Le HURON

Elle n’aura pas confondu vitesse et précipitation … se hâte-t-elle avec lenteur pour peaufiner une réponse à l'ardent défenseur* du seul "W C" inscrit à l'ISMH ? Toujours est-il que l’homme au Stetson n’a pas reçu de réponse à sa très courtoise sollicitation. ( à gauche ) On sait le J-R potentiellement teigneux, et si la patience n’est pas la moindre de ses qualités, il a horreur d’être pris pour ce qu’il n’est pas. A bon entendeur … La député feindrait-elle d’ignorer la grogne qui gronde autour de son nid douillet, des manifestants pourraient lui rappeler que les Vésigondins savent aussi savonner les planches qui servent de tremplin. Le grand corps abruti qu’elle a installé aux manettes se défile, pétochard et maintenant alité. La ville est sous la coupe d'une palanquée de clampins dont l’égérie du vélo Vicq Appas. Elle aura signé l’exploit de convoquer les commerçants de la rue Thiers en refusant obstinément de leur parler des travaux … !   Quant à la dépu...

L’alité en mauvaise posture …. Encore bancal l’alité a reçu une « divine surprise » : ses provocations successives ont ressuscité le front commun des conseillers municipaux d’opposition ( signatures à gauche ).  Fruit de ses provocations et de la ténacité des opposants historiques la fronde gagne l’ensemble des élus représentant 66 % des électeurs*. Saluons, le ralliement tardif certes, mais bien réel du jeune Gripoix et de sa colistière. Il lui aura fallu 4 ans pour réaliser que le « je t’aime moi non plus » menait à une impasse. Nul n’est obligé d’être plus rapide que son ombre. L’alité se dressera-t-il contre les deux tiers des Vésigondins ? Les enverra-t-il se faire voir chez Plumeau au risque de bafouer les fondements de la démocratie municipale ? Propulsé par sa Virago dans une folle chevauchée il pourrait défier les lois de la majorité qui règlent dans les communes civilisées les rapports avec les citoyens. Mal en point et désavoué...

Un maire alité, sans l’entière possession de ses facultés, inquiet de jamais les retrouver … signe une fin de non recevoir aux demandes de l’AVNR ! Puisque « l’inaction paralyse » (sic) comment peut-il signer le poulet que le Huron publie. ( ici à gauche ).  Sa signature est-elle imitée, délégation est-elle donnée à un lampiste de rédiger en son nom la réponse de la Ville aux requêtes formulées par des présidents d’association ? Si tel est le cas, le lampiste est un avorton d’écrivaillon. Vouloir disqualifier le président Régis D. en pinaillant sur le nombre d’avis en défaveur du padel nous propulse au niveau d'une cour de récré… Ce texte foutra d’incongruités et d’insinuations nauséeuses en déshonore le plumitif. Qui est ce ML auquel le maire concède le droit d’insulter les présidents d’association ? Un avatar de Musk aussi fat que fourbe, ou l'un des roquets de la haut perchée qui aboie en guise d'expression ? Dans la séquence que traverse le Vési...

Le Huron se joint à tous les Vésigondins pour souhaiter à monsieur Coradetti un prompt rétablissement. Cette parenthèse médicale qui met Rital II hors d’état d’exécuter son mandat rappelle une séquence de triste mémoire pour son inspirateur. (voir courrier ci-contre) Rital Ier empêché pour raisons de santé avait prié sa première adjointe de tenir la maison pendant l’intérim qui devait être de courte durée. La suite ne s’invente pas. F de C découvrant le pot aux roses informa son supérieur hiérarchique, qui convoqua le convalescent à son retour aux affaires … et le débarqua sine die. Cette épisode aurait du alerter son successeur : si on sait quand on quitte son siège, rien ne permet d’être assuré de le retrouver, surtout quand on s’est fait plus d’inimitiés qu’un curé pourrait en bénir. Dans le panier de crabes du premier étage se sentiront-ils soutenus en haut lieu pour mettre un terme à un mandat désastreux qu’une démission pour cause de maladie - ou convenances personnelle...

On ne lui reprochera pas d’avoir le vin gai. Encore moins d’être tombé sous le charme d'une Virginie énamourée. Mais même entouré de petits vieux et de sa dulciné il pourrait s’abstenir de faire le clown. On reste maire du Vésinet … tant qu’on a pas démissionné. A-t-on déjà vu un élu dont classe, la gesture, la prestance se conjuguent aussi bien avec l’excellence de la ville qu’il représente ? Peut être pourrait on rappeler à monsieur le maire un devoir de décence ...  … et l’obligation de ne pas laisser la Ville tomber en déshérence. Les guirlandes de Noël pendouillent encore en haut des lampadaires, des sapins vestiges d’un temps révolu bien incongrus devant le Monop’. A 300,000€ les édicules de la place du marché pourrissent et tombent en lambeaux.    Boulevard de Belgique une nouvelle signalétique est apposée portant l’ancien logo de la ville. Avoir claqué 100,000€ pour créer un nouveau blason et apposer l’ancien !  Tout part à vau l’eau, et ...

