Rachat d'emprunt ! ?

A toutes fins utiles le Huron produit ci dessous le billet du 9 novembre 2009 publié par Phénix.

L'illustre Grand Messe, outre ses talents de calomniateur, s'apprêterait à renégocier les emprunts Dexia souscrits par Air V ... une décision que toutes les équipes précédentes ont rejeté pour cause de coût exorbitant.

Le Huron n'hésitera pas à publier les originaux des propositions de rachat qui prouvent l'absurdité de l'opération, sauf à imaginer comme 90% des français que des élus soient corrompus.  

Le Grand Messe, un émule d'Air V ? 

 

 

Dexia,  Aubry et Air V

Pourquoi donner dans la critique du p‘tit Robert et de sa dream team, alors qu’ils font de leur mieux pour le bien être des vésigondins ? N’est-il pas temps de positiver plutôt que de clabauder, de se féliciter qu’une lumière que la CCBS nous envie, se soit dévouée à administrer le Vésinet ?.

D’ailleurs la lecture des magazines incite à l’optimisme : Valeurs actuelles révèle, par exemple, la démarche inédite de Mme Aubry, le maire de Lille. Elle n’y va pas par quatre chemins celle qui entend assigner DEXIA devant les tribunaux pour avoir plombé les comptes de sa ville.

Et comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule on est en mesure d’affirmer, sans risquer d’être démenti, que l’État major de DEXIA a longuement, et à plusieurs reprises, été entendu par les agents du commissariat du Vésinet suite à une plainte déposée par Robert Varèse, même si Valeurs actuelles n’en fait pas encore état.

Il n’est pas sans savoir, le p’tit Robert, que le manquement à l’obligation de conseil serait lourdement sanctionné s’il était établi que le professionnel, Dexia par exemple, spécialiste du financement des communes - s’était joué de l’ingénuité et de la fatuité d’amateurs illuminés, tel un triste sire commis aux finances, pour en tirer profit.

Les dirigeants de Dexia auraient-ils décelé chez Air V.... un financier de haut vol, qualifié pour piloter les comptes d’une municipalité ? Se seraient-ils DONC interdits, ces dirigeants, d’en profiter pour extorquer aux vésigondins des conditions proprement hallucinantes : taux des emprunts, clauses des remboursements anticipés, niveau des sommes empruntées dont certaines gagées sur la réalisation de la patinoire, qu’il faudrait les béatifier !

La dame des 35 heures aurait quelques doutes sur l’éthique de ses banquiers. Mais quid du p’tit Robert, le phare du Vésinet ? Va-t-il, à l’instar de sa collègue, exiger de ses bailleurs des dommages et intérêts ?

Faut pas rêver ! Pourquoi irait-il réclamer des sous, ce qui attesterait l’insondable nullité de son financier, alors qu’il peut racketter impunément ses administrés ? Tous les édiles ne sont pas des élus de Lille et tous les administrés ne sont pas soumis à la gestion de socialistes incompétents !

On l’a échappé belle !