Le HURON

Au fléau national d’avoir à supporter un président hors sol le Vésigondin doit endurer un avatar local, qui en cumule les défauts sans avoir le début d’une intention de servir sa ville et ses habitants. Un cluster d’incapables élu par 1677 des 12.000 inscrits s’est approprié les manettes comme s’il s’agissait de la dernière Play Station … ils font joujou et crament la caisse. Mais, questionneront certains plus rapides que d’autres en calcul mental, comment est-ce possible avec 14% de diriger une ville ? Il suffit de souffrir du troisième fléau qui frappe le Vésinet depuis belle lurette: la dissidence ! Au premier tour des municipales 2020 6 (six) listes se disputaient les électeurs de droite, aucune ne représentant l’extrême droite. Trois restèrent en lice pour le second tour, le cumul de leur voix : 3477 est supérieur au double celles de l’avatar. Les chiffres ne mentent pas. En se recollant elles peuvent dégager le clone de l’imposteur et faire oublier les deux dernières anné

Le marchand d’illusions a liquidé son stock. Plus rien n’y fera. Les boniments sont usés jusqu‘à la corde. La distribution de chèques en bois pour "alimenter les poêles", dernière supercherie consistant à distribuer 100€ aux ménages dont le revenu avoisine les 5.000 est une insulte à notre bon sens paysan. Macron et ses charlatans sont démonétisés, ils gesticulent dans le vide et le roi Keynes a les poches vides. Partout on vous l’explique : «  on n’a jamais vu ça !  »   Des prix qui explosent, des magasins sans denrées, des pharmacies sans médicaments, des centres de soin sans médecins, des hôpitaux sans urgence, des écoles sans enseignants … et demain des ampoules sans courant ! La France s’est tiers-mondisée : il n’y a que Macron et ses obligés qui se haussent du col pour fustiger les plaintifs. Tout va bien puisque : « c’est pire ailleurs ! »    Les sires-pompes dans leur infinie servilité font savoir que sa Majesté dans le souci de la bonne santé de son troupeau

La prestigieuse récompense sera-t-elle décernée par ses administrés à Bruno la science ? Le problème était simple : comment informer les automobilistes que leur ville est devenue une zone 30 ? Deux solutions s’offraient aux édiles qui abusent du droit d’emmerder leurs administrés. Celle qui découle du bon sens, et l’autre. Dans le premier cas, à l’instar de Paris (30), St Germain (45) et Chatou (30) vous indiquez, sous le panneau d’entrée dans la commune que celle-ci   est à vitesse réglementée inférieure au 50. Le résultat est obtenu avec une économie de panneaux, de nuisance visuelle et à un coût minimum. C’est la voix du bon sens explorée près de chez nous. Et puis il y a le choix du Vésinet.   Ville soumise aux loufoqueries d’une clique de branquignols qui s’est distinguée par sa vélocité à cramer la caisse.   Pour imposer à l’ensemble de la ville le 30 à l’heure déjà déployé dans les zones périscolaires vous disséminez une profusion de panneaux selon la rigoureuse métho

Et Jupiter fit tomber la foudre … ! Il ne faut pas en rester à l’écume des choses, aux deux petites phrases dont la juxtaposition amène la déflagration. Comme si tout cela résultait d’un effet sans cause. ( billet du 23 décembre) Revendiquant le choix du « off » «  J’ai toujours fait comme ça. Ce n’est pas à vous de décider ce que j’assume de dire publiquement ou non. Sinon vous ne franchirez plus la porte de ce bureau … " La même Présidente de la Chambre dira quelques jours plus tard : «  Moi j’ai des convictions, je les porte, et je trouve qu’on devrait assumer ce qu’on pense quand on fait de la politique. Donc pour moi, ce qui est off, ça n’existe pas !  »  D’autres marcheurs se sont reniés. Mais jamais à ce niveau de responsabilité, sans l’once d’une justification une figure politique n’avait poussé le cynisme à ce degré de paroxysme. La première phrase à l’adresse des journalistes du Monde n’est rien moins que du chantage, une menace pas même voilée. Ou le journa

