La France, combien de peuples ?
A-t-il raison au regard d'évènements récents et de leur multiplication d’éviter ce qui pourrait apparaître aux pratiquants de l’islam comme une provocation ?
Autrement formulé l’islam est-il soluble dans la république ?
Sans même en évoquer les piliers deux de ses fondements interpellent.
D’abord la supériorité du mâle en violation du principe d’égalité, puis le régentement par la charia de la sphère publique comme privée au rebours des lois du pays où sont installés les musulmans, sont incompatibles avec nos principes constitutionnels. On a beau tourner le problème dans tous les sens l’islam est ontologiquement anti-républicain. Macron le sait et il en accepte de facto le fait en ne défilant pas sous la bannière d’une république qu’il sait ne plus être une et indivisible. Sans doute se satisfait-il que globalement une majorité de musulman s’est jusqu’à ce jour accommodée de cette ambivalence.
Zemmour en fait une autre lecture et reprend en l’enrichissant le thème de la guerre des civilisations cher à de Villepin. Il en fait ses choux gras, et prédit le pire. Fustigeant cette France où cohabitent officiellement désormais deux peuples.
Zemmour aurait-il du mal à compter ? Ou l’ancien journaliste de confession juive serait-il victime d’une singulière amnésie ?
Le premier goy venu aurait pu lui demander si l’idée même de « peuple élu » n’est pas aussi contraire à la valeur « égalité » fondatrice de notre république. Ce serait alors 3 peuples qui formeraient la communauté nationale ....
A-t-on jamais entendu le CRIF renoncer à ce dogme fondateur ? On peut compter sur la haut-perchée doublement « élue » Braun-Pivet pour obtenir du Grand Rabin cette modification substantielle et faire rentrer cette communauté .... dans l’arc républicain !
Elle aura enfin bien mérité de la République Laïque.
Le Huron
Un jour viendra où les urnes électorales
RépondreSupprimerseront les urnes des cendres de la France
Salem Ben Ammar
Docteur en sciences politiques, français d’origine
Tunisienne,
il est engagé dans le combat contre l'Islam
Viendra le jour où nous allons rigoler jaune avec les
revendications des musulmans de France : « Nous constituons près
du tiers de la population française. En toute logique nous devons
prétendre au tiers des sièges dans les différentes institutions
nationales et locales représentatives du peuple ».
Or, nous sommes mis sur la touche alors que vous êtes élus
grâce à nos voix. Soit vous nous faites de la place sur vos listes soit
nous créons nos propres partis politiques, ce qu’ils ont déjà
commencé à faire, et nous
présenterons nos candidats partout en France.
Un autre péril qui menace la France où ils pourraient un jour ou
l’autre mettre la main sur l’Assemblée Nationale et adopter les lois
favorables à l’islam. Ils sont des électeurs, aucune loi en France ne
saurait étouffer leurs velléités politiques.
Le vrai péril pour la France est quand les musulmans seront 10
millions à voter.
Quand ils seront 10 millions à voter ce qui ne saurait tarder quand
on sait qu’un jeune sur 5 au moins est de parents nord-africains, les
urnes de la démocratie pourraient se transformer en urnes de ses
cendres. Une conquête tranquille de pouvoir sans heurts ni effusion
de sang.
En naturalisant les musulmans à tour de bras, la France n’a peutêtre pas imaginé le scénario qu’un jour ils seront des électeurs et
des éligibles et qu’ils pourraient ainsi l’achever.
Un musulman est, par définition, un soldat au service de la cause
de sa religion; il n’a que faire de l’intérêt général d’un pays censé
être de surcroît un dar al harb, une ère à conquérir, qui naïvement
lui offre lui-même les armes de ses lois trop généreuses pour faire
triompher la cause de l’islam.
La France peut toujours fermer ses frontières et durcir les
conditions d’accès à sa nationalité mais elle ne peut plus faire
grand-chose contre la forte poussée démographique et le poids
électoral grandissant de ses musulmans.
Quelle que soit la force politique qui sera amenée à diriger les
affaires du pays aux lendemains des prochaines échéances
électorales présidentielles et législatives elle n’aura pas toute la
marge politique nécessaire pour les traiter en simple vivier électoral
où l’on vient puiser ses voix tous les 5 ans.
C’est fini le temps où ils font figure de simples figurants sur
la scène politique française. Ils savent parfaitement que le temps
joue pour eux et que statistiquement ils constituent le premier
politique en France avec au moins 10 millions de militants
déterminés et mus par le même idéal islamiser la France.
Pour l’heure ils sont capables de se fondre dans le creuset
républicain pour ne pas continuer à nourrir les sentiments de rejet
et de défiance dont ils font l’objet au sein de la majorité des
Français. Ils préfèrent temporiser et poursuivre subrepticement leur
stratégie d’araignée qui tisse inlassablement sa toile à l’ombre des
tours en béton et s’étendre dans les coeurs des villes comme à
Marseille, Paris, Lille et Toulouse où des quartiers entiers sont
totalement islamisés.
Pourquoi vont-ils relever le défi d’une guerre civile qui pourrait
leur être fatale alors qu’ils ont tout intérêt à avancer à visage
couvert et renforcer leur assise démographique et électorale sans
que personne n’y prenne garde ?
La France islamisée est pour bientôt et les musulmans s’en
frottent les mains comme si leur victoire est acquise à 100%.
Et ce n’est pas des gesticulations verbales enfiévrées et hystériques
que les Français soumis aux flux migratoires incessants à forte
dominante musulmane vont pouvoir éviter à la France de finir sous
les griffes de l’hydre musulmane.
Tant que le peuple continue à banaliser le danger de l’islam la
France n’échappera pas à son destin musulman.
Salem Ben Ammar