Soeur Stéphanie : un GBU-57 version Vésinet !
Ce n’est pas un GBU 57 qui menace Cora d’humiliation mais une simple bafouille adressée aux élus en vue du Conseil municipal du 30 juin. L’effet a toutes les chances d’être aussi dévastateur et les reliques du locataire risquent fort d’être disséminés dans le sarcophage objet de ses sollicitudes. La guerrière qui se cache derrière sœur Stéphanie a dégainé une arme redoutable puisqu’elle vise à fissurer le dôme de carton pâte qui jusqu’alors a protégé le maire. Bien difficile pour un élu de refuser le moratoire auquel l’adoption de l’amendement conduit nécessairement. ( voir le courrier ci contre ). Démarrer les travaux en septembre serait un coup de force. Qui autoriserait chez les opposants la mise en œuvre de moyens tout aussi brutaux pour les faire stopper. Qu’un tribunal déclare nulles les adjudications et le chantier est stoppé dans l’attente d’un jugement sur le fond. Dit autrement, que des élus n’utilisent pas la porte de sortie offerte par l’opération « amendement »...
oui mais grâce à l'Oreal, elle a une énorme bague de parvenue, aucune discrétion tout est dans la paraitre, "Moi Je" "A MA PLACE".
RépondreSupprimerLa Tribune Dimanche du 11 mai.
RépondreSupprimer“Elle se prend pour Michelle Obama” : Yaël Braun-Pivet taclée par son propre clan"
Yaël Braun-Pivet pensait marquer les esprits avec À ma place (Buchet-Chastel), un ouvrage introspectif et politique sorti en avril dernier dans lequel elle retrace son ascension au sommet du pouvoir, son engagement, son passage au gouvernement… et son combat contre un cancer du sein.
Mais à force de vouloir exister en dehors des clous, la présidente de l’Assemblée nationale irrite. Même dans son propre clan.
En pleine promotion du livre, l’ancienne avocate de 53 ans multiplie les interviews, les confidences, les prises de parole… et agace au sein du groupe Renaissance.
«Elle se prend pour Michelle Obama», lâche un cadre de la majorité dans La Tribune Dimanche, ce 11 mai. Une phrase qui en dit long sur le décalage ressenti entre son positionnement public et sa discrétion, voire son absence, sur les combats politiques collectifs du moment, comme celui sur la proportionnelle.
Derrière l’ironie, une lassitude bien réelle : «YAEL PENSE à 2027, VOIRE à LA PRESIDENTIELLE AMERICAINE, ATTENTION ! », SE MOQUE UN ANCIEN MINISTRE.
Son attitude jugée trop individualiste, son omniprésence médiatique et son manque de solidarité avec la majorité sur des sujets clés laissent présager une chute dans l’estime de ses collègues...
La présidente de l’Assemblée nationale serait en train de perdre ses derniers soutiens.
2026, ce sont les municipales au Vésinet, lieu de sa "maison de campagne"...elle saura étaler tout ce qu'elle a fait etc...
Paroles d'un ministre démissionnaire et Député qui a permis son ascension au perchoir.
La messe est dite.