Coradetti : le dilettante

 Nombreuses sont les similitudes entre Rital 1er qui laissa exsangues les finances de la ville et son jeune successeur le Foutriquet vésigondin 

Le même gout pour le cinéma, le même tropisme pour les mots qui ne font pas sens, la même incapacité à appréhender le quotidien des simples gens tellement ils sont juchés dans leur petit monde de parvenus .. . à rien.

Juste une différence de taille pour ceux qui ont connu l’environnement du premier des transalpins à occuper un siège au château Carnot : la qualité de l’entourage.

Un mix d’énarques, d’inspecteur des finances et de polytechniciens secondait R. Varèse, une flopée d’incompétents, de primaires sanguins et atrabilaires font la cour au dilettante.

Rien. Que du vent, que du bruit, que des invectives à l’adresse de ses contempteurs. Coradetti ne produit rien.

Pas même un budget rectificatif, pas même une estimation des surcouts que l’explosion du prix de l’énergie infligera aux finances publiques. Et pire, rien sur la dérive des engagements de la ville pour finaliser l’ensemble Impérial.

Alors que tout était bordé, tout devait rester dans les clous le dilettante, le sourire béat en guise de connivence, a laissé dormir les projets de réalisation des gymnases, extension de crèche et d’école primaire … inscrits depuis l’origine du projet comme obligations à la charge de l’aménageur.

Mais le temps a passé, maintenant ce dernier est libre de toute contrainte. La ville devra se substituer et piocher dans ses profondes pour financer ce que les nouveaux accédants sont en droit d’exiger, en subissant l'explosion des couts estimée à 3 millions d'€.

Fallait pas le déranger, il bavassait, batifolait avec une pipelette, courrait le guilledou, mais n’était pas aux affaires pour clôturer les appels d’offre qui devenus caducs ont subi la hausse vertigineuse des couts.

Merci à monsieur Gripoix d’avoir – même tardivement - en terme administratifs rappelé ces évidences que le Huron* portait à la connaissance des Vésigondins dès le mois de mars !

Lire sa tribune dans la dernière livraison de la Stampa !

 

Le Huron

 

*  Ils ont cramé la caisse