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Affichage des articles du septembre, 2024

PLU : de fiasco en fiasco !

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Bis repetita, la seconde révision du PLU pour réhabiliter l’îlot des courses a été retoquée. Les modifications réglementaires demandées pour l’îlot des courses, l’îlot république et les aménagements autour de l’hôpital sont jugés irrecevables par le préfet. Nouveau camouflet pour le maire et sa troupe de bras cassés. Pourtant ce n’est pas compliqué de lire les textes et de s’y conformer … dans le dossier de la mairie il manque tout simplement les études d’impact qui sont rendus obligatoires dans le cas des zones concernés. Dans un état de droit nul n’est censé ignorer la loi. Ce que rappelle abruptement la préfecture aux incompétents notoires qui se pavanent à la mairie. Ce nouvel et cuisant échec renvoie aux calendes grecs la construction des logements route de Montesson, à la grande satisfaction des riverains. Le premier coup de pelle était prévu fin 2020, avant que Coradetti ne saborde le projet de son prédécesseur ! Les travaux commenceront au mieux en 2026 … Comment en est-on

Braun-Pivet et l’état de droit

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La démocratie en danger ? La harpie sort ses griffes et haut perchée sur ses Louboutin interpelle Retailleau: «  L’état de droit protège notre démocratie  » Braun-Pivet en gardienne du temple : la séquence est cocasse. L’état de droit à géométrie variable pour la gauche et Braun-Pivet ! Au Conseil municipal du 25 septembre qu’elle honorait de sa présence Braun-Pivet a assisté à la tentative d’expulsion de Mme Cabossioras par la force publique. La liberté d’expression bafouée par une clique néo facho n’a suscité aucun commentaire. Impavide, le nez dans sa tablette Braun-Pivet a laissé ses séides assassiner l'état de droit et la liberté de parole des opposants. Mme Braun Pivet s’était-elle opposée à l’éviction de B. Grouchko de son poste de conseiller, énième manifestation du despotisme du Naboléon qu’elle a propulsé aux manettes ? La réponse est dans la question ! Aussi quand Retailleau constate que l’application d’un droit a permis le meurtre d’une jeune étudiante, et se donn

Mandagaran et l’onanisme des alligators

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Mandagaran est un écrivain qui eut son heure de gloire. On lui doit un grimoire sur le canal de Panama. La librairie des lacs confesse avoir envoyé au pilori l’exemplaire qui lui avait été attribué. Malgré une pub offerte dans le magazine des tocards ! Cet artiste, incapable de coordonner les quelques travaux de la ville, foirage à tous les étages – le pas de tir à l’arc disponible le lendemain de la clôture des jeux, nous a couté une fortune en ne livrant pas les équipements Princesse dans les délais, sans parler du ratage du gymnase Matalou. On estime le coût pour la ville de son indigence à plusieurs millions d’euros ! Désengagement du GPA suite aux cumuls des retards. Alors 25,000€ c’est une broutille, c’est le cadeau royal de Mandagaran - aux frais de la collectivité – pour se faire mousser auprès des anciens de l’école des Ponts. C’était une question essentielle pour la ville du Vésinet. Un tableur va être développé par des stagiaires pour établir la corrélation entre le déb

Vifs incidents au Conseil municipal

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Après l’éviction réussie (?) de l’ancien maire, encore présent, l’expulsion manu militari d’une conseillère échoue ! La ville dans un délire fascisant … Corabruti désavoué par une police républicaine qui s’oppose à l’expulsion qu’il avait requise pour faire taire Mme Cabossioras. La conseillère d’opposition condamnée à lire la déclaration des droits de l’homme et du citoyen pour rappeler au maire le droit à la liberté d’expression. Par trois fois il venait de refuser de donner la parole à M de Chamborant. Perdant tout contrôle l'édile livide a fait mander la police pour extraire physiquement l’élue de son fauteuil !!! Une forfaiture car le droit d'expulser un conseiller n'est pas dans les attributions d'un maire. La police est restée de marbre … elle ne se compromet pas avec des apprentis factieux ! Refusant de répondre à l’opposition qui s’indignait de l’éjection de B Grouchko, l’édile a ensuite tenté de justifier la vente au privé de la crèche Sully ! Pour comble

Corabougri ?

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Que l’on apprécie ou peu B. Grouchko la kabbale déclenchée par le maire aura fait au moins une victime : Corabougri  ! Le moment choisi comme l'alibi invoqué pour éliminer son prédécesseur en font un petit bonum , un justicier haineux abusant de son statut pour abattre un concurrent. Mesquin, pitoyable … La manipulation des juges avec la complicité – voire l’intervention de sa Diva – a écrit une sombre page dans l’histoire municipale pourtant riche en coups bas, en retournement de vestes, en trahison et bouffonneries. Ce soir seront face à face le revanchard et sa victime* sursitaire en attente de la décision des juges d’Appel. La haut perchée s’immiscera-t-elle pour sauver son loulou d’un cuisant désaveu ? On la sait capable de tout … parole de laquais ! A moins que saisi d’un remords tardif, Corabougri refile le mistigri à son homme de paille. Un pirate dont la nocivité n’est plus à questionner, qui servirait pour une fois une cause utile. Qui souhaite que la ville devienn

Braun-Pivet : une 18ème absence ?