Le communiqué signé "Peter" sous forme de SMS envoyé seulement à quelques commerçants est stupéfiant de familiarité.( ci dessous à droite ) Il voulait se la jouer pote, complice. Copiner avec les petits commerçants, se les mettre in the pocket et les empapaouter, ni vu ni connu !  «  Appelez moi Peter … et je vous enfume «.  La stratégie du viking genre - je me bats comme un lion pour défendre votre cause – mais si vous êtes trop réfractaire je ne pourrai plus rien pour vous - est éculée, mais a manqué fonctionner.   Il y a plus grave : un élu, qui plus est détenteur d’une délégation, s’exprime-t-il es qualité quand il ne signe que de son prénom ? Est-il la voix de son maître ou n’engage-t-il que sa modeste personne ? Ce communiqué interpelle tout autant par son contenu. «  Les agents en charge de la verbalisation sont changés pour des agents plus expérimentés, plus tolérants, plus pour le dialogue  » Autant dire que les précédents...

Le samedi 8 février T Gripoix (ici au centre rigolard) défile au cœur d’une manifestation qui fustige le chamboule-tout que le maire veut imposer aux riverains et commerçants du centre ville. «  Coradetti arrrête tes conneries «  est l’un des slogans martelés par les marcheurs qui investissent la cour de la mairie. Le message est limpide, la foule réclame un embargo sur des projets qui n’ont jamais été débattus en Conseil Et pour cause, pour obtenir le jeudi 6 février en C M l’inscription à l’agenda des motions appelant la suspension sine die des travaux et un débat il fallait 11 voix. Les 10 des élus de l’opposition et celle de T Gripoix. Mais il a refusé de s’associer aux opposants et s’est fait un allié objectif de la désertification du Centre-ville. Des manifestants ont manqué exfiltrer l’intrus. Samedi 15 février T Gripoix s’affiche ( à droite ) avec Braun-Pivet dans une bouffonnerie qui réunit tout ce que l‘équipe municipale comporte d’idiolâtres pour inaugurer un pa...

Sur quelle planète vivent-elles ? Une brochette de godillottes (des élues ….) se trémousse autour d’une haut perchée coupant le ruban du pas de tir à l’arc. Avec 6 mois de retard cet équipement d’une inutilité crasse (300,000€) est l’instant où les adeptes peuvent s’approcher de leur gourou. Béatification d’une cruche vécue en direct par l’indécrottable bouffon. On le voit à droite frétiller comme un poisson dans une mare. Au Vésinet l’idolâtrie fait des ravages alors que la ville est en rébellion contre la bande qui impose ses diktats. La haut perchée ignore les manants. Le peuple des vésigondins - cadet des soucis de l’icône des bobos - peut toujours défiler, s’égosiller la conseillère municipale n’en a cure ! Elle exhibe sa frimousse dans toutes villes de France et de Navarre, mais le Vésinet profond est snobé. La détestation dont son pantin fait l’objet pourrait écorner l’image d’Épinal d’une bonne fée aux petits soins des français moyens. Dans ce contexte si la let...

Le piège est grossier. Amadouer les commerçants, les enfumer avant la réunion du 18 février. Peter le télégraphiste est chargé d’envoyer les sms ( ci contre ) , de désamorcer la grenade. Marionnette acidulée elle chloroforme les « braves «  commerçants dont la foudre guerrière pourrait retomber. Leur faire croire qu’ils ont gagné et une fois la trêve obtenue les cocufier. Le Trumpette du Château s’est déjà adonné à ce jeu là. Les échanges entre commerçants le prouvent : nombre d’entre eux hésite à poursuivre le bras de fer. N’ont-ils pas gagné une mise en sommeil provisoire, n’ont-ils pas intérêt à pactiser avec le diable plutôt que s'approprier le rôle dévolu aux oppositions ? C’est ce que déblatère Peter – en petit comité. « Tous ces commerçants sont manipulés par des opposants – toujours prêts à récupérer comme l’inénarrable petit pois … ! » Un jour il fait risette à la majorité le lendemain il s'affiche avec les plus féroces détracteurs. La reculade ...

