De quoi cette peinture est-elle le nom ?

En face de l’élégante villa de l’échevin une peinture aux couleurs LGBT !

Tout un symbole de la dérive wokiste de cet apprenti sorcier, non content de tolérer les dérives vestimentaires dans les commerces du centre ville il laisse ses affidés taguer des murs sur le boulevard Carnot !

Quel message dans cette nouvelle provocation ?

D’autant qu’il pourrait, s’il le souhaitait, partir squatter dans le marais pour y retrouver la faune interlope grouillante dans l’attente de son extinction … faute d’aptitude à la reproduction.

Ce qui est réconfortant dans cette permissivité c’est de travailler à sa propre perte. Il suffit d’être sain et patient …

A moins qu’un leader providentiel n’accélère le cours de l’histoire en surfant sur la vague populaire du retour aux valeurs d’antan. C’est dire si l’illuminé de Carnot est « outofsynch » pour causer comme le Donald. Hier les Etats Unis versaient dans l’anti-conformisme véhiculé par les gourous du racisme anti-blanc, aujourd’hui ils relèvent la tête et renvoient les démocrates à leurs démons identitaires.

L’ampleur de la victoire – largement anticipée et souhaitée ici même – mais globalement décriée par les commentateurs de tous bords en dit long sur l’ignorance de la réalité américaine. Le « wishfull  thinking » d’une intelligentsia hors sol s’est appliqué au trumpisme dont l’écume nauséabonde laissée dans le sillage du personnage a masqué la profondeur du rejet des idéologies alternatives.

Toutes choses égales par ailleurs, la course effrénée d’un politicard après les oripeaux du wokisme a quelque chose de grotesque. Pourquoi pas déambuler sur un char arc en ciel, la perruque de fofolle et les plumes dans le derrière .. . pour se faire ré élire !

Puisse un prochain bourgmestre remettre l’église au milieu du village et éliminer les scories importées par de funestes déconstructeurs.

Le Huron