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Explosera-t-elle le record détenu par le Vidal, ce citoyen exemplaire palpe 300 balles pour ronronner dans son canapé quand d’autres sont de corvée aux Conseils. Avec 17 absences aux 31 conseils municipaux cet élu macroniste n’a pas été destitué par le Corps abruti qui en détient le pouvoir. Il a du rendre des services, pondre des odes à la haut perchée, donner des os à son Médor. Mercredi 25 on saura si Braun-Pivet qui co-détient déjà le record du dilettantisme avec 17 absences prend la tête d’un palmarès qui honore l’amateurisme et le je-m’en-foutisme des élus de la majorité municipale. Monsieur Moraline, l’homme qui coupe les têtes qui ne lui reviennent pas tolère chez les siens des violations répétées des règles de droit. Braun-Pivet devrait pourtant assister à ce conseil … elle y verra son loulou se faire croquer tout cru. Un teckel dans la gueule du loup, le spectacle méritera le détour. Mais on sait déjà qu’elle a mieux à faire … un tour de France pour préparer 2027 … ! De

Maud Pentecoste : la disgrâce d’une courtisane

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La vidéo* postée à la veille des municipales par la colistière de Naboléon prête à sourire au lendemain de l’abrogation de ses délégations à la petite enfance. La courtisane n’avait pas de mots assez doux pour celui qui la jetterait comme son premier kleenex. Paré de toutes les qualités le candidat devait transformer le Vésinet en havre de paix ; à l’écoute de tous et toutes il saurait faire de la ville le phare de la Communauté et madame Pentecoste œuvrerait au bien-être social. Comment une personne – a priori sensée – a t-elle pu rédiger une telle ode à Médiocre 1 er ? De ce monde de voyous Mme Pentecoste a été éjectée. Son allégeance n’a pas été récompensée, sa courtisanerie signait une telle naïveté matinée de duplicité ! Tout ce dont un avocat apprend à se méfier .... Travailler pour une voyoucratie impose d’en accepter les règles. La macronerie et ses avatars sont des voyoucraties. N’y survivent que les initiés, les profiteurs et leurs obligés. Mme Pentecoste découvre à ses

Tir à l’arc : les pigeons paieront !

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Le « fameux » projet de Pas-de-tir-à-l’arc pour l’entraînement des athlètes lors des JO a connu le sort de tous les travaux portés par le Foireux : le fiasco* ! Les bouffons de Carnot se sont encore ridiculisés … annoncée à grand renfort de gonflette la putative contribution de la ville aux J O aura coûté plus de 300,000€ aux pigeons Vésigondins … Rien n’était disponible à temps et les athlètes Ukrainiens, censés être accueillis au Vésinet se sont entraînés chez des gens sérieux … à St Germain. Un ratage absolu qu’aucune organisation ne laisse passer sans sanctionner. Le Foireux, un multi récidiviste aussi besogneux qu’agressif a-t-il été renvoyé à ses études musicales, une poissonnière échappée du vieux port y a-t-elle été réexpédiée, un VRP monté sur talonnettes a-t-il présenté sa démission pour avoir outragé le nom du Vésinet ? Non, dans ce monde endogame le ratage est dans l’ADN. Si l’échec était sanctionné Vicq-Appas, Maetz, Roman, Delpeuch et tutti quanti seraient retour

Gué Ré Mi fa sol … ou les ravages de la flagornerie

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La diatribe* ampoulée - en guise de tribune - de l’adjoint à la culture dans la dernière livraison de la revue municipale est une provocation. On connaît cette petite musique, qui s’inscrit dans une mouvance néo fascisante faisant de toute critique de l’action municipale un acte de sédition. Oui Monsieur Guérémy votre aversion pour la moindre contestation vous conduit à écrire des inepties. Votre asservissement à un groupuscule minoritaire désole ceux qui vous ont connu libre et indulgent. Vous êtes en service commandé et commettez la bouillie pour laquelle on vous rémunère. La violence exsude de tous les pores de la peau de cette majorité qui ne sait que maltraiter le personnel, les élus et les administrés. Ce n’est pas votre petite musique qui apaisera la "terreur" que la mairie et ses porte-flingues déversent sur la Ville. Maltraitance des associations, agressions verbales réitérées des membres de la majorité à l’encontre de Madame Carré, refus d’éditer sa tribune, m

Un Vidal peut en cacher une autre !

