Fig mag, Play boy : la macronie en raffole !


L’organe féminin de la bourgeoisie décadente, le fleuron de la presse futile et frivole accueille sur 4 pages ( 72 à 75) la diva de la macronie, la tête pensante du nouveau monde (béate à gauche). Pour le Q  Play boy avait préféré la Schiappa, pour le QI le choix du Figaro Madame est au niveau de son électorat.

Céphalée, vertige de la réflexion, découverte de nouveaux paradigmes : aucun risque, niveau  … Voici !

La répétition : un utile artifice pédagogique. Le ressassement de lieux communs est d’une autre nature : le cache sexe de du vide sidéral de la pensée braunienne.

Florilège : «  je défends le sens de la nuance comme celui de la complexité. On construit en entrant dans la profondeur de la complexité …   et bouquet final  je suis plus douée à l’oral qu’à l écrit … »  Cqfd !

Certains, dont le Huron, trouveront la unième rediffusion de l’épopée des Braun un tantinet rasoir. En attendant un prochain sit-com dont les droits sont encours de négociation?

Mais de qui parler quand on s’invente la création d’un cabinet d’avocats pour exercer ses talents de stagiaire pénaliste. Maître Temime n’est plus là pour tonner de sa grosse voix ! Alors en profiterait-on pour réécrire l’histoire ?

La proximité revendiquée impose la modestie, la dissimulation de son égo, la neutralité dans l’exercice de ses fonctions. N’invoquons pas ici l’humilité.

Tout le contraire d’un narcissisme dégoulinant, d’un étalage obsessionnel de ses origines, d’un parcours Potemkine dont chaque image sent la patte du photoshopiste que le Figaro avait malicieusement oublié de convoquer à cet entretien !

 

Le Huron

 

Commentaires

  1. Ses communicants sont aux ordres de la Diva.

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  2. Concernant ses origines et ses affabulations, je pense vraiment que cette femme a besoin d'un Psychiatre digne de son rang. 4 pages d'auto-éloges, de pensées philosophiques Brauniennes, BRAVO au Huron pour sa capacité à pouvoir lire et comprendre du Braun-Pivet, Platon à côté c'est du "pipi de chat". Après l'Hôtel de Lassay, le Panthéon c'est pour Yaël Braun-Pivet !

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  3. tout cela n'a qu'un temps.
    La cour du jeune Louis XIV était jeune et frivole et accueillait Moliere au Louvre.
    La cour du vieux Louis XIV et de madame de Maintenon devenait austère et compassée à Versailles les courtisans aussi

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    1. Tout à fait d'accord. Parfois, il faut mieux se souvenir de notre histoire que des grandes pensées philosophiques qui ne sont que de la poudre de perlimpinpin.

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  4. Tu as raison de jouer à la Reine dans tous ces magazines "people"... Demain la fin de ton règne sonnera et l'on t'oubliera !

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  5. Se prendre pour une Star alors que le Français ne mangent pas à leur faim : D'un ce n'est pas son rôle et de deux c'est indécent. Un peu d'humilité Madame mais on comprend mieux pourquoi il n 'y a que les personnes âgées riches qui vont dans ses réunions.

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    1. Je comprends de ce message une opposition entre un statut que se donne YBP et la situation des français devant l'inflation et la flambée des prix à la consommation. Si ma compréhension est bonne, alors il y a pire à tirer de cette observation ... YBP n'œuvrait-elle pas pour les Restos du coeur ? Aurait-elle oublié cette difficulté que rencontrent les "clients" des Restos du cœur ? Ce qui lui importe n'est il pas de montrer "son action" et non pas la situation de ces "clients" ?

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    2. Je pense Gandalf que nous avons la même vision du personnage : rose bonbon de l'extérieur et noir de l'intérieur.

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  6. puis je suggérer à Madame Yael de lire l 'Oraison funèbre de Henriette-Anne d'Angleterre par Bossuet chef d'oeuvre d'éloquence .
    Cette lecture ne lui sera pas inutile

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  7. comportement typique du syndrome d'Hubris "une obsession de sa propre image qui confine au narcissisme, une confiance en soi hypertrophiée qui mène à l'arrogance et au rejet des opinions alternatives, un sentiment d'impunité pour des conduites répréhensibles et/ou compulsives."

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    1. Cher Psy, cette Dame a besoin de vous de toute urgence. A trop côtoyer le soleil, elle a fini par se brûler la cervelle. Malheureusement, j'ai bien peur que les séquelles soient irréparables. Bonne chance !

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    2. Hélas, les plus grands malades ne se soignent pas, de plus ils s'entourent d'une cour qui ne fait que renforcer leur sentiment de toute puissance.

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