Passé un certain âge, on flétrit et on s’étiole comme la Fleur d’Or de notre belle commune. Quand on connaît l’action de la Fondation pour le Vésinet pour replanter des arbres, on ne s’étonne pas qu’à la Mairie, faute d’idée originale, on se rabatte sur les idées des autres pour essayer de briller. Mais aurait-on oublié que des nombreux arbres plantés notamment aux Ibis cette dernière décennie, beaucoup ont dépéri faute à la Municipalité d’assurer entretien et arrosage, particulièrement en période estivale. Voilà encore un bon exemple d’argent dilapidé par des élus qui n’ont pas le sens inné du bon usage des deniers versés par les contribuables. Aujourd’hui annoncer que Le Vésinet va postuler à un label 4 arbres est une supercherie. Elle évite de mettre en cause les élus en charge de l’urbanisme et des espaces verts, ainsi que les services municipaux associés (même si leur responsabilité est moindre puisqu’ils dépendent des directives   données – ou pas - par les élus). Pourqu

Jupiter n’est pas Zorro ! Après avoir affirmé que le masque n’était pas nécessaire. Après avoir constaté que l’on n’avait pas suffisamment de masques quand ce fut nécessaire. Après avoir stocké des masques plus que nécessaire. Voilà que la Macronerie, une fois de plus, démontre son incapacité à gérer correctement le moindre sujet, à anticiper la moindre nécessité. Ces incapables notoires viennent d’annoncer la destruction de 100 000 000 de masques qui soit disant allaient être périmés. Le quoi qu’il en coûte de Jupiter se transforme en faisons n’importe quoi ! Une fois de plus la gabegie et l’inconséquence sont au pouvoir. Que des masques soient éventuellement en fin de vie pour être utilisés en milieu hospitalier, on peut éventuellement l’admettre. Mais comment a-t-on pu laisser se périmer un tel stock de masques. Jupiter a bien fait de supprimer l’ENA qui s’avère être l’école des NULS. Pour le moindre CAP de comptabilité, ou le moindre BTS et encore plus pour être di

L’article du Monde sur les dérives du « off » en politique est édifiant. «  J’ai toujours fait comme ça, sermonne la député des Yvelines … Ce n’est pas à vous de décider ce que j’assume de dire publiquement ou non. Sinon vous ne franchirez plus la porte de ce bureau …  »    Propos tenus en privé en novembre et rapportés par le journal du soir pour lui imposer le « off ». La même Y. Braun-Pivet en interview sur France Inter le 11 décembre suivant :    «  Moi j’ai des convictions, je les porte, et je trouve qu’on devrait assumer ce qu’on pense quand on fait de la politique. Donc pour moi, ce qui est off, ça n’existe pas !  »   Madame Braun-Pivet apparait pour les auditeurs toute de lin blanc et de probité candide vêtue. Le plus dramatique des rapprochements. Menterie, double langage et hypocrisie : pour masquer sa vacuité on ne se refuse rien. La macronerie réduite à ses fondamentaux : le néant ! Cette élue 4 ème ème dans l’ordre monarchique jette le discrédit sur son institu

C’est une pépite méprisée issue de la mandature de Jonemann fils. Initiée par deux élus de sa majorité l’idée d’une Fondation pour le Vésinet s’est vite imposée et s’est donnée pour premier objectif : faire renaitre le parc des Ibis à la façon du comte de Choulot Le principe du cofinancement des replantations est avalisé par la ville : achat des sujets par la Fondation, mise en terre et entretien assurés par les services municipaux. Des centaines d'arbres implantés de 2014 à 2020 à la satisfaction générale  …  D’ailleurs les 4 fleurs ne sont pas venues de nulle part, mais d’un travail acharné impulsé par un maire puis développé par la Fondation qui n’avait d’autre agenda que de protéger et d’embellir notre environnement privilégié.   C’était il y a une éternité ! B. Coradetti a débarqué, des fleurs ont flétri, l’effectif municipal a fondu, des 24 fantassins œuvrant sous la houlette de Louis Ricard il n’en reste pas même la moitié. Quant aux sous-traitants, aucun n’aura po

Interdire, sévir, punir : le triptyque des chefaillons. L’ayatollah devient grotesque. Non content de censurer, de poursuivre, de calomnier, depuis son siège éjectable le Cora infligera dès le 1er janvier aux Vésigondins la plus grotesque des limitations : 30 km/h dans l’agglomération ! Est-il besoin d’imposer une limite dans une ville où circuler à 30 à l’heure relève de l’exploit ? Quoique trop nombreux les rares accidents sur la voirie ne sont pas causés par une vitesse excessive mais par un manque de vigilance aux torts souvent partagés. Ce fut le cas des derniers accidents impliquant des véhicules roulant à des vitesses bien inférieures à 30 à l’heure. D’ailleurs qui pourrait rouler plus vite sur notre réseau parsemé de gendarmes couchés, de coussins berlinois et agrémenté par des stationnements en quinconce ? Les attendus de cette décision insultent l’intelligence : le différentiel de consommation réduirait ... le réchauffement planétaire, comme l’économie en décibels

