Le HURON

On s’étonnait. Être issu de la cuisse de Jupiter, avoir dirigé un Big five ou six, à moins qu’il ne fut Blue, se targuer d’une belle carrière et se comporter tel un caïra du 9-3 ! Il y avait un « hic » ! Quelque chose clochait jusqu’à ce qu’on découvre qu’il fut nabab, boss ou singe mais d’une conciergerie, spécialisée dans le repassage et les ménages ! Concierge : il faut une pincée de polissage. Chez Cora vite le naturel surnage : la goujaterie, les pitreries d'un m-as-tu-vu et les vociférations qu’il encourage chez ses sbires - LFI en pire _- lors des conseils municipaux – incapable de prendre les codes et les usages de son job temporaire. Nul autre bourgmestre ne s’est jamais conduit en cuistre coupant la parole, invectivant, haranguant une élue dont la meilleure éducation Vésigondine lui interdit de retourner un chien de sa chienne. Avec une « grosse retraite » (sic) tout peut être acheté, for l’éducation … Conciergerie Coradetti, ça ne s’invente pas et ça correspon

Empêcher la libre expression d’un élu lors d’un conseil municipal est d’usage courant chez les émules du Cora. Le tyranneau du boulevard Carnot s’est encore illustré par ses pantomimes lors du CM du 27 septembre, allant jusqu’à insulter par la mimique une élue ex membre de sa meute. Calomnier, invectiver, haranguer et traiter de « conne » ou tout comme celle qui dénonce les affabulations de Cora et de son troupeau bêlant est devenu un classique des CM. Argumenter, apporter des réponses circonstanciées, débattre n’est pas supportable pour les extrémistes haineux dont la bave batracienne est la seule réponse aux questions aussi dérangeantes que pertinentes qu’une opposante leur adresse. Jamais de mémoire de Vésigondins des élus aux CM ne s’étaient comportés en footeux avinés de la tribune Boulogne, hurlant, vociférant, gesticulant... Que ce soit sur l’incohérence d’une maison de santé équipée pour 12 médecins généralistes, coût exorbitant (2,3M €), inadéquation de l’offre, opacité d

Le scud n’a pas raté sa cible ! En position de sniper, l’intarissable Michel-Edouard; dans son collimateur l’ineffable pipelette du perchoir, alias Braun-Pivet, ici en débardeur … ! Mme Braun-Pivet s’est offusquée hier en séance question-réponse des tees-shirts arborés par des élus LFI, au motif d’un dévoiement de l’institution parlementaire dont elle se targue d’être la garante. Ce n’est pas photoshop, ni une IA qui a réalisé le cliché ci-contre de la député Braun-Pivet en débraillé à la tribune de la Chambre … La même excitée du bocal s’est prononcée avec véhémence contre la révision de la loi qui interdit aux distributeurs de faire des promotions (loi Descrozailles).  «  Faudrait-il pas que les cosmétiques de L'Oréal soient vendus à perte … Mes stock-options et mes actions fondraient comme neige au soleil ... » La même Virago s’est crue obligée d’exiger que les distributeurs vendent l’essence à perte avec le succès que l’on sait. La voix de son maître n’en est plus à une

Le cuistre termine sa carrière politique sur un échec cuisant ! Le sénat, il pourra toujours le visiter mais y siéger c’est gravement compromis d’autant que la prochaine fenêtre de tir aura lieu dans 6 ans ! Même quand on est haut comme 3 pommes vouloir péter plus haut que son cul est un exercice risqué.  Cora n’a du qu’à l’extrême division des droites vésigondines de troquer son costard de VRP et de hâbleur invétéré pour un costume de maire du Vésinet. Nul doute qu’il trouvera lors du prochain CM les mots pour expliquer qu’il est la victime d’une coalition des oppositions qui va contraindre la haute assemblée à se passer d’un politicard de talent. En attendant dans le Landerneau, on se marre de voir le guignol s’agiter dans son bocal. 15 % des voix, c’est que pèse « Renaissance » dans les Yvelines. Pas de quoi pavoiser quand on bénéficie des services de presse de l’État, d’un système médiatique aux ordres et de la diarrhée verbale d’une haut perchée qui saute d’un écran de télé à