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A quoi sert un Vidal ? Sauf à être pochard hermétique à l’Internet, pour le contribuable vésigondin un Vidal n’est qu’un vulgaire profiteur. Patrick détient la palme de l’absentéisme* dans deux aréopages financés par nos deniers : le conseil municipal et l’assemblée communautaire. A ce titre il a été repéré et son signalement figure sur les réseaux qui détectent les élus bons à rien. Sauf à encaisser des jetons de « présence » grâce à leur copinage notoire avec une haut perchée. Normal que Braun-Pivet soit favorable à une hausse des impôts pour toutes les classes sociales, il faut bien faire raquer le populo pour engraisser tous les Vidaux que la macronie laisse prospérer. A 300€ par mois, à la fin du mandat ce gugusse aura coûté 6*12*300 = 21,600*1,5 pour les charges, soit 32,400 € aux contribuables du Vésinet. Tous les Ritaux ne sont pas des maffieux, alors qu’attend Cora pour l’expulser ? D’autant que l’enrichissement sans cause est un forfait qui relève de l’article 40 !

La dame de Montesson

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Tout le monde ne peut pas crécher au Vésinet, certaines doivent se contenter de sa proche banlieue, Montesson. Inutile d’en faire toute un fromage, toute une histoire, le déclassement de madame Roman serait de nature anecdotique, un micro détail de la vie municipale si l’impétrante n’était plus maire-adjointe en charge des petits enfants de vrais Vésigondins ! On comprend mieux son désintérêt pour la qualité du service rendu aux familles dont la progéniture subit les affres d’une rentrée catastrophique. Crèches fermées, personnel excédé, parents outragés. Madame Roman est un bon petit soldat qui obéit aux ordres de la maison-mère. Son cas serait insignifiant si elle ne s’était récemment installée dans une commune respectée pour la qualité de son système éducatif. Dès lors sa démission devient une évidence de salubrité publique que seule la perte d’une rémunération peut rendre douloureuse. Et monsieur le maire, très attentif aux règles d’éthique et d’honnêteté l'a certainement

Braun-Pivet : la mouche du coche !

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En s’attifant d’un vulgaire jean pour accueillir sur les marches du palais Bourbon Michel Barnier – costume cravate et pompes cirées - Braun-Pivet insulte le troisième personnage de l’État. Indécence pour les uns, outrage aux bonnes mœurs pour la génération des babyboomers dont Barnier est l’un des derniers Mohican. Sans doute a-t-elle voulu signifier qu’elle lui sacrifiait son week end … On l’avait quittée en débardeur, on la retrouve en jean ! La donneuse de leçons d’accoutrement aux élus de LFI n’en est plus à une provocation près. Dans son job de potiche il lui faut exister. Braver les convenances est sa manière de combler le vide sidéral de son bréviaire politique. Sur CNews ce matin encore elle alignait les lieux communs – domaine où elle surclasse madame Michu - sans qu’une phrase ou une analyse ne puisse retenir l’attention … erreur, sauf une ! «   Moi-je a demandé la convocation du parlement en session extraordinaire  » La proposition est lunaire … indécente même au rega

Au Vésinet, une justice aux ordres ?

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  " L'affaire " fait grand bruit.  (extrait Le Parisien du jour ) La révocation sine die au cœur du mois d'août de Bernard Grouchko scelle s'il en était besoin la collusion du pouvoir judiciaire avec la voyoucratie locale.  Éjecter Bernard Grouchko de son siège de chef de l'opposition municipale devait se faire toutes affaires cessantes, sans même entendre le présumé innocent ! C'était pour la justice une affaire d'importance qu'il fallait juger avant de l'avoir instruite. Le prochain Conseil municipal étant prévu fin septembre Coradetti exigeait que la place soit dégagée pour empêcher son prédécesseur de fustiger une fois encore l'incohérence et les gabegies de la majorité municipale, sans oublier son despotisme qui s'exprime "mieux" que jamais avec l'instrumentalisation d'un tribunal. Coradetti aura montré que même au fond du trou il peut encore creuser ... mais là où la sidération nous submerge c'est en réalisa

Paradoxe

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7ème au classement des villes de France les plus friquées (Fig de ce jour) le Vésinet héberge plus de 8.500 foyers peuplés de gens pour l’essentiel brillants, à commencer par les lecteurs de ce blog. Bien sûr quelques buses en ont fait leur nid, quelques VRP en imprimantes y ont posé leur niche, quelques sot(te)s s'y sont haut perché(e)s. Le paradoxe est renversant. Comme être représenté par des QI à deux chiffres, par des malotrus dilettantes imbus, précieux et vaniteux a contrario des villes voisines dont les échevins sont la fierté des habitants. Carrières, Chatou, Croissy, Le Pecq et Maisons-Laffitte ont su dénicher des talents dont la longévité atteste la capacité à gouverner sérieusement leur apanage. Ils ne pètent pas plus haut que leur c… et satisfont pour l’essentiel aux attentes de leurs administrés. Ici règne la bouffonnerie, la gonflette chère aux Aldo … Un vacataire atrabilaire, teigneux et vindicatif fortuitement logé au premier étage pour exécuter les basses œu