Au Panthéon des faux culs
En même temps, dans deux interviews parues dans la presse locale (Le Parisien et 78 Actu - ci-dessous) Naboléon prend acte de sa condamnation par une Cour d’appel à indemniser la victime de sa vindicte … mais ne regrette rien !
L’irascible justicier prétend avoir agi par équité « sic » en déclenchant une procédure en destitution suite à l’absence programmée de l’assesseur B Grouchko dans un bureau de vote.
Le faux derche omet de préciser – son avocat le fera pour lui – qu’il a autorisé une copine à déserter le bureau de vote au motif de l’anniv’ de sa gamine ! Quelle honte d’invoquer une prétendue équité lorsqu'on pratique le copinage notoire.
Osera-t-il
faire payer la compensation financière due à l’ancien maire par
la ville ? Le super friqué, comme il se proclame sur toutes les
estrades – fera-il payer par le contribuable ses errements
belliqueux ? Dans une commune aux finances La poche percée exigera-t-elle de son boss qu’il sorte de
sa poche les biftons de ses turpitudes ? Réponse ce soir lors du conseil municipal.
Cette piteuse démonstration de despotisme aura éclairé les quelques Vésigondins aux quels le cynisme de leur élu échappait encore.
En attendant sa prochaine victime.
Le Huron
Honte à ce petit dictateur hypocrite et médiocre !
RépondreSupprimer1750 € c'est à peine le montant de son indemnité mensuelle de maire. Comme il ne mérite pas ce poste pas plus qu'il ne sait l'honorer, verser de sa poche cette somme serait la moindre des décences.
RépondreSupprimerOu alors, chacun des conseillers municipaux ayant voté pour la destitution de Grouchko verse 100 €, Naboléon et Pois Chiche faisant l'appoint pour arriver à la somme dûe.
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