C’est tout l’intérêt du scrutin d’arrondissement, élire un député qui agisse pour sa circonscription ! Mme Braun-Pivet se souvient épisodiquement qu’elle est élue des vésigondins, des mansonniens et autres sartrouvillois. Pour nous autres vésigondins le dernier prospectus concocté par ses services est un bijou d’appropriation du travail d’autrui, du vol à l’étalage des réussites de ses prédécesseurs ! Ainsi les 436 logements du parc princesse, projet initialisé par R Varèse dont la réalisation incombe entièrement aux mandats successifs de D. Jonemann et B. Grouchko. Pourtant elle ose s’en approprier la complétude. Quant aux équipements collectifs associés – toujours en chantier - son pantin de paille a réussi à en retarder de 4 ans la réalisation. Aucun des problèmes spécifiques à notre communauté n’a avancé d’un pas depuis son élection, pire elle s’est opposée aux tentatives d’exclure le Vésinet des carcans des lois urbanistiques qui imposent des quotas dont la réalisation es

Laisser une trace, le défi qui hante les nuits du Cora. 9 mois après son élection D Jonemann avait fait voter un PLU protecteur du Vésinet et de son histoire, validé par le préfet.  Après 3 ans de mandat Cora n’a rien inscrit à son bilan, il désespère de marquer de son empreinte son territoire ; Rien que des tentatives avortées, des projets au fond du lac, des fermes enterrées et autres exquises imbécilités. Quelques ampoules remplacées, deux ou trois bandes blanches re-peinturlurées et des diarrhées verbales à en donner la nausée. Mais rien de concret  A Carnot tout le monde est sur le pont pour conjurer cette faillite de demi mandat. Aussi hier soir Vicq Appas avait fourgué sa tenue d’instit anglaise pour faire risette aux associations : mal lui en a pris, son pseudo projet de rafraîchissement du centre ville a été tourné en dérision par l’ensemble du milieu associatif. De dépit elle les a accusés de ne rien proposer ! Un comble quand on est aux affaires et qu’on refuse de transme

L’accueil des migrants serait-il un préalable au développement des activités vinicoles dont chacun sait qu’elles sont consommatrices de main d’œuvre et accessoirement le violon d’Ingres de l’ex président du Medef ? Pour justifier et développer le tropisme migratoire des dirigeants du patronat Pierre Gattaz dont l’épouse a rejoint le dream team de Cora-le-sénateur est l’invité de monsieur le maire ce jeudi à 20 h. salle des conférences*. L’intention de cet éminent vésigondin : favoriser l’installation des populations du Sahel et de l’Afrique subsaharienne est louable, certainement nourrie par un catholicisme militant. Qui peut penser que cet humaniste songerait à exploiter la misère africaine pour développer sa production de Chateau-bio ? Ou ruiner la sécu en faisant bénéficier de ses avantages des populations sans droits acquis ! Pierre Gattaz est éminemment sympathique et donc forcément raisonnable. Sa démarche s’inscrit dans la logique mélenchoniste de l’abolition des frontières.

Va -t-on cesser de se moquer des français ? Sauf à prendre l’automobiliste pour ce qu’il n’est pas la dernière annonce de Borne est une sinistre plaisanterie. Comme si on réinventait le "free lunch" ou le rasage gratis. C’est une insulte au bon sens qui donne à douter du QI de celle qui en est l’instigatrice. Mme Borne se fourvoie dans le populisme racoleur pour faire le buzz. La vente à perte est déjà instituée par la vente à prix coûtant. Avec un niveau plancher. Supprimer le plancher c’est obliger l’industriel ou le distributeur à transférer le manque à gagner sur d’autres produits ou services, car in fine seul l’État peut aligner 30 ans de déficits sans déposer le bilan. De nul effet sur le pouvoir d’achat cette mesurette va accélérer la valse des étiquettes. Elle montre les limites d’un état souverain qui à vouloir faire de la calinothérapie et calfeutrer brèches après brèches à coup de chèques démontre son impuissance plutôt que son omnipotence. Victime du coup

Dans la dernière mouture du Vésinet Mag, le maire livre la quintessence de son inaction après 3 années à ronronner boulevard Carnot. Que le bilan est insignifiant ! Quelques raccommodages sur la place du marché après de trop nombreux accidents, quelques tontes en tondeuse hippomobile - histoire d’être la risée de la Boucle, l’inauguration du chantier princesse auquel sa seule contribution aura consisté à creuser de 5 millions la dette par carence et incompétence ! Tout cela a été dit à profusion, et jamais démenti, comme la consommation de 3 directeurs généraux des services en 3 ans, tellement aucun manager digne de ce nom ne peut diriger la ville sous l’égide de bras cassés aussi imbus que vaniteux. Certains préféreraient raser les murs, d’autres face à leur fiasco auraient la décence de se retirer … mais le paon continue de se pavaner, c’est à ça qu’on le reconnaît … merci Audiard … ! D’autres débâcles sont dans la seringue et rien ne pourra plus changer, le mal est trop prof

