Conseil municipal, dissolution et modus operandi
Ils sont 13 à la table du conseil municipal horresco referens. Ces élus d’opposition forment plus d’un tiers des membres du conseil (33). Leur démission collective entrainera ipso facto l'exécution par le préfet de l’article 258 du code électoral*. Nolens volens il devra dissoudre cette assemblée. Les piaillements de la haut perchée n’y changeraient rien. Dura lex sed lex . A les entendre Naboléon et sa grande armée de bras cassés conduisent la ville à la déroute. Les interventions lors du débat budgétaire ont effacé toutes ambiguïtés : autant d’orateurs autant de contempteurs du fossoyeur. Ses errements, unanimement dénoncés, ne cesseront que par son élimination. Bis repetita , mais cette fois le marquis sera du bon coté du manche. Le temps presse. Moins d'un an avant la prochaine échéance une disposition légale rendrait l’opération impraticable. C’est en septembre qu’il faut agir, pour que la convocation aux urnes tombe fin d’année. Période funeste pour le Naboléo