères fondateurs. L’intégration se ferait au détriment de la France et de ses intérêts.
Le mantra légué par de Gaulle s’applique à Macron encore mieux qu’à ses prédécesseurs « Bien entendu, on peut sauter sur sa chaise comme un cabri en disant : l'Europe ! L'Europe ! L'Europe ! Mais ça n'aboutit à rien et ça ne signifie rien ».
Depuis que de désillusions, que d’asservissement !
Nos politiciens de tous bords, Macron et les pantins républicains et socialistes, communient à la même frénésie dénuée de toute rationalité. La métaphore d’un couple moteur d’une Europe avançant de concert, mystification pour faire accroire qu’il y a une égalité dans le rapport de force entre les deux pays.
Sarkozy imposant le traité de
Lisbonne, Hollande actant le démantèlement d’EDF et la fermeture de Fessenheim
donnaient des gages sans autre contre partie que parader avec les chancelier(e)s
qui les cocufiaient en pleine allégeance avec nos élites "collaborationnistes"
Absorbant Airbus dont le centre de gravité devenait teuton, pompant les technologies hexagonales les plus avancées en matière aéronautique pour mieux commercer avec leur seul partenaire vital : les USA.
Cocus et heureux les français abandonnaient leur industrie nucléaire et s’alignaient sur un marché unique de l’énergie imaginé pour satisfaire le tropisme germain vers le gaz russe.
Certains pensaient qu’on arrêterait de boire la coupe jusqu’à la lie … c’est mal connaître Macron, l’architecte de notre déconstruction.
Pas seulement en cassant les outils régaliens : Justice, Éducation, Armée, pas seulement en bradant des pans essentiels de notre indépendance économique – médicaments, industrie lourde mais en s’alignant coute que coute sur un credo suranné « l’Europe, l’Europe, L’Europe », alors que notre statut de joueur de deuxième division nous condamne à la figuration.
Le Huron
Actuellement, avec les Germains on ne parle que de charbon et de chars ! Bon!
RépondreSupprimerSi vous avez du temps à perdre ou si vous voulez d'autres preuves de la Hauteur de notre Dépitée, je vous invite à un replay de l'émission de 10h00 de ce jour sur LCP.
RépondreSupprimerYaël Braun-Pivet, Présidente de l’Assemblée nationale, accueillait ce dimanche Bärbel Bas, Présidente du Bundestag, au Panthéon suivi de la célébration des 60 ans du traité de l'Elysée à la Sorbonne avec Mister Macron et le Chancelier Olaf Scholz.
Pour commencer, on peut dire que Madame Yaël Braun-Pivet a besoin d'une Conseillère vestimentaire : tenue déjà vue composée d'une chemise verte débraillée et d'un vieux manteau noir sans doute pris dans l'armoire de sa grand-mère Rosa. Besoin d'un Coach en maintien : rien de plus horrible qu'une femme qui ne sait pas marcher avec des talons hauts. Besoin d'un coiffeur : à 14 000 euros et plus par mois, elle aurait pu avoir un brushing parfait. C'est peut-être des détails mais lorsque l'on oblige les Députés au port de la cravate, on se doit également de montrer l'exemple. C'est certain que lorsque l'on a aucune classe à l'origine, il ne faut pas trop en demander ! Passons à présent au discours : Et oui, elle l'a fait : parler encore d'elle et de son passé. De toute évidence, cette femme a besoin d'un Psy pour l'aider à avancer. A l'écouter, c'est elle qui a vécu la Shoah ( Quel irrespect puant !). Bref, on apprend que sa fameuse grand-mère Rosa est née à Munich et qu'elle berçait "Yaël" avec des mots d'amour dans sa langue maternelle alors pourquoi n'avoir dit aucun mot en Allemand durant son allocution pas même un "Bonjour" ? Quant au fond et à la forme de son discours : il était plat, lyrique et a été très peu applaudi à la différence de son homologue, Mme Bärbel Bas. Pas même les applaudissements de Macron et du Chancelier. Que dire de ses incessantes reniflades et de ce geste sale et inélégant où avec sa main elle essuie la goutte qui tombe de son nez. Aucune classe ! Après son passage peu remarqué, c'est la claque par Bärbel Bas. Celle-ci va vanter Macron et Richard Ferrand pour leur travail sur la mise en place, la coopération et le développement de cet accord, pas un mot élogieux pour Mme Yaël Braun - Pivet à part une petite miette de remerciement pour le recueillement offert au Panthéon. Le copinage a ses limites ... En résumé : Mme Yaël Braun-Pivet n'a aucun charisme et prouve encore qu'elle n'est pas à sa place à ce poste comme en politique.
Voilà un descriptif bien observé de la Haut Perchée et de sa fatuité. Il devrait être distribué dans toutes les boîtes aux lettres du Vésinet avec comme commentaire : réfléchissez un peu avant de voter !
RépondreSupprimerInsupportable de l'entendre rire comme une bécasse durant la signature de la déclaration commune avec la Présidente du Bundestag. Quel manque de sérieux ! Pire est de l'entendre dire à Macron sur le pallier de la Sorbonne que : "Simone Veil n'a pas eu de fille et qu'elle aurait été fière de voir Yaël Braun - Pivet venir sur sa tombe" mais sérieux pour qui se prend elle ? Pour la fille, la digne héritière de Madame Simone Veil ? Macron n'a évidement pas répondu et ne l'a jamais regardé. Cette dame se ridiculise tous les jours un peu plus.
RépondreSupprimerBravo, il est temps de se ressaisir, n’y a t il plus assez de personnes âgées pour se souvenir…
RépondreSupprimer