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Affichage des articles du janvier, 2023

Braun Pivet nomme une gauchiste au C S M !

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Le masque est tombé ! En nommant sur le contingent de l’Assemblée nationale madame Diane Roman au Conseil Supérieur de la magistrature Braun-Pivet fait entrer l’intersectionnalité et la théorie du genre par la grande porte dans l’institution judiciaire. On savait Braun-Pivet adepte du non-emprisonnement des délinquants, de l’amnistie pour les faits de violences volontaires commises par des syndicalistes. Aujourd’hui on découvre qu’elle noyaute le système en plaçant la spécialiste des « nouveaux droits humains » (sic) à un poste clé. Madame Roman, spécialiste de l'intersectionnalité et du genre, est l’auteur de « La cause des droits,  Écologie, progrès social et droits humains »  livre qui a fait bondir plus d’un juriste attaché au   droit normatif. Apologie du droit positif, reconnaissance du droit des animaux ou de la Nature, incrimination de l’écocide, responsabilité de l’État dans le mal-logement. Autant de thèses dignes d’intérêt certes mais dont la prévalence n’est en

Blogueur ou ministre ?

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Flétrir et discréditer les millions de français qui ne pensent pas comme lui, le million de « travailleurs » qui s’apprête à voter avec ses pieds en déambulant sur le pavé le 31 janvier relève de la dérision, du sarcasme ou de le la provocation. C’est le propos d’un polémiste, d’un satiriste voire d’un opposant. Mais entendre un ministre de plein exercice conspuer cette population ultra majoritaire en opposant leur paresse, leur fainéantise, leur glandage à l’activisme des retraités toujours   globalement favorables à la réforme des retraites a quelque chose d’anachronique pour ne pas dire révolutionnaire. On cherche en vain où se situe l’intelligence de cette admonestation. Quelle catégorie d’hésitants le ministre Darmanin, jamais en retard d’un contre emploi, pense-t-il faire basculer dans son camp en stigmatisant les gaulois réfractaires ? Le Huron donne sa langue au chat … pas celui de la SNCF ! Élevé dans l’idée que l’élite gouvernait parce qu’elle avait l’intelligence, l

Le Maire, ou le courroux du jour !

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L’épisode « macronien » dont une majorité de Français trouve qu’il n’a que trop duré aura mis en exergue l’insolente duplicité des élus de droite. Que ce soit Philippe l’ex Premier ministre,   Darmanin, personnage à la Morale décoiffant, ou le Maire le financier aux poches trouées, ils auront porté au paroxysme les travers des politiciens à en devenir des pitres inaudibles tellement leurs discours éculés et galvaudés sont contredits par leurs politiques au jour le jour. Hier le Huron écharpait Darmanin dont la politique « migratoire » vise à régulariser sous le motif « professionnel » un nombre croissant de gens de cet horizon. Il ne cherche plus à masquer cette vérité – d’ailleurs les chiffres sont formels – et s’associe à un ministre de gauche pour transformer des pans entiers du territoire en des lieux où aucun de mes lecteurs - à l’exception notable de la Haute Perchée que je sais fan du Huron- n’imaginerait laisser ses enfants trainer ! Mon courroux du jour a été déclenché

Le chat, la SNCF et Darmanin

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Ah si Schrödinger pouvait avoir raison ! Si le chat pouvait être mort ET vivant, que de tourments la SNCF ne se serait-elle pas épargnée. D’une bien triste histoire à faire pleurer dans les chaumières, un piètre racoleur, accessoirement ministre de l’Intérieur, s’est " trouvé choqué " et tance une institution qui avait oublié dans ses protocoles le cas du minou terrorisé sous un TGV. Qu’une petite fille pleure toutes les larmes de son corps, que des associations aux abois brandissent l’étendard de la révolte contre l’inhumanité d’un contrôleur, soit ! Mais qu’un ministre dont les hommes ne sont pas toujours de la plus exquise délicatesse emboite le pas ne laisse de nous turlupiner.   Faire du cinéma pour compatir au triste sort d’un félin est-ce la marque de fabrique d’un homme d’État ? Tellement de situations - dans son domaine de compétence - sont d’une plus criante inhumanité. Des petits vieux dont la maison est squattée, des habitants interdits par des dealers de

On nous aurait menti ... !? by R Bus

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A l’heure où des fractions très minoritaires de la population imposent des dictats relatifs à l’égalité homme/femme ou encore à des théories transgenres susceptibles de perturber la conscience de nos adolescents, il est possible de s’interroger sur la vérité qui se cache derrière ces actions. Sommes-nous réellement sous l’emprise de ces minorités ? Sans doute et ce n’est pas nouveau, J-J Rousseau avait déjà décelé ce travers de la société : « L’homme est né libre et partout il est dans les fers ». Ce carcan peut être dérisoire ou fracassant. Prenons deux exemples : -           Même l’illustre annuaire de l’ENA dans sa promotion Voltaire vient jeter un doute sur le genre de notre ex Président de la République qui selon leurs archives serait « Françoise Hollande » (cf ci-joint) … On nous aurait menti ? -           Autre interrogation concernant la féminisation des noms ou des fonctions. Dans l’exemple récent ci-joint, on constate que R. Dati reste Ancien Ministre et Ancien Déput

Retraites : tout ça pour ça !

