Le Vésinet, Cent cinquant ans et un absent : le maire !


 A l’évidence ce n’est qu’un symbole.

Mais quel symbole : celui de l’avènement de la commune dont il est accidentellement devenu maire. Hier, il y avait cent cinquante ans jour pour jour, la commune du Vésinet était portée sur les fonts baptismaux par la chambre des députés.(cliché Sté d'Histoire)

Anniversaire oh combien symbolique mais pour le lointain successeur de Pallu cette commémoration était the place to be.

Très connu pour ses pitreries, ses courbettes et ses coups de sang le maire est devenu une caricature de premier magistrat.

Absent lorsqu’il est attendu par les manifestants, obséquieux avec sa diva, inexistant quand il s’agit de répondre aux administrés, représenté dans l’exercice de ses fonctions par des buses ou un pirate mal faisant  le Rital a boudé la commémoration – manque de pot, elle tombait pendant le pont de l’Ascension. …

Si les obligations qui incombent à sa charge sont insupportables au Rital, il a le loisir d’offrir sa démission et confirmer qu’il renonce à se représenter. Déléguer à cette cérémonie un troisième couteau dont l’épaisseur politique se mesure en feuille de papier à cigarettes est une insulte à sa ville. 

Un laïus de VRP miteux vantant le projet de rénovation du Centre-ville a tenu lieu de discours commémoratif ... pitoyable adjoint à l'inculture !

Rien d’étonnant avec la clique qu’il a recruté, seuls les béni oui oui et les idolâtres sont restés dans la barque municipale. Qui a jamais croisé des talents chez les cireurs de pompe ?

Bafouer leur fonction est une critique qui n'a jamais été imputée sur ce blog à l’un de ses prédécesseurs. Ils avaient endossé le costard qui sied à l’élu du Vésinet même si pour certains leurs actions étaient éminemment contestables.

Un seul a failli à assurer le minimum syndical : Rital 2 !

Il aura ridiculisé la fonction, du premier jour en déchirant les affiches électorales de ses adversaires au jourd’hui en séchant la commémoration du cent cinquantenaire.

Que la honte retombe sur lui et sa clique de tocards.


Le Huron


31 mai 1875 naissait le Vésinet 

Commentaires

  1. Et aujourd'hui, la Haut Perchée, toujours avide de reconnaissance, se précipitait pour être sur la photo à l'Elysée avec Jupiter, Noyau d'olive et le PSG.
    Pas de chance, elle s'est trompé d'époque et d'équipe en arborant un chemisier vert, couleur de Saint Étienne.

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  2. Soyez rassurés elle va courir nous raconter l'histoire du Vésinet car il y a cent cinquante ans la commune du Vésinet était portée sur les fonts baptismaux par la chambre des députés, quelle aubaine, elle va nous la faire à l'envers cousue de "Moi Je".

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  3. Micro-trottoir au Vésinet : "Et vous, que pensez-vous de Braun-Pivet et Coradetti ?"

    Mme Dupuis, 78 ans, devant la boulangerie :
    « Ah, Braun-Pivet… Elle est toujours là ? Je croyais qu’elle avait été promue au Ministère de l’inutile. Quant au maire… il a fait repeindre un banc au parc des Ibis. C’est déjà bien ! »

    Claire, cadre en télétravail, 42 ans :
    « Le maire ? C’est le monsieur qui publie plus dans Le Vésinet Magazine qu’il ne parle en Conseil Municipal, non ? Et Braun-Pivet ? On dirait Madame PowerPoint : toujours connectée, jamais branchée. »

    Léo, étudiant en droit, 22 ans :
    « Braun-Pivet ? Ah oui, la Présidente de l’Assemblée Nationale… Je l’ai eue en droit constitutionnel. J’ai rien compris et je crois qu’elle non plus. Coradetti ? Je pensais que c’était un café italien au rabais. »

    Jean-Paul, retraité, ancien gaulliste :
    « Renaissance, Renaissance… Ils nous annonçaient une révolution, on a eu un podcast sur le vide intersidéral. C’est creux, c’est lent et ça rame... en boucle. »

