Gripoix : au Panthéon des traîtres !

Le chef d’une liste d’opposition éjecté de son siège d’élu … du jamais vu dont ce blog s’est largement fait l’écho a fait une victime collatérale : Gripoix !

On connaît trop ce personnage qui fraie avec les puissants du département : on a toujours une serviette à faire porter quand on devient important et le petit poids n’est jamais en retard d’une B. A.

A charge pour lui de se répandre en salamalecs et génuflexions, à cirer bottines et mocassins. Chez L-R qui cultive le béni-oui-ouisme, le saute ruisseau a fait son chemin : il est monté vice-président local d’un parti qui ne pèse plus que 4 %.

La promotion de ses parrains a été saluée par une débauche de flagornerie, fruit d’une servilité que l’on croyait disparue des us républicains. Peut-être qu’à la Cour de Valoche il est de bon ton de se faire papouiller.

Le 25 septembre, B. Grouchko – victime des méthodes néo facho d’un Naboléon - soumettait deux amendements au vote du conseil. Le premier pour obtenir le retrait de la délégation d’acter en justice donnée à monsieur le maire, au motif qu’il en bafoue les règles, à savoir l’obligation d’en rendre compte devant l’assemblée municipale ; le second pour obtenir la protection fonctionnelle promise aux élus menacés d’une action en justice dans l’exercice de leur fonction.

Si les deux propositions sont rejetées par la majorité leur examen permet à chacun de prendre position. Condamnation unanime de ce coup de force chez les opposants … sauf que la bande à Gripoix se désolidarise …

et vote contre les deux amendements destinés à soutenir l’ancien maire !

Gripoix ainsi appuie l’action en exclusion enclenchée par le groupe macronien du Conseil municipal. 

La servilité n’a pas de limite et la soupe à venir pourrait aiguiser l’appétit chez des prognathes. Un caractère récessif qui condamne son porteur à se faire bouffer par d'autres carnassiers.

Le Huron