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Le cirque que nous préparent   les syndicats et les partis de gauche fera reculer le gouvernement. 35% des « gains » de la réformette ont déjà été reversés pour des mesures de compensation. Demain la réforme sera adoptée avec 50 à 70 % de redistribution de l’effort de tous au profit de quelques uns. Tout ça pour ça ! Macron est un piètre tacticien. Aurait-il fixé un âge de départ à 67 ans et d’un nombre de trimestres ajusté à 45 années de cotisation la mobilisation eut été identique. Mais il se donnait   du grain à moudre pour désamorcer la crise sociale à un niveau plus ambitieux que l’objectif des 64 ans annonçé en lançant son projet. La détestation qui lui colle aux baskets explique une partie de ce rejet, rejet   accentué par l’incohérence de la communication. Incriminer les français qui n’y comprendraient couic, comme le sous entend cette antienne sur le besoin de pédagogie,   est une insulte à l’intelligence collective. D’autant que tous les actifs ont d’emblée compris com

Coradetti & Co : indécrottables bons à rien

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Hier le Huron stigmatisait le délabrement des accès à la dalle de la place du marché et leur dangerosité. L’incurie se serait-elle généralisée à tous les domaines de la gestion municipale, on peut le croire à la lecture de la lettre ouverte signée des présidents de 4 associations regroupant des Vésigondins de toutes tendances. Ils rappellent à Mr Coradetti leur courrier de doléances relatives à la navette électrique restée sans réponse …   Un mois après l'envoi de recommandations pour améliorer la fréquentation de cette navette, ils n’ont pas même reçu un simple accusé réception … aucun retour, aucune amélioration bien entendu sur la collecte des Vésigondins, et le bus circule toujours à vide ! La vie des administrés n’intéressent pas les élus. Point barre. Parader, dépenser sans compter, endetter la ville c’est leur hybris , mais rien de ce qui peut améliorer le quotidien des gens n'intéresse ces m-as-tu-vu.  Le constat est ancien. C’est sa répétition qui rend la situation

Une honte pour la ville

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Une incapable notoire après avoir succédé à un gros bonnet deviendra-t-elle mairesse comme elle se plait à le claironner à ceux que des boules Quiès n’empêchent pas d’entendre ? Une honte pour la ville ! L’hypothèse prend de la consistance au fur et à mesure de l’accumulation de manquements   caractérisés à l'obligation d'entretien des biens du domaine communal. Les motifs d’intenter une action en responsabilité* pénale du maire du Vésinet risquent de ne pas manquer. Citons en un au hasard, celui que tous les chalands, tous les forains qui fréquentent le cœur du village, sa place du marché, ont signalé depuis un temps certain. Sans que l’ombre d’une action soit entamée pour remédier au délabrement du lieu. Pas même une alerte pour personnes âgées ! La mise en danger de l’intégrité physique des passants ne fait aucun doute au vu de l’état d’abandon dans lequel est laissée la dalle la plus fréquentée de notre espace public. Conséquence certes de la gestion catastrophique du

A Buzyn ni coupable, ni responsable ... !

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L’élite des juges exempte – a priori - Mme Buzyn de toutes responsabilités dans la catastrophe sanitaire du Covid 19 accréditant la thèse d’un entre-soi au plus haut niveau de l’État. En dépit de sa mise en examen par les juges de la haute Cour la ministre célèbre pour avoir abandonné son poste de ministre de la santé au plus fort de la déferlante Covid est pré-jugée innocente de mise en danger de la vie des français. Pas que le Huron soit le moins du monde compétent en matière pénale, pas qu’il ait la moindre animosité envers cette marionnette macronienne mais enfin …. La responsable de la santé publique n’a-t-elle pas décrété qu’elle avait tout anticipé … que le système de santé était calibré pour absorber un choc épidémique qu’elle jugeait très improbable. Ceci expliquant cela !  «  Le risque d’importation (du virus) depuis Wuhan est modéré. Il est maintenant pratiquement nul car la ville est isolée. Les risques de cas secondaires autour d’un cas importé sont très faibles. Et