En voila une Villaine histoire dont la maison paroissiale se serait bien passée. Qu’un ancien curé du Vésinet oublie ses vœux de célibat, que son successeur à la paroisse Ste Marguerite - devenu vicaire général - soit en charge d’instruire rend encore plus délicat la communication épiscopale sur ce douloureux dossier. On réduira au minimum le narratif qui met en cause deux personnes majeures dont la plus jeune et de loin ne semblait pas tout à fait vaccinée en 1990 lors de la commission des faits.   Cette relation qui n’a aucun volet pénal, va faire deux victimes. La jeune femme tombée sous emprise et le vieux curé rattrapé sur le tard par la narration détaillée de la première. L’Église a ses règles, libre à elle de les appliquer avec mansuétude ou sévérité. L’État a ses lois qui sauf informations cachées n’ont pas été bafouées. Alors pourquoi l’exhumation post-mortem par la paroisse du Vésinet datée du 12 décembre ? Pourquoi faire peser le poids de l’infamie sur cet homme e

Passé un certain âge, au Vésinet on perd un peu la boule et Alzheimer prend le dessus. Comme Jupiter et sa « manque de limites » n’ont encore rien décidé concernant l’âge de la retraite, Foutriquet est un peu perdu et sa Haut Perchée manque de hauteur pour lui dicter une ligne de conduite. Ainsi, au Vésinet selon l’humeur des uns ou des autres, on devient vieux soit à 62 ans, soit à 70 ans ! Et, dans les mêmes documents on est invité ou on ne l’est pas. Conclusion : la pétaudière est au pouvoir chez les élus du Bd Carnot. Par contre, il est une constante dans la Macronerie … tout se fait au Gymnase. Que ce soit l’invitation des Ptits vieux au Gymnase pour une partie de jambes en l’air par la candidate aux législatives, ou encore réunir le personnel municipal pour recevoir la bénédiction du Père Foutriquet, ou enfin danser sur l’air des Lampions pour écouter toutes les non-réalisations du Maire, tout est bon pour accueillir les « t’as mal où » à Matalou. Notre premier magistrat

Au fil des ans on ne s’y fait toujours pas. Nulle embellie, pas même l’espoir d’une amélioration, le maire et ses comparses se complaisant dans leur médiocrité … ils en ont fait une marque de fabrique.   Coradetti c’est déficit et autocratie, soit Rital 1 er plus l’incompétence. Un opposant forcé de garder sa langue dans sa poche (photo ) s’est lâché croyant énumérer l’ensemble des ratages de la municipalité. Il doit avoir la mémoire courte, il en a omis autant qu’il en a listé … ! Retard injustifiable sur la livraison du Parc princesse, Explosion des coûts de ce même parc, Explosion des coûts de rénovation de la crèche princesse, Prix d’achat exorbitant de la maison médicale, Circulation dangereuse devant les écoles élémentaires, Échec du projet Le Vésinet JO 2024, Échec du projet de réaménagement centre-ville et place du marché, Fiasco de la navette électrique. Cette liste à la Prévert passe sous silence d’autres échecs tout aussi affligeant que ce blog a souvent évoqués, sans

Y-a-t-il une outrance qu’il nous aura épargné ?  L’épisode qatari de Macron est une suite d’outrages à la décence. De son comportement de guignol à l’issue de la demi finale à ses effusions grotesques (ici en photo) les français auront vu le pire chez ce Président omni présent là où on ne l’attend pas. Savoir rester à sa place est un signe de distinction, aussi de respect pour ceux que l’on souhaite honorer. Faire l’intrus pour capter l’œil des caméras, s’immiscer sans discernement là où retenue et sobriété seraient de bon aloi signent le manque de convenances de ce parvenu   nourri sans être jamais élevé. L’indécence a aussi un coût que le blog a récemment évoqué. Un journaliste du Point s’est inquiété des conséquences sur le réchauffement de la planète des virées présidentielles. Leur énormité fait froid dans le dos. Macron et sa suite ont généré 500 tonnes de CO2, soit l’équivalent de 50 année/homme d’empreinte carbone, et couté en frais directs 500.000€ dans un pays au dé

