Yaya s’épanche dans le Parisien dimanche.
A qui songe-t-elle ? A la Yaël Braun-Pivet qui s’exhibe en débardeur à la tribune du palais Bourbon. A-t-elle été sanctionnée par Mr Ferrand alors président de la chambre basse ?
A la recherche d’une formule qui pourrait faire le buzz Yaya continue : « Je suis favorable à un jour de consultation … Nous pourrions organisez des referendums à tous les échelons … il nous manque une culture de la consultation citoyenne »
A-t-on entendu Yaya promouvoir l’idée d’un referendum sur l’âge de départ à la retraite, ou sur le contrôle de l’immigration ? ( CF, votation référendaire ultra majoritaire chez les plouks d’ helvètes)
Comme disent nos amis d’outre manche le gloubi-boulga de Yaya c’est du « bullshit » intégral.
Une question demeure, le Parisien a envoyé deux éminents journaleux* auprès de la Diva.
Etait-ce nécessaire pour ne rien rater et témoigner de la profondeur de la pensée Braunienne, ou fallait-il s’assurer que face à son vide sidéral il y aurait un témoin attestant du néant ?
Le Huron
Les journaleux à-la-soupe n'osent même pas évoquer son ignominieux refus d'une minute de silence suite à un naufrage ... quand la complaisance devient servilité !
Même si j'ai une profonde répulsion pour cette personne, peut-on lui reprocher d'occuper l'espace médiatique laissé vide par la gauche, par la droite et même par Renaissance .
RépondreSupprimerSur le plan des idées, elle fait du rase mottes et je crois même que l'on peut douter de son intelligence tant elle dit des bêtises des contre vérités ou encore des contradictions avec ce su'elle a pu dire ou faire.
Beurk ... pôvre petite fille issue de ....
cette femme est diabolique, elle fait du "carpet bombing", technique de saturation médiatique comme son Dieu Macron, cf article "Challenges du 24.06, Nicolas Domenach".
RépondreSupprimerc'est un trou noir . Elle attire toute la lumière
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RépondreSupprimerBraun Pivet ne veut pas de la pluralité de la presse qui lui semble trop de droite ?,
voila ce qu'elle dit suite à la possible designation de Geoffroie Lejeune au JDD;
"Compte tenu des évolutions technologiques, du paysage également de la presse, il faudrait revoir tout cela", a-t-elle déclaré à propos de la concentration dans les médias, interrogée dans Un dimanche en politique, sur France 3.
c'est un peu brumeux mais on la sent durement contrariée elle la bienveillante
Exemple parfait de la Macronerie et des phrases qui ne veulent rien dire.
RépondreSupprimerYBP lance des mots qui n'ont aucun sens ... on commence à en avoir l'habitude.
Les propos de cette femme sont non stop en contradiction ou des mensonges. Deux exemples de ses affabulations : Affaire Benalla ce n'est pas de sa faute c'est celle du député LR Guillaume Larrivé. L'affaire des retraites ce n'est pas de sa faute c 'est celle de Eric Coquerel,... Pour le reste : non inscription de l'IVG dans la constitution, propos sur Ferrand, Darmanin, Dupont-Moretti, interdiction d'une minute de silence pour les enfants migrants, 49.3, article 40,... C'est pas elle c'est de la faute à.... Aucun courage politique, une communication zéro, aucune idée ou propositions intelligentes, du vent du vent et encore du vent...
RépondreSupprimerYaël Braun-Pivet, Présidente de l’Assemblée Nationale : « Je fais abstraction de ma couleur politique »... Ah Ah quelle bonne blague surtout lorsqu'elle clame sans cesse "Je combats les extrêmes : RN et LFI". Pour Yaya, la grande prêtresse, les députés RN ou LFI élus démocratiquement n'ont pas le droit de siéger dans son palais. Drôle de respect de la Démocratie car que l'on soit allergique, pour ou contre le RN ou LFI, ces partis ont le Droit de pouvoir s'exprimer !!!!! Pour ma part, je préfère les voir à l'Assemblée Nationale s'auto-détruire que planquer dans la rue à prêcher leur "Evangile". D'ailleurs, les attitudes du groupe LFI leur ont certainement fait perdre des voix. Si on regarde le Maroc ou la Tunisie où les partis islamistes siégeaient, ils sont aujourd'hui en déroute ! Moi je dis que plus on diabolise ou on empêche ces extrêmes de s'exprimer plus on pousse le peuple à les élire.
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