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Affichage des articles du mars, 2024

Les Bruno le maire : des tocards !

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A Bercy comme au Vésinet les comptes sont dans l’extrême rouge. A Bercy comme au Vésinet les Bruno le maire contemplent leur propre déconfiture avec morgue et délectation. Incompétents auto satisfaits ils produisent du déficit pour mieux donner des leçons de bonne gestion. A les écouter ils maîtrisent, de fait ils subissent. Entourés de leur valetaille le réel leur échappe. Alors On étale sa munificence en engraissant une kyrielle d’obligés … regroupés en sociétés de conseils … ! Surtout on masque leurs coûts en ne publiant pas les montants versés aux récipiendaires dans le registre des décisions ! Comme l’a très justement rappelé un chef de l’opposition. (CR du dernier CM). La faillite de l’État macronien, celle de la municipalité excipent du même virus : la prétention à détenir la Vérité. Contre toute évidence, alors que tout fout le camp les deux Bruno annonent les mêmes sornettes et conchient leur contempteurs solidairement qualifiés d’incompétents. Sans la moindre décence pour

L’AVNR perd le Nord !

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La vénérable association fait peau neuve : Elle perd le Nord pour étendre son emprise. Il n’y a pas que chez Poutine que l’on a des visées expansionnistes ! Les 550 hectares de la ville sont désormais sous le contrôle de l'institution septentrionnale, et pas que puisqu’elle lorgne aussi sur la voirie limitrophe, histoire de montrer que l’empire n’a pas de limite .. . Gérée en père de famille, peu sensible aux modes et aux coups de com l’association qui fêtera bientôt ses 20 ans a survécu aux turbulences qui sporadiquement enflamment la vie municipale. Alors quand elle fait sa mue ça ne risque pas de susciter l’effroi au Château. Pas de sit-in en perspective ni de blocage de la circulation comme l’avait théorisé feu KLM. Avec une mairie à la clé ! Entre gens de bonne compagnie on préfère jouer la modération teintée d’obstination plutôt que l’affrontement et la confrontation. On sait avaler les couleuvres, bouillir sans fumer, attendre sans désespérer puisqu’ il n'est pas de

Braun-Pivet : la conseillère municipale se flagelle !

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Tout Braun-Pivet condensé en une phrase : «  Les français attendent de leurs élus qu’ils se consacrent à plein temps au mandat qu’ils leur confient  »* Eh ben voyons … nous autres Vésigondins restons comme deux ronds de flan, pantois ! La conseillère municipale intermittente, rarement présente, jamais impliquée, jamais attentive, jamais concernée par les débats donne des leçons de civisme … aux autres ! Nul n’est obligé de siéger, des circonstances peuvent conduire à abandonner un mandat. Il existe même une procédure qui permet au maire de faire démissionner un élu « inexistant ». Ce qui est le cas de Braun-Pivet porteuse d’un mandat de conseillère sur la liste majoritaire, qui s’occupe lors des rares séances qu’elle honore à rédiger ses mails sans lever le nez. Être sincère et tenir ses engagements sont a minima ce qu’un citoyen est en droit d’exiger d’un élu. Avec Braun-Pivet on a eu l’absentéisme, le double langage, la caution d’une équipe de menteurs patentés et aujourd’h

Braun Pivet : « Sus aux riches »

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Plus de doute : Elle en a ! C’est l’Éon de la république. Prôner la taxation des riches quand on est l’élue du Vésinet n’est pas le fait d’une eunuque. Chapeau bas pour notre conseillère municipale. Elle aura contribué à la ruine de sa ville et la sur-imposition de ses habitants. Le Huron est admiratif de ces médias couillus (Service public) qui lui laisse débiter que la France victime d’aléas comme l’Ukraine, le Covid, la hausse de l’énergie a su gérer au mieux ces épisodes douloureux expliquant la quasi-faillitte de l’État, sans lui rappeler que des pays européens logés à la même enseigne dégagent pour certains un excédent budgétaire. Qui osera dans le monde politico-médiatique renvoyer la haut perchée à ses contradictions. Outrancièrement défrayée pour faire de la figuration, abusant de privilèges monarchiques qu’aucun pays comparable n’offre à de simples élus elle se pose en Fouquier-Tinville des riches et réclament qu’ils passent à la casserole. Ah ça ira ! Un homme d’entre

Braun-Pivet : Non au cumul des mandats ! Oui à la proportionnelle !

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«  C'est une erreur de revenir sur le non-cumul des mandats, ça ne permet pas plus un ancrage territorial », a considéré Yaël Braun-Pivet, sur Europe 1-CNews. « C'est regarder dans le rétroviseur, alors qu'il faut regarder de l'avant. J'y suis extrêmement défavorable.  » Péremptoire