Cora humilie l' USV, la MJC ... !

Dans un monde bouleversé par la guerre à Gaza, dans une France confrontée à des drames urbains et même ruraux (….) la ville du Vésinet vivait en quasi harmonie. Ses maires successifs, à l’exception de Rital 1^er, voyait en l’intérêt général l’objectif cardinal de leur mission.

Certes des chickayas clochemerlesques clivaient quelques activistes sans que ces frictions ne fracturent la population.

La hauteur de vue et la personnalité des maires permettaient d’entendre les minorités sans jeter l’opprobre sur les récalcitrants. Les conseils municipaux - certes animés - permettaient aux oppositions de faire entendre leurs voix et développer les enjeux. La parole ne leur était pas coupée et leur partisans n’étaient pas expulsés (sauf par Rital 1^er).

Cora, alias Rital 2, vient de s’illustrer. Il a cédé, lors du dernier Conseil, à son autoritarisme atavique, à ses pulsions colériques. Expulser des parents d’élèves qui exigent la protection de leurs enfants c’est se mettre du coté des voyous. Rien qui puisse étonner quand on est la marionnette de Braun-Pivet, starisée pour sa minute de silence honorant la mémoire d’un délinquant.

Au Vésinet la déliquescence de l’institution municipale est à son comble.

L’imbécilité de la tribune* fustigeant les oppositions signée par le groupe aux affaires prouve, s’il en était besoin, l'esprit sectaire du groupe "majoritaire" (18% de électeurs).

Dans cette même séance du Conseil le maire a touché le fond en humiliant l'USV, après la MJC, leur imposant des conventions** contre l’avis des présidents de ces institutions très populaires chez les Vésigondins.

Tordre le bras des responsables de ces associations, tordre le bras du nouveau directeur du Théâtre c’est facile quand on tient le carnet de chèques et la survie de leurs activités. 

Cora s'est comporté en petit péteux qui croit encore que tout s’achète. Insultant l’intelligence et le dévouement de ces bénévoles pour se la péter devant sa clique.

Rital 1^er s’était déjà illustré par ces mêmes agissements … récoltant bronca et mépris de ses administrés.

Très récemment les pas du Cora l’ont conduit dans la cantine de très nombreux Villageois. Il n’a serré aucune louche et aucun des attablés n’est venu saluer le pantin. Du jamais vu au Vésinet, et dans ce troquet où par le plus grand hasard trois autres édiles furent témoin et le Huron de surcroit de l’indifférence dans laquelle monsieur Nobody est tenu.

Le Huron

 

* tribune dans le Vésinet magazine

** probablement retoquées au contrôle de validité