Thomas : l’odieuse tartufferie.


« Utiliser ce drame pour jouer sur les peurs, c’est manquer de dignité et de respect pour les victimes » E. Borne.

La « poussière » encore et encore remisée sous le tapis.

Imbécile de français toi qui voit dans ce « fait divers » un évènement à portée générale, tu es victime d’une manipulation orchestrée par les forces du mal, qui « exploitent de façon politicienne ce drame absolu », insiste à son tour l’inventeur du « sentiment d’insécurité. Dupont Moretti. Le ténor des Tartuffe. Repris en boucle par la télé aux ordres (BFM).

Mais bien sûr, les français sont des buses, comme les néerlandais hier ou les italiens avant hier. Sans oublier danois et suédois. Tous ont fait le lien entre immigration teintée d’islamisme et l’explosion des violences urbaines et … rurales et renvoyé à leurs chimères et à leur lâcheté le personnel politique complaisant avec l’immigration non européenne.

Pourtant les alertes avaient fusé et la lecture de quelques œuvres choisies* aide à comprendre l’inexorabilité du phénomène et la non miscibilité des cultures. N’importe quel quidam l’a constaté dans son environnement, les enfants de la deuxième génération sont happés plus vite qu’aucun indicateur ne le mesure (Jérome Fourquet) par la machine islamiste.

Mme Borne est une Tartuffe en plus d’être une piètre politique. Elle nous dit que le présumé assassin est « français, né d’une mère française ». C’est saint Joseph son père ?

Elle nous prend pour des poires. Taire l’origine du père, c’est tellement « con » qu’on se prend à fantasmer sur sa nationalité, tout en ayant la certitude d’être manipulés. Pour ensuite accuser les plus lucides qui s’étonnent de cette diversion d’attiser les peurs !

L’islamisme est d’une surprenante agilité pour miter notre tissu social. Le diagnostiquer c’est élémentaire pour traiter le syndrome, et certainement pas suffisant.

Le taire, flétrir les lanceurs d’alerte et ceux qui demandent des comptes c’est simplement criminel. Thomas est aussi la victime de tous ces « Borne » et de ceux qui l’ont précédée.


Le Huron


*« Le frérisme et ses réseaux » Florence Bergeaud-Blackler


Commentaires

  1. Moi j'ai mal ce matin avec la Williamine sympathique que j'ai bue hier soir
    ceci dit je suis encore assez lucide pour partager le point de vue sur Borne qui deçoit de plus en plus a force de se tortiller l'intellect et de nier des evidences . Un comble pour une polytechnicienne

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