Ces deux cartes postales se passent de commentaires, prises ce jour au cœur de la ville. Mieux qu’une diatribe elles témoignent du nouveau Vésinet que Cora et son troupeau d’acéphales nous façonnent à grand renfort de signaux complaisants suintant d’irénisme aussi hypocrite que débile et puéril. A la vitesse grand V le Vésinet de Cora se délite, se normalise, se clochardise, s’islamise, sous le regard ébahi de la haut perchée qui n’en finit pas d’applaudir la destruction du monde qui l’a propulsée au sommet de son incompétence. Le Cora se rêve en sénateur : il a bien mérité de ses mentors pour avoir accompli la dérive communautariste qu’ils appellent de leur vœux. Ce pantin laisse son pote Claudo croupir  aux confins de l’allée Médéric, harceler les passants, et transgresser les arrêtés municipaux interdisant vagabondage et errance publiques. La voilée attend l’ouverture de la pension de famille où une place lui a été attribuée avec son barbu, ascendants et descendants ! "

Braun-Pivet peut régaler les serveurs de soupe de LCI, ils ont bien mérité et leur allégeance, n’en doutons point, sera récompensée. Le regard mielleux, la mine chattemite les fauves du groupe TF1 pouvaient n’en faire qu’une bouchée tant les contradictions, les incohérences et le vide abyssal de la pensée Braunienne éclataient sur le petit écran. Mais ils tiennent à leurs émoluments et un clin d’œil du Parrain aurait fait chuter les actions de TF1 … on n’était pas sur CNews et sa parole libérée. Plutôt genre BFM, genre je-bouffe-à-tous-les-rateliers mais j’oublie pas que le groupe Altice ne survit que par la bienveillante indulgence de ses banquiers. Revenons à cette heure méridienne offerte à la haut perchée alors qu’un soleil radieux et un début précoce d’été indien invitaient les français à regarder ailleurs : une heure de bavardage où on aura tout appris sur rien, à moins que ce ne soit l’inverse. Elle aurait pu être chahutée du début à la fin - lorsque les chiffres terr

«  Je plaide pour une souveraineté aérospatiale européenne dans laquelle la France prend toute sa part.  » dixit Yaël Baun-Pivet depuis Toulouse. Si les mots ont un sens cette phrase n’en a aucun. Parler pour ne rien dire sur des sujets où l’on n’entrave rien, c’est une macronnerie de plus à l’actif de la perruche V ésigondine. Nul n’ignore que la France a cédé son leadership historique dans le conglomérat Airbus aux teutons ; lesquels n’ont jamais manqué de favoriser le business avec les américains. Seul Dassault a su résister aux sirènes gouvernementales et maintenir un leadership français dans ce domaine de haute technologie. Dans la spoliation du patrimoine industriel français Macron aura été à nul autre second. Il n’y a que d’insignifiants obligés pour convoquer une prétendue souveraineté européenne alors que la Commission n’a eu de cesse de brader ou de contre carrer les efforts des industriels européens pour combattre les géants chinois ou américains. Miss « Resto du coeur

16 % la hausse du foncier sans aucune contrepartie, sans aucune réalisation, sans aucun investissement ! La gabegie, le gavage des copains, les coquineries pour complaire à la haut perchée : la note est salée. 16 % de hausse du foncier des Vésigondins. Carrières, ville limitrophe et proche par sa taille et par le CSP de sa population a figé son empreinte fiscale. Dirigée par un chef d’entreprise encarté à droite, responsable et compétent la commune dépense chichement en cette période de vaches maigres, sans péter plus haut que son cul ! Résultat 0 % de hausse du foncier. Honte à l’équipe municipale du Vésinet, honte à Maetz qui s’était engagé à geler la pression fiscale avant de céder à la débauche budgétaire, le pigeon voyageur impénitent qui augmente la subvention de l’association qui lui réserve un accueil princier et pressure les autres. Honte au maire, responsable du délitement des institutions municipales ; homme sans foi ni loi. Ce n'est pas lui qui se serait vanté d