« Quand c’est flou, il y a un loup »
Nul ne sait où la municipalité en est de ses projets.
Le préfet invité à découvrir la dalle coiffant le sarcophage a été cornaqué par un maire dont les jours sont décomptés. La sous préfète a certainement obtenu des assurances sur l’existence d’une subvention de la Région qui éviterait au Rital d’être convaincu de présentation de budget truqué. Le grand Messe en a tout chaud aux fesses qui a mis son paraphe au bas d‘un document qui pourrait lui causer des tourments … Qui s’en plaindrait ?
Le chantier selon les porte voix du pantin démarrera début septembre.
C’est ignorer la salve de recours que la très charitable sœur Stéphanie a déjà lancé, c’est ignorer les contraintes que la loi électorale impose aux municipalités à moins de 6 mois d’une sortie des urnes. Un petit tour sur chat GPT indiquera au maire les dangers aux quels il s’exposerait en bafouant une fois encore la loi commune.
Au delà de ce circus indigne d’une commune habitée par le 4ème personnage de l’État il est extra ordinaire que la municipalité taise ses intentions alors qu’elles sont susceptibles de transformer le quotidien de nombreux riverains.
Depuis bientôt deux ans chaque édito de la revue municipale nous promet concertation, écoute et prise en compte des désidérata des citoyens avant de s’extasier sur les réalisations avortées de la tribu des mal faisant.
Nul doute qu’il en sera de même en septembre … au vu des risques encourus par ceux qui donneraient le premier coup de pioche. Le spectre de Chaslin rode sur le maire et ses clampins.
Parce que tout est toujours ajourné, décalé, reporté sine die quand ce n’est pas annulé.
Osons disait Danton, Procrastinons répond Naboléon !
Le Huron
Il faut savoir que l’horizon s’eloigne au fur et a mesure de notre avancement.
RépondreSupprimerLa place du marché : un projet d’avenir destiné à le rester.
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