Braun Pivet : « Sus aux riches »
Plus de doute : Elle en a ! C’est l’Éon de la république.
Prôner la taxation des riches quand on est l’élue du Vésinet n’est pas le fait d’une eunuque. Chapeau bas pour notre conseillère municipale. Elle aura contribué à la ruine de sa ville et la sur-imposition de ses habitants.
Le Huron est admiratif de ces médias couillus (Service public) qui lui laisse débiter que la France victime d’aléas comme l’Ukraine, le Covid, la hausse de l’énergie a su gérer au mieux ces épisodes douloureux expliquant la quasi-faillitte de l’État, sans lui rappeler que des pays européens logés à la même enseigne dégagent pour certains un excédent budgétaire.
Qui osera dans le monde politico-médiatique renvoyer la haut perchée à ses contradictions. Outrancièrement défrayée pour faire de la figuration, abusant de privilèges monarchiques qu’aucun pays comparable n’offre à de simples élus elle se pose en Fouquier-Tinville des riches et réclament qu’ils passent à la casserole. Ah ça ira !
Un homme d’entreprise à la destinée tragique est entré dans l’histoire pas tant pour avoir redressé la RNUR qu’aphorisé* sur les c… du saint Père. « Elles existent mais ne servent à rien »
Pas le cas de celles de Brigitte**, ni de Braun-Pivet : elles leur permettent de s’imposer chez les eunuques, au Château comme au Vésinet.
Le Huron
* R Besse selon Eugénie Bastié du Figaro
* celles de Brigitte sont l'objet d'intenses supputations " l’Affaire Madame "
Pour ceux qui ne le sauraient pas, selon "L'affaire Madame" de E. Anizon, Brigitte pourrait être un homme ou encore le père de Macron ou encore le frère Trogneux qui aurait changé de sexe ... on s'y perd et c'est un peu n'importe quoi !
RépondreSupprimerMonsieur, le mari de madame, cadre dirigeant chez le leader mondial des cosmétiques, serait il un pauvre hère sans le sous… pour que madame, tout comme Flambi, n’aime pas les riches?
RépondreSupprimerSi j'étais son mari (Dieu m'en garde), je lui recommanderais de dire un peu moins d'âneries .
RépondreSupprimer« Grâce à la bureaucratie et au socialisme, il n'y aura bientôt que deux partis en France : ceux qui vivent de l'impôt et ceux qui en meurent. » (Pensées d’automne, A Tournier)
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