Le HURON

Ce n’est pas un GBU 57 qui menace Cora d’humiliation mais une simple bafouille adressée aux élus en vue du Conseil municipal du 30 juin. L’effet a toutes les chances d’être aussi dévastateur et les reliques du locataire risquent fort d’être disséminés dans le sarcophage objet de ses sollicitudes. La guerrière qui se cache derrière sœur Stéphanie a dégainé une arme redoutable puisqu’elle vise à fissurer le dôme de carton pâte qui jusqu’alors a protégé le maire. Bien difficile pour un élu de refuser le moratoire auquel l’adoption de l’amendement conduit nécessairement. ( voir le courrier ci contre ). Démarrer les travaux en septembre serait un coup de force. Qui autoriserait chez les opposants la mise en œuvre de moyens tout aussi brutaux pour les faire stopper. Qu’un tribunal déclare nulles les adjudications et le chantier est stoppé dans l’attente d’un jugement sur le fond. Dit autrement, que des élus n’utilisent pas la porte de sortie offerte par l’opération « amendement »...

Apparemment sans complaisance le bilan ( ci-contre ) dressé par sœur Stéphanie au crépuscule du mandat de Coradetti énumère la kyrielle des fiascos qui a alimenté les billets du Huron. Le tract - à l’évidence - ne sert pas les intérêts des sortants, il est pourtant lacunaire. Ne passe-t-il pas à coté de l’Essentiel ? Si l’on veut porter un jugement exhaustif sur les 5 années écoulées une autre dimension s’impose. Qualitative et pas seulement pécuniaire. 5 années qui ont vu la prise de contrôle de la ville par un clan sectaire agissant au mépris des lois, au mépris de la démocratie, au mépris des administrés pour se pavaner. Ce clan s’est emparé des commandes en ciblant les contre pouvoirs, les menaçant quand il ne pouvait les neutraliser. Que ce soient les élus d’opposition systématiquement opprimés – Sœur Stéphanie a pu parler d’un terrorisme d’atmosphère – que ce soient les personnels municipaux tenus pour quantité négligeable, que ce soient les assoces roulées dans la farin...

Le symbole est très fort ; Il aura fallu au Rital piocher jusqu’à la lettre Z, Z comme Zarka pour refaire le plein de godillots. Le marais est asséché. Après la démission de le Masson, démission en suspens depuis de nombreux mois le maire aura essuyé rebuffades sur rebuffades ! 5 défections avant de trouver l’oiseau rare. Elle ne s’est pas défilée, mais rien ne l’oblige demain à faire ami ami avec les branquignols d’une piteuse aventure. Il n’y a pas de mandat impératif, en revanche le maire n’a pas eu le choix que de proposer à la 32ème sur une liste de 33 le siège vacant. Les précédents sur la liste préfèrant ne pas associer leur nom à ces guignols Mme Zarka, inconnue au bataillon devra rapidement faire un choix cornélien. Mêler son nom à une équipe détestée, honnie, en voie d’implosion ou apporter son soutien aux prochains gestionnaires du Vésinet. Qu’elle soit rassurée : rien dans les engagements initiaux de Coradetti n’a été respecté, et surtout pas le respect ...

Naboléon peut se vanter d’avoir mis la ville en ébullition. D’aucuns bourgmestres se contentent de gérer leur apanage dans l’intérêt général, Naboléon veut complaire à sa coterie de bobos friqués. Peut lui chaut que la totalité des élus représentant 70 % des électeurs soit vent debout contre un projet bâclé. Les commerçants défendent leurs petites affaires - qui le leur reprocherait ? - et ont pris les devants sur les conseils d’un homme de loi expérimenté. L’objectif étant d’obtenir l’annulation de la procédure relancée par la décision du 28 mai. Une autre menace pèse sur Naboléon, et elle est d’une toute autre ampleur. C’est le rejet massif par la population d’un projet ruineux pour les finances de la ville et décidé au mépris de la volonté des associations dument mandaté pour représenter les administrés. Un kit de Résistance a été élaboré dont le chargement par ce lien ouvre accès aux deux courriers qu’il convient d’adresser au potentat du boulevard Carnot. Nul n’ima...

ou être vénéré par des cons, dur dur s’inquiétait Allah après les tueries consécutives aux caricatures de Mahomet … répondra le Huron à ses contempteurs. Bien sûr que l’Iran sera un jour ou l'autre détenteur de l’arme atomique … le Huron persiste et signe. L’épisode Colin-Powell-le-retour finira-t-il par dessiller les veaux occidentaux. Je note en passant que seuls 60 % des lecteurs du Figaro approuve l’intervention d’Israël en Iran. La même maitrise de la désinformation, les mêmes reptiles acéphales se réjouissant des bombes « chirurgicales » qui anéantissaient hier l’arsenal d’armes de destruction massives inventé de toutes pièces … se félicitent aujourd’hui d’avoir éliminé la capacité iranienne à se doter de l’arme nucléaire, dont personne n'ignore qu’elle n’aurait fait que rétablir l’équilibre de la dissuasion dans ce proche orient. L’arme nucléaire – le plus obtus des adjudants le sait – n’a qu‘un potentiel : la dissuasion ! Dernière en date des explosio...