 Depuis jeudi B. Coradetti vit sous la menace d’une comparution devant la 17ème chambre. Coradetti le donneur de leçons, le justicier, l’impitoyable pourfendeur des pamphlétaires et autres contempteurs est passible d’une condamnation pour des propos polémiques susceptibles d’une qualification pénale. Longuement mis en cause pour sa gestion de la ville en 2019 le maire sortant a tiré plus vite que son ombre foudroyant le paltoquet, livide comme un matin blême.  «  je vous assigne en diffamation ! «  La scène fut aussi intense que brève. B Coradetti aura beaucoup de mal devant le juge à expliquer qu’il lui aura fallu trois ans pour mettre en cause la sincérité des comptes 2018 et 2019. Quant à imputer à un élu la responsabilité d’une faute encore eut-il fallu qu’il ait un avis de la cour régionale des comptes … qu’il n’a pas saisi ! La diffamation sera établie si l’intention de nuire est démontrée. Les moyens de la preuve sont si nombreux que la victime n’aura qu’à piocher

Dés mars* l'information avait fuité, partiellement. Les plus pessimistes tablaient sur une dérive des coûts associés au chantier Princesse située entre 2 et 3 millions €. Ils étaient loin du compte.   5 millions !  soit 18% de la masse budgétaire … le coût de la nullité ! L'annonce en a été faite par un Maetz livide lors du conseil municipal du 15 décembre.  L'adjoint aux finances a créé la stupeur en jetant le chiffre de 4.777.268 € de dépassement devant une opposition médusée. l Le trou dans le budget ne pourrait être comblé qu'en explosant la dette ou en taxant chaque foyer fiscal de 1.000€. La dérive a pour causes : incurie et dilettantisme .  Le chantier Princesse n’a plus été géré après la purge déclenchée par les nuisibles. Le projet était pourtant sur les rails, bien ficelé et financé quand les pieds nickelés ont accaparé les commandes, refusant d’associer l’ancienne équipe pour un passage de témoin efficace, et liquidant le patron du projet, le DST de

Le maire aurait-il mis les mains dans le pot de confiture en autorisant le détournement du domaine public à des fins partisanes ? De quelle nature serait son péché : véniel ou capital ? D’aucuns prétendront qu’ignare les lois de la République lui passent largement au dessus du bonnet. Quant à la grande prêtresse, la très Haute Perchée, elle n’a que mépris pour les toutous et les caniches du Vésinet qui ne sont que génuflexion et reptation quand la Diva apparait. Mettre à disposition un équipement municipal, assurer la logistique pour accueillir 200 pèlerins communiant à la tambouille macronienne a un coût, comme l’a rappelé en Conseil Municipal Mr T. Gripoix. Les frais exorbitants pour assurer la sécurité des caciques de Renaissance 78 et de la Haute Perchée vont plomber les finances d’une ville en quasi faillite. Et ces agapes partisanes seraient payées par l’ensemble des Vésigondins ? Sans omettre que mander des agents territoriaux pour complaire aux caprices de la star, relè

Narcisse a trouvé le rôle qui sied à son ego : récupérer la juste affection des vrais gens pour une équipe de France au parcours insolent. Laisser ruisseler les résultats élogieux de Deschamps et de ses boys jusqu’à sa petite personne, peu lui chaut si au passage la stature présidentielle est guignolisée.  (ci-contre ) En chute dans les sondages, empêtré dans une réformette des retraites puisque la réforme des réformes était - disait-il en 2018 - le passage au système à points. Le seul recul de l’âge de départ étant indigne du grand Réformateur aux commandes de la « Start-up nation » ! Aujourd’hui il puise dans les arsenaux de la démagogie, il renie l’effort d’exemplarité et la fameuse « fin de l’abondance » en s’offrant deux allers-retour à Doha pour tenter de booster sa popularité. Il fait du Hulot, monsieur Hélico, le recordman des émissions de CO2 qui prêchait pour le … vélo ! Quel rôle a pu jouer le président dans le parcours des footeux ? Aucun, tout juste si sa ministre a

Encore un projet qu'il est échoue à mener à terme Hier près d'un millier de lecteurs a découvert stupéfait le despotisme de son maire. L’interdiction faite à un conseiller d’opposition de célébrer un mariage a soulevé une vague d’indignation comme ce blog n’en avait plus connu depuis les joutes municipales.  Comme une flamme toujours prête à se ranimer quand des arrivistes s’ingénient à attiser leur propre détestation. Faute de réalisation, faute d’affection pour les administrés leur seule façon d’exister est – après les avoir ignorés - d’emmerder les Vésigondins. A moins que la provocation ne soit dans leur ADN … Une trésorerie exsangue, des projets en berne, des relations conflictuelles avec les voisins, l’année qui s’achève a été marquée par le fiasco des ambitions claironnées lors du débat 2021 de politique générale. Aucune des intentions manifestées n’aura vu le début d’un commencement de réalisation. Les travaux se sont révélés herculéens pour les lilliputiens du