    Odette, au marché :
    « Ils sont adorables tous les deux. On dirait un vieux couple politique en pleine thérapie conjugale. Elle veut être Présidente de la République, lui Maire à vie… Résultat : deux ambitions pour un néant commun. »

    Patrick, artisan, 51 ans :
    « Moi je veux bien qu’ils fassent carrière, hein… mais qu’ils la fassent ailleurs. Genre au théâtre. Parce que politiquement, c’est du stand-up malgré eux. »

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  4. Café du Centre au Village, 8h47 au Vésinet.
    Bernard, moustache gaullienne, lit Le Parisien.
    Marcel, termine son allongé.

    Bernard :
    T’as vu que Braun-Pivet veut peser en 2027 ?

    Marcel :
    Ah bon ? Je croyais qu’elle pesait … seulement sur sa balance.

    Bernard :
    Et Coradetti, notre Maire lumière… On n’a jamais autant dépensé pour aussi peu de lumière. Tu l’as vu au dernier Conseil Municipal ?

    Marcel :
    Non, mais j’ai lu son édito dans Le Vésinet Magazine. Trois pages pour dire qu’il a planté trois fleurs.

    Marcel :
    Tu crois qu’ils vont se représenter ?

    Bernard :
    Avec le score que Braun-Pivet a pris aux dernières législatives ? Même son GPS hésite à la ramener dans sa circonscription. Quant à Coradetti : t’as vu les manifs au Vésinet ?

    Marcel (pensif) :
    Et dire qu’ils viennent tous les deux du même parti… Renaissance.

    Bernard :
    Ouais. Renaissance, ce n’est pas un parti, c’est un enterrement en marche lente.

    Marcel :
    Allez, Bernard, remets-nous deux noisettes. Tant qu’eux brassent du vent, autant qu’on se réchauffe.

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  5. Coradetti incarne le naufrage de l’autorité municipale au Vésinet : absent quand il faut être présent, pitre quand il s’agit de diriger et Maître dans l’art de la démission déguisée. Son absence à la commémoration du cent-cinquantième anniversaire n’est pas un oubli mais un aveu d’incompétence et de mépris. Tandis qu’il délègue aux seconds couteaux, il transforme la Mairie en un théâtre de l’absurde où la politique se réduit à un spectacle sans substance. Le Vésinet mérite mieux qu’un Maire qui préfère fuir ses responsabilités, laissant derrière lui une ville à l’abandon et une administration en déroute.

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  6. Monsieur Michel Pallu a été très choqué que le maire n' ait pas été présent à cet anniversaire. :"ce n'est pas digne de ne pas avoir été là"a dit Monsieur Pallu, lui qui est venu spécialement de Bordeaux pour cet événement.

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  7. Ou bien est-ce la honte qui a empêché ce bon a rien d’être présent un jour si symbolique ? Pourvu qu’on soit débarrassés !

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  8. Et la Haut Perchée était elle là ?

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    1. Pas plus que le maire la député, conseillère municipale du Vésinet n'honorait cette manifestation de sa présence.

      Deux raisons pourtant l'y obligeaient :

      C'est l'assemblée nationale qui a décidé de la création du Vésinet à une ou deux voix près. En tant qu'actuelle présidente elle pouvait vanter le rôle de cette institution auprès des Vésigondins.

      Député et conseillère municipale elle se targue d'être proche du terrain : c'était l'occasion de prouver son attachement à "sa" ville.

      mais les caméras l'attendaient à l'Elysée où les footeux étaient à l'honneur.
      Entre la commémoration Vésigondine et les festivités élyséennes la haut perchée n'a pas hésité !

      D'ici à ce qu'on apprenne qu'elle jouait au foot quand elle était gamine ....

      L. H.

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  9. Le journal TV « le quotidien » se moque de Braun-Pivet qui s’incruste sur la photo des footballeurs àl Élysée en criant comme une poissonnière: « Je veux une dédicace ». Elle n’a vraiment aucune tenue ni aucune classe.

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    1. YBP c'est du même tonneau que la Bribri, parvenues (à rien), people, aucune classe juste pour apparaitre en photo, pathétique !

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