L’homme malade de la Boucle


Propulsée malgré ses 18 % au premier tour à la conduite d'affaires qui lui étaient parfaitement étrangères la liste en marche a transformé la vénérable institution municipale en pétaudière. 
 
Tout a été dit par les 4 orateurs de l’opposition – ultra majoritaires dans la population – mais une chose essentielle a été occultée. L’unanimité du diagnostic sur le naufrage financier et la débâcle morale du Rital et des obligés de Braun-Pivet.

Quatre orateurs et pas l’épaisseur d’un papier à cigarette … quand il s’agit de dénoncer les calomnies proférées contre le Marquis, les tentatives avortées de museler le Huron et ses confrères. La violence exercée contre des conseillers d’opposition ou la religion du mensonge qui déferle comme la petite vérole sur le bas clergé à l’instigation de don Camillo et de son acolyte le grand Messe !

« Something is rotten in the city of Le Vésinet » aurait pu plagier le dernier orateur, plutôt que donner dans le latin du bas empire. Le Vésinet est sous la coupe d’un ex VRP (voyageur représentant placier en imprimantes, voir photo ci dessus). Incapable d’administrer, de recruter, de motiver, d’insuffler un esprit républicain à un quarteron de petits profiteurs - genre à vendre du pinard en salle de conférence ou de promouvoir ses œuvres au frais du contribuable. Et autres fantaisies …

Alors dans un éclair de lucidité vite évanoui le timonier réalise qu’il est plus mal traité qu’un VRP. Qu’aucun élu ne lui décerne du monsieur-le-maire long comme le bras, mais toutes et tous le ravalent à sa condition de quidam.

« Vous m’appellerez monsieur le maire ! » Résonne comme un constat de ratage. L'homme malade de la Boucle conscient qu’il flotte dans son costard de maire malgré son ceinturon Hermès. Qu’à force de prendre des vestes, d’essuyer des désaveux, d’être crucifié comme un vulgaire Pinocchio par un président de tribunal, on se réveille nu devant son conseil municipal.

Pathétique que le successeur d’A Jonemann, A M Foy, P. Bastard, D Jonemann et B Grouchko en soit à mendier la considération des représentants de 82 % des Vésigondins.

Le respect ça se gagne ça ne se commande pas. 

Comme le Rital était absent lorsque madame Carré a formulé sa courtoise invitation, je la réédite sous forme de bristol.

« La Porte ! « 


Le Huron

 

 

Commentaires

  1. Coradetti pourra se recycler en VRP de tambouille indigeste.

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  2. il est aussi le successeur de Robert Varese qui nous a évité de betonner la place du marché
    Que ces temps lointains nous rendent nostalgiques

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    1. Par décence j'ai omis R. V dans la liste des édiles respectés et respectables

      Varèse, :
      - l'homme au parking de 160 places pour 22 M d€ , un record mondial
      - l'homme aux 12 M d€ d'empunts à 5.05% non renégociable
      - l'homme à l'explosion des impôts + 70 % durant son mandat
      - l'homme de l'"émeute" du gymnase Matalou
      - l'homme qui a été poussé à la démission par le préfet ... !

      On préfère l'oublier ....

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    2. Chacun a la nostalgie qu'il peut !
      Moi, je rêve du Vésinet qui était chaleureux, où il faisait bon vivre, où l'équipe municipale connaissait une majorité de Vésigondins, où il y avait des animations pour les jeunes, les moins jeunes, pour les sportifs, pour les employés municipaux (une époque où ils étaient respectés et réciproquement), où les associations étaient choyées et soutenues, où les commerçants participaient à l'animation de la ville, où les communes voisines nous respectaient et nous enviaient, époque où l'argent était utilisé à bon escient pour des projets crédibles et réalistes, une époque où les maires adjoints savaient parler français ... sans oublier les "Voilà ... voilà ... voilà ..." d'un Maire actuel qui a hâte de terminer son mandat catastrophique.
      Vivement que l'on tourne la page d'une équipe municipale totalement inutile et qui aura replongé Le Vésinet dans les affres de la déconfiture financière.

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