L’occident décadent creuse sa tombe comme d’autres foncent dans le mur en klaxonnant. Bien sûr que l’Iran a droit à la bombe. Tout comme la France s’émancipant de la tutelle anglo saxonne a fait la sienne en narguant l’oncle Sam et ses proxy. Quelle valeur supra nationale nous autorise à entraver l’émancipation des perses. Civilisation autrement plus éclairée que le monde barbare auquel appartenait ce bout de péninsule eurasienne qui plus tard s’appellera France. Désastre français en Indochine, américain au Vietnam, russe en Afghanistan puis débandade américaine. Désastre en Irak, en Lybie … expulsion des français de l’Afrique occidentale … L’occident décadent encaisse sans rien comprendre au retour de bâton au dépens d’une civilisation dont Israël se prétend le fer de lance. Imposer par la rupture des soi disant valeurs de cette civilisation l’ordre des suprémacistes blancs. C’est aussi absurde que d’interdire d’interdire … Gaza restera à tout jamais l’emblème absolu de la d...

De la colline de Sion au caillou de Calédonie, d’Yzieu à Roland Garros, de Metz à à la rue du Faubourg on l’aura vu partout … ou presque. Elle se presse et apporte son grain de sel quelque soit le sujet, et d’abord si elle n’y connaît rien, au risque d’avoir à se déjuger. Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis … Quant à mesurer l’influence de ses propos oiseux on laisse au lecteur le soin d’en juger. Il faut écouter, dialoguer et avancer … Moi-Je n’est pas en retard d’une mièvrerie. La démocratie doit s’exprimer … oui mais … … dans son douar d’origine un potentat provoque les habitants, les commerçants, les électeurs en affichant un projet de rénovation qu’il venait – sous pression - de retirer. Rarement projet fut aussi conspué par une majorité de citoyens – à les décompter par le nombre d’élus qui les représentent ( 65 % des votants), rarement à quelques mois d’élections un sortant n’aura osé fouler au pied l’avis de ses concitoyens. Puisqu’il y a – a minim...

Dans le Vésinet Magazine la tribu des auto-satisfaits se fend d‘une tribune émaillée de cette locution latine. Vouant les opposants aux gémonies le rédacteur anonyme dénonce leurs « attaques ad hominem  » sic. Charité bien ordonnée commence par soi même. Si Bruno Coradetti et sa clique ne tolèrent pas d’être désignés comme des mal faisant, ils ont le loisir de ne pas se représenter. En revanche, s’ils prétendent imposer leur terrorisme d’atmosphère une mandature supplémentaire qu’ils s’attendent à être nommément désignés. Doro – devant témoins - s’autorise à agresser un électeur alors qu’elle préside un bureau de vote. L’ineffable Coradetti face à cette violation caractérisée du code électoral se terre. Braun-Pivet furibarde lui a intimé l’ordre de se taire. Nombreux témoins. Doro désigne à la vindicte populaire – en conseil municipal – un blogueur qualifié de «  raciste antisémite … (sic). A-t-elle été destituée pour ses excès à répétition, ses hurlements, ses ges...

Dans le magazine N°95 qui vient de nous être distribué, accompagné de somptueux booklets sur les futurs évènements et sur la saison Théâtre et Cinéma (l’argent coule à flot dans les mains percées des Elus du Vésinet), nous avons droit au meilleur des mensonges ou omissions de notre Naboléon, frère jumeau de Pinocchio. Dans son éditorial, le grand absent de la Cérémonie en l’honneur des 150 ans du Vésinet, nous vante en long et en large les futures festivités qui, de toute façon, se déroulent tous les ans. Rappeler qu’il va y avoir la Fête de la Musique, qu’il va y avoir des barques pour la Fête de la Marguerite et que l’on va avoir droit à la Fête Oxygène … cela n’a rien de très original puisque ces manifestations ont lieu tous les ans depuis de nombreuses années. S’en attribuer le mérite est une fanfaronnade de plus de celui qui a mis Le Vésinet à genoux. Le comble de cet édito réside dans l’aveuglement du personnage et de sa volonté caractérisée de mentir quand il affirme : «...

Qui mieux que la grand-mère à la Martine aurait synthétisé le moment présent ? Nul ne sait où la municipalité en est de ses projets. Le préfet invité à découvrir la dalle coiffant le sarcophage a été cornaqué par un maire dont les jours sont décomptés. La sous préfète a certainement obtenu des assurances sur l’existence d’une subvention de la Région qui éviterait au Rital d’être convaincu de présentation de budget truqué. Le grand Messe en a tout chaud aux fesses qui a mis son paraphe au bas d‘un document qui pourrait lui causer des tourments … Qui s’en plaindrait ? Le chantier selon les porte voix du pantin démarrera début septembre. C’est ignorer la salve de recours que la très charitable sœur Stéphanie a déjà lancé, c’est ignorer les contraintes que la loi électorale impose aux municipalités à moins de 6 mois d’une sortie des urnes. Un petit tour sur chat GPT indiquera au maire les dangers aux quels il s’exposerait en bafouant une fois encore la loi commune. Au de...

  A l’évidence ce n’est qu’un symbole. Mais quel symbole : celui de l’avènement de la commune dont il est accidentellement devenu maire. Hier, il y avait cent cinquante ans jour pour jour, la commune du Vésinet était portée sur les fonts baptismaux par la chambre des députés.( cliché Sté d'Histoire) Anniversaire oh combien symbolique mais pour le lointain successeur de Pallu cette commémoration était the place to be. Très connu pour ses pitreries, ses courbettes et ses coups de sang le maire est devenu une caricature de premier magistrat. Absent lorsqu’il est attendu par les manifestants, obséquieux avec sa diva, inexistant quand il s’agit de répondre aux administrés, représenté dans l’exercice de ses fonctions par des buses ou un pirate mal faisant  le Rital a boudé la commémoration – manque de pot, elle tombait pendant le pont de l’Ascension. … Si les obligations qui incombent à sa charge sont insupportables au Rital, il a le loisir d’offrir sa démission et con...