Panique au premier étage. Les remontées du terrain sont alarmantes pour Pinocchio. Le plus miro des observateurs - genre Peter le paon -  aura noté que depuis la rentrée de septembre la fréquentation du cœur de ville a fondu de moitié. Plus la peine de tourner, il y a toujours une dizaine de places libres pour stationner. Et une tronche d’agent verbalisateur à l’horizon. C’est que pour absorber le coût du contrat chacun des deux agents doit flasher un minimum de 1,000 contrevenants chaque mois. Soit environ 50 par jours ouvrés. Et ils le font allègrement. Tant et si bien que Pinocchio – toujours garé à cheval sur une banquette anglaise - est devenu le maire le plus détesté que le Vésinet ait connu. Tous les Rital confondus. Responsable de la chute d’environ 40 % du chiffre d’affaires des détaillants et commerçants, on comprend qu'il déserte le centre ville ... D’où ce volte face incongru. Après avoir justifié les sévices infligées aux automobilistes, Pinocchio se rétrac...

… devant les commerçants, mais Peter - en privé - ne s’en cache pas … «  je ne sais pas où tout ça va nous mener … ! » Il déteste ce qu’une forme d’emprise le contraint de faire. Jusqu’à « hier » Peter n’avait jamais menti, raconté de crasses, berné des citoyens, des voisins, des amis ! Enfin pas plus que vous ou moi. Le mensonge institutionnalisé d'un Rital n’est pas la cup of tea d’un Viking . Tout a changé depuis qu’il s’est enkysté dans un gang de godillots aux ordres d’une haut perchée* et de son larbin de Pinocchio. Tout est bon, travestir, manipuler, trahir ! La loi du gang c’est l’obéissance servile, la dévotion : le gang a muté en secte avec bannissement à la clé pour ceux qui renâcleraient à avaler les couleuvres de l’idolâtrie. Le moindre doute sur le bien-fondé de la marche forcée pour imposer ce projet mal ficelé et vos enfants sont éjectés de la crèche ou de la garderie. Du conservatoire ou du CMJ. On terrorise les mal pensant...

« Votre avis je n’en ai plus rien à cirer … d’ailleurs pour vous en convaincre vous apprendrez de la bouche de tiers les aménagements que j’ai décidés pour la rue Thiers ! » Le despote joue sur le velours. Faire donner l’information aux riverains et boutiquiers par l’agence Ter qu’il rémunère démontre qu’il n’a aucune intention de prendre en compte les demandes de moratoire et les doléances exprimées par les commerçants. On imagine mal les commis de ce bureau d’études remettant en cause les directives reçues du donneur d’ordre. Et pour bien montrer qu’il n’entend rien amender, la date choisie pour faire cette annonce (18 février) se situe au milieu des vacances … les absents n’auront rien à regretter tout étant ficelé. Après son post incendiaire et factuellement faux – l’occupation très partielle d’une allée de la place du marché aura duré moins de 20 minutes - la convocation à cette réunion des administrés concernés se fait sans préavis décent ( 3 jours ouvrés), sa...

Depuis quelque temps déjà le comportement du maire fait l’objet d’analyses contradictoires. Deux écoles s’affrontent qui depuis l’observation des mêmes faits indubitables puisque publics tirent des conclusions opposées et partant des approches différentes pour mettre un terme à ses déviances. Le maire est une buse intégrale qui n’entrave rien aux obligations de sa fonction et réagit de façon primaire aux vicissitudes qu’il rencontre quand il ne les provoque pas. Pour l’autre école le maire est un cador qui joue la buse intégrale pour tromper ses interlocuteurs en les déstabilisant. Un vrai faux con ! Admettons que la deuxième version est plutôt rassurante. Un type intelligent finit toujours par sortir du jeu de rôle qu’il s’est imposé pour toper avec ses contradicteurs et trouver le compromis qui sans satisfaire tout le monde permet de déboucler une crise. Son intelligence sait lui dicter le moment où la poursuite de la confrontation devient contre productive en poussant les i...

Dans un texte au vitriol (ci contre) le maire s’en prend aux manifestants. Quelle mouche l’a piqué ? Le maire dont le goût pour le consensus n’est plus à louer, dont la vaillance fait l’admiration de tous, dont le sens de l’intérêt général est donné en exemple, ce chevalier Bayard des temps modernes aurait-il pété un plomb ? Sauf  à avoir donné la clé de son compte FB à un pirate pendant qu’il se la coule douce sur la Riviera ? Invoquer un empêchement fait aux mariés de paraître sur le perron est contredit par les faits. Non seulement les mariés sont apparus mais ils ont été ovationnés par la foule après avoir apporté leur soutien aux … manifestants. Toujours est-il que ce post est génial ! Inespéré pour l’AVNR et autres assos qui grâce à ce scud vont remobiliser tous leurs adhérents ce coup de com' booste déjà les commerçants en leur redonnant le feu sacré. Et Dieu sait si plus que jamais ils auront envie d’en découdre … Bien joué Naboléon ! Avec d...

Le « débat » budgétaire a confirmé la dérive de nos finances. Plus que la valeur des différents postes du budget le « trend » conduit à l’effondrement des capacités d’investissement de la ville suite à l’explosion des dépenses de fonctionnement*. La marge d’auto financement est la plus faible (3M€) jamais constatée provoquant la nécessité d’emprunter pour assurer les investissements courants (besoin annuel de 6M) . Entretien des bâtiments, voirie hors tous nouveaux projets. Abandon de l’entretien des voies publiques : les 300,000€ budgétés permettront tout juste de rénover 0,5 % des 60km de routes communales. A ce rythme là deux siècles seront nécessaires !!! En dépit de son incapacité d’équilibrer le budget sans recours à la dette pour les opération courantes le maire prétend se lancer dans des projets grandioses de rénovation du centre-ville. Environ 5M, mais il refuse obstinément de communiquer aux élus de l’opposition le document d’urbanisme...

Pinocchio, son rôle préféré jusqu’à hier encore ! Le mensonge est dans son adn. On ne compte plus les contre vérités confinant à l’absurde qu’il est capable de proférer. L’une chasse l’autre … comme ce jeudi prétendre que le coût de démolition de 200,000€ de la bâtisse de l’avenue Carnot est à la charge du promoteur alors que le contrat stipule que la ville devra le supporter. C’est écrit noir sur blanc dans la promesse de vente, contrat qu’il a produit au conseil …. lui ont rappelé les élus de l’opposition. Ou cette prétention à ignorer le contenu du plan d’aménagement du centre ville dont il a signé le document … Sans remonter à Mathusalem, l’addiction à la menterie est consubstantielle au personnage. Dès son élection il prenait des engagements : pas de hausse d’impôts, enterrer une ferme dans le sarcophage … que pour rien au monde - disait -il - il ne trahirait. Mais c’est le président du tribunal administratif qui a agrafé l’étiquette de fieffé menteur au personn...

Pour la première fois ils ont franchi le seuil de la salle d’un conseil. Comme tant de citoyens l’idée d’assister au rituel municipal ne les avait jamais effleurés, mais cette fois la coupe étant pleine, le chiffre d’affaires en chute libre – on évoque moins 30, voire moins 40 % d’une année sur l’autre – des commerçants ont voulu mettre un visage sur tous ces conseillers qui les condamnent. Ils n’ont pas été déçus du voyage. Sidération et consternation résument le sentiment général. Le maire, mais pas seulement est apparu sous un jour affligeant. Nos amis ne sont pas des révolutionnaires, des agitateurs professionnels habitués aux esclandres. Le commerce est synonyme d’échange et la tranquillité lui sied autant que le calme et la stabilité. Mais qu’on ne vienne pas leur raconter des histoires. Les soi-disant consulter pour n’en faire qu’à sa tête et surtout formuler des engagements que des faits dans l’heure viennent infirmer. La réunion du lundi 3 février a été désastreuse. ...

« Coradetti, arrête tes conneries !  » Le pétochard était à l’honneur, les manifestants n’en avaient que pour le poltron qui s’était fait porter pale. Plutôt que d’assumer ses conneries il avait abandonné l’hôtel de ville à l’un de ses tocards. Mal en a pris au grand Messe qui officiait en ce samedi jour de mariage et s’est copieusement fait conspuer .. quand il est apparu blême sur le perron, les guibolles flageolantes … le pleutre est piteusement retourné dans son antre. Laissant aux jeunes mariés l’honneur d’être chaudement félicités. C’est une journée à marquer d’une pierre blanche. Plus de deux cent manifestants en plus des professionnels de la politique. Des vrais gens, des femmes et des enfants, rien à voir avec la clique qui chine avenue Montaigne quand elle délaisse Hermès et la rue du Faubourg. Des revenants aussi, qui flairant un improbable come-back ont misé sur une présence « at the place to be » ! Ainsi un ancien maire disparu depuis bel...

Il n’y a eu ni dialogue ni même échange encore moins débat ! Le conseil municipal du 6 février a acté le refus du maire d’entendre la population et ses représentants. Naboléon sur sa planète soliloque indifférent aux grondements. La ville grogne et le despote se félicite de la réussite de son mandat ! Lunaire, Il vante une concertation qui conduit les commerçants à annuler toutes les opérations prévues au calendrier par lettre recommandée, et les administrés à défiler demain 8 février pour aller déposer leur cahier de doléances à l’hôtel de ville. Lunaire, élu avec 12 % des suffrages il refuse de se poser la question de l’adéquation de ses projets avec les attentes de la majorité de la population. Lunaire Naboléon continue à insulter le suffrage universel en imposant des choix rejetés par les 88 % de Vésigondins insatisfaits. Le divorce est consommé. Une association obtient son accord pour mettre au voix des motions demandant de surseoir aux décisions. Reven...