Le Village Potemkine !
La municipalité est à l’arrêt.
Les finances sont exsangues. Les arriérés s’accumulent, les litiges s’empilent* et les rares projets sont gelés.
L’assèchement de la trésorerie ne permet plus de gérer les affaires courantes.
Le Grand Ludovic, le ponte de la Phynance à réussit l’exploit d’attirer les huissiers.
Le Vésinet n’est plus qu’un village Potemkine où tout n’est qu’esbroufe, com’, façade et enfumade. Rital 2, un faiseur, un digne héritier du premier de la lignée, un fieffé menteur doublé d’un imposteur.
Pourtant quelles promesses, quels engagements n’avait-il pas pris, quelles assurances données qu’une révolution était en marche pour enfin redresser le Vésinet, cesser les bisbilles, les affrontements stériles et se mettre au travail pour rattraper tous ces mandats perdus ?
Le score étriqué sorti des urnes – un petit 18 % des électeurs – commandait le travail collectif, l’association de toutes les tendances pour ne mettre en chantier que des projets qui faisaient consensus. C’eut été intelligent. Mais la Brigade des Buses s’est pris le melon … n’est ce pas Ludovic ? (photo ci contre)
Résultat Princesse aligne les déconvenues et son coût explose à la charge de la ville, quant aux autres lunes elles sont au fond du lac, non sans avoir soulevé la population contre leur réalisation.
Fiasco sur toute la ligne avec en point d’orgue l’évacuation du Conseil municipal.
La coupure avec la population s’inscrit dès les premiers jours du mandat avec l’outrance et l’arrogance des buses subalternes. L’indigente incompétence des adjoints. A commencer par la finance, les travaux, les sports, la sécurité …. coiffé par un menteur invétéré dont le Huron attend toujours qu’il lui en fasse le procès.
Cette fois la messe est dite. Le trésorier n’est pas aux ordres des pantins de l’hôtel de ville. La galère financière dans laquelle Rital 2 a plongé la ville n’est pas imputable aux opposants. La démission du responsable de cette humiliation doit être immédiate,
et un audit requis auprès de la chambre régionale des comptes. Avec un seul objectif :
Savoir où est passé l’argent !?
Le Huron
* foi de créanciers impayés depuis septembre ...
J'ai eu peur. J'ai cru que c'était le bâtiment de l'Assemblée Nationale qui s'effondrait.
RépondreSupprimerAprès une journée de boulot : ce commentaire m'a bien fait rire sur Yaël Braun Pivet. ! MERCI
SupprimerBraun Pivet lors de sa venue au CM de jeudi a validé toutes les décisions dont l'expulsion des parents d'élèves.
RépondreSupprimerIl nous reste les IBIS .
RépondreSupprimercet après midi le soleil y etait radieux ,la nature rougeoyait , le lac etait immobile et les oies bernaches avaient disparu
Les finances ont exsangues"... c'est vrai. Tout a été dépensé en études aussi inutiles qu'idiotes.
RépondreSupprimerLes seuls à en avoir profité, sur le dos des Vésigondins, sont les "agences conseils", celles du genre de celle qui a opéré sur la place du marché, spécialisée dans la "programmation urbaine disruptive", l' "urbanisme collaboratif, inclusif"... Autre exemple de gabegie, à Princesse...où en modifiant le projet initial du centre socio-sportif, après le concours d'architectes, la Ville se retrouve à devoir tout payer, alors que l'aménageur s'était engagé à tout financer... 5,5 millions d'euros de perdus, c'est cela ? Qu'à cela ne tienne ! Au dernier Conseil Municipal où le maire a requis la force publique pour mettre dehors les parents d'élèves mobilisés contre la "pension de famille" (chouette nom !), le maire a fait voté un emprunt de 4,5 millions d'euros... Evidemment, ce n'est pas écrit dans le "Vésinet Mag"...!!
Que de millions dépensés par les différents Maires du Vésinet depuis 2007 en études diverses, cabinets de conseil, architectes, urbanistes (en fait des Sachants qui ne savent rien). Les armoires et archives de la Mairie croulent sous les rapports bidons, inutiles, mal conçus ou encore farfelus). Tous les Maires sont concernés et coupables : Varèse, Bastard, Jonemann, Grouchko, Coradetti.
RépondreSupprimerCes Maires n'ont jamais eu la moindre idée intelligente à mettre sur la table. Toutes leurs rares réalisations sont pitoyables.
Grâce à eux, Le Vésinet se meurt, les finances sont exangues et aucune perspective positive se présente.
Au lieu d'avoir une vision d'avenir, on se gausse et on boit à la mémoire du Vésinet d'antan.
Venez au CAL admirer l'exposition de la Société d'Histoire du Vésinet sur les jours heureux de cette ville.
Tout le pseudo gratin de la Ville s'y est précipité hier soir et a bu goulument avec les sous des vésigondins.
Cher (!) monsieur, je n''apporterais qu'un un bémol à votre post. Je ,n'y ai à boire qu'un modeste Kir !
SupprimerPas même Royal ...
Le Huron
Le kir a du mal à s'évaporer et a dû donner mal à la tête ... ahahah !
Supprimer