Le discours de la Sorbonne* : Une enfilade de lieux communs

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Accumuler des poncifs, asséner des truismes, aligner des platitudes c’est l’exploit auquel Mme Braun-Pivet a attaché son   nom devant les caciques franco-allemands réunis sous l’ombre tutélaire du Général et d’Adenauer. Exercice* pathétique où sont convoqués pêle-mêle Madame Veil, Eiffel, Hugo, Hegel et Rosa, pas Luxemburg ... sa grand-mère !  Au moment où la méfiance règne entre les deux capitales, où l’Allemagne ne cesse d’accroitre son lien atlantique au détriment de son partenaire d’outre-Rhin exalter une entente qui sent d’abord le rance c’est méconnaitre la réalité et communier dans le bigotisme infantilisant du pan-européisme.    L’idée de nation est ancrée et bien vivante dans l’ADN des populations de ce continent et travailler à sa dissolution au nom d’une utopie babélienne est une déconstruction du principe européen voulu par ses fondateurs. Les précités Adenauer et De Gaulle en oubliant surtout R. Schuman et J. Monnet les vassaux de l‘oncle Sam. Aujourd’hui la France

Braun-Pivet : Commentaire sur une prestation ratée …

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 initialement publié en commentaire   Si vous avez du temps à perdre ou si vous voulez d'autres preuves de la Hauteur de notre Dépitée, je vous invite à un replay de l'émission de 10h00 de ce jour sur LCP. Yaël Braun-Pivet, Présidente de l’Assemblée nationale, accueillait ce dimanche Bärbel Bas, Présidente du Bundestag, au Panthéon suivi de la célébration des 60 ans du traité de l'Elysée à la Sorbonne avec Mister Macron et le Chancelier Olaf Scholz. Pour commencer, on peut dire que Madame Yaël Braun-Pivet a besoin d'une Conseillère vestimentaire : tenue déjà vue composée d'une chemise verte débraillée et d'un vieux manteau noir sans doute pris dans l'armoire de sa grand-mère Rosa. Besoin d'un Coach en maintien : rien de plus horrible qu'une femme qui ne sait pas marcher avec des talons hauts. Besoin d'un coiffeur : à 14 000 euros et plus par mois, elle aurait pu avoir un brushing parfait. C'est peut-être des détails mais lorsque l'on

"Deutschland über alles" le retour !

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Peut-être la seule fulgurance du président Mitterrand, cette intuition que le remembrement allemand signerait la fin de notre rapprochement. Son inertie, voire sa réticence à acter la réunification de la RDA avec la branche occidentale du reich s’élevait contre le cours de l’Histoire et n’a pas entravé la reconstitution d’un géant teuton. Les nains qui l’ont suivi n’avaient d’autre ambition que de laisser la France profiter de la dynamique de cette reconstruction pour récupérer la manne qu’injectaient les Wessis dans le kolossal effort financier   d’intégration des Ossis. Le reste, l’essentiel leur a échappé. Ainsi la supériorité numérique du géant reconstitué mais aussi économique et la position centrale dans une Europe recomposée vers l’est déstabilisaient l’équilibre originel des pères fondateurs. L’intégration se ferait au détriment de la France et de ses intérêts. Le mantra légué par de Gaulle s’applique à Macron encore mieux qu’à ses prédécesseurs «  Bien entendu, on peut

"Out of sync"

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L’anglicisme n’est pas un snobisme. Il synthétise le gap entre la soi disant nécessité d’une réforme a minima du système de retraite et la perception qu’en a une partie majoritaire et croissante de l’opinion. L’échec du gouvernement tient à sa gestion de la parenthèse Covid et au basculement qu’elle a provoqué chez les actifs dans leur perception de la valeur travail. A contrario ceci explique que les retraités soient largement favorables à ce projet. Ils sont restés ancrés dans leur paradigme du travail salarié marqueur de réussite sociale. Macron, en abandonnant en début de crise Covid le plan initial de mutation abrupte vers un régime à points a acté de sa non-impérieuse-nécessité. Eut-ce été une question vitale la réforme aurait été votée par sa majorité acquise de députés. Preuve que Macron avait biaisé sur l’impératif de cette obligation. Le « quoiqu’il en coute  » couplé à l’injonction de ne plus aller travailler est venu derechef vacciner le français contre le prétendu

"Péter plus haut que son c... !"

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Rien ne l’arrête, pas même la conscience de sa vacuité. Deux personnages, un déjà retraité et une prochaine retirée de la vie politique se serrent la main … ! Cela compose un cliché anodin. Sauf que tout est dans le texte, rédigé par la Haut Perchée :  «  Honorée de recevoir le Président Sarkozy à l’Assemblée.   Des échanges chaleureux et une hauteur de vue précieuse sur la France et le monde d’aujourd’hui  »    Ceux qui croient qu’il y a des limites à la flatulence découvre qu’au presque sommet de l’État on peut « péter plus haut que son cul ». Cette séquence est hilarante. Sarkozy, dont on retiendra qu'il est entré dans l'Histoire pour ce qu’il n’a pas su faire :  - passer le karcher, ce qui est un job normalement dévolu à des techniciens de surface immigrés ou pas, - laisser son parti en situation de gagner les élections,  copine avec Braun-Pivet, l’incarnation de la vacuité macronienne.  A ce niveau là on ne parle ni de grèves ni du quotidien des français,