"Un climat de terreur"


Le Conseil municipal du 7 mars a eu à connaître d’un projet de délibération visant à financer les frais consécutifs aux actions du maire visant à faire condamner le Huron.

Rital 2 ne fait qu’emboîter le pas de son « parrain » Rital 1er qui s’était distingué par une avalanche de procédures contre le blog édité par Phénix.

Résultats : Rital 1er avait du quitter sa charge d’élu poussé dehors par le préfet, suite à des révélations de sa première adjointe susceptibles d’éclabousser sa réputation.

Comme nul ne peut imaginer Rital 2 se transformer en micro « duce », s’ériger en censeur des critiques que ses actions – ou inactions suscitent – la rationalité des plaintes déjà déposées et de celle visant les billets du mois de décembre relève de la tambouille politicarde.

Incapable de justifier ses errements, ses dépenses inconsidérées, ses libéralités (réelles ou supposées), le Rital met en place un rideau de fumée. Derrière cet écran il peut répondre à ses détracteurs «  regardez tout ce qui écrit est inepte … d’ailleurs j’ai attaqué le blog du Huron en diffamation ».

Vieille ficelle éculée qui ne trompe personne et certainement pas Stéphanie Cabossioras, Gabrielle Carré, Bernard Grouchko  ou Thibaut Gripoix qui chacun à sa façon a fustigé cette tentative de museler un organe de contestation des politiques municipales. Quelque soit les locataires du boulevard Carnot. Qu’ils en soient remerciés.

J’extrais la formule « climat de terreur » de la conclusion des propos de la première citée. Les mots frappent par leur intensité.

Évoquer « un climat de terreur » dans l’enceinte du Conseil est inédit. Peut on mieux exprimer la dérive autocratique de ce maire et de ses affidés ?

 

Le Huron

 

« Plus généralement, cette délibération est emblématique du climat de terreur que le maire commence à faire peser sur la ville et auquel nous nous opposons. En effet, nous avons constaté sur les derniers mois qu’au moins deux élus d’opposition et des concitoyens Vésigondins ont été destinataires de lettres de menace de poursuites disciplinaires ou pénales de la part du maire, ce qui n’est pas acceptable.

Le maire a le devoir de par la loi d’être le protecteur de la liberté d’expression et non son fossoyeur. « S. C.

Commentaires

  1. Il est grand temps de le pousser dehors !

    RépondreSupprimer
  2. il est loin le temps où M. Coradetti, maire, clamait à longueur de conseil "en toute transparence".

    RépondreSupprimer
  3. A son âge, la vue de Rital2 baisse fortement, contrairement à son irritabilité... signe de vieillissement prématuré.

    RépondreSupprimer
  4. Pourquoi Rital2, du haut de ses plus de 70 ans, passe son temps à emmerder les vésigondins alors qu'il pourrait tranquillement profiter de sa retraite .... Une grand énigme .... Serait-il redevable à certains ... ?

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Vifs incidents au Conseil municipal

La Police Municipale : c’est finie ?

Marguerite : la baguette sans le voile !