Vifs incidents au Conseil municipal
Après l’éviction réussie (?) de l’ancien maire, encore présent, l’expulsion manu militari d’une conseillère échoue ! La ville dans un délire fascisant … Corabruti désavoué par une police républicaine qui s’oppose à l’expulsion qu’il avait requise pour faire taire Mme Cabossioras. La conseillère d’opposition condamnée à lire la déclaration des droits de l’homme et du citoyen pour rappeler au maire le droit à la liberté d’expression. Par trois fois il venait de refuser de donner la parole à M de Chamborant. Perdant tout contrôle l'édile livide a fait mander la police pour extraire physiquement l’élue de son fauteuil !!! Une forfaiture car le droit d'expulser un conseiller n'est pas dans les attributions d'un maire. La police est restée de marbre … elle ne se compromet pas avec des apprentis factieux ! Refusant de répondre à l’opposition qui s’indignait de l’éjection de B Grouchko, l’édile a ensuite tenté de justifier la vente au privé de la crèche Sully ! Pour com...
oui mais grâce à l'Oreal, elle a une énorme bague de parvenue, aucune discrétion tout est dans la paraitre, "Moi Je" "A MA PLACE".
RépondreSupprimerLa Tribune Dimanche du 11 mai.
RépondreSupprimer“Elle se prend pour Michelle Obama” : Yaël Braun-Pivet taclée par son propre clan"
Yaël Braun-Pivet pensait marquer les esprits avec À ma place (Buchet-Chastel), un ouvrage introspectif et politique sorti en avril dernier dans lequel elle retrace son ascension au sommet du pouvoir, son engagement, son passage au gouvernement… et son combat contre un cancer du sein.
Mais à force de vouloir exister en dehors des clous, la présidente de l’Assemblée nationale irrite. Même dans son propre clan.
En pleine promotion du livre, l’ancienne avocate de 53 ans multiplie les interviews, les confidences, les prises de parole… et agace au sein du groupe Renaissance.
«Elle se prend pour Michelle Obama», lâche un cadre de la majorité dans La Tribune Dimanche, ce 11 mai. Une phrase qui en dit long sur le décalage ressenti entre son positionnement public et sa discrétion, voire son absence, sur les combats politiques collectifs du moment, comme celui sur la proportionnelle.
Derrière l’ironie, une lassitude bien réelle : «YAEL PENSE à 2027, VOIRE à LA PRESIDENTIELLE AMERICAINE, ATTENTION ! », SE MOQUE UN ANCIEN MINISTRE.
Son attitude jugée trop individualiste, son omniprésence médiatique et son manque de solidarité avec la majorité sur des sujets clés laissent présager une chute dans l’estime de ses collègues...
La présidente de l’Assemblée nationale serait en train de perdre ses derniers soutiens.
2026, ce sont les municipales au Vésinet, lieu de sa "maison de campagne"...elle saura étaler tout ce qu'elle a fait etc...
Paroles d'un ministre démissionnaire et Député qui a permis son ascension au perchoir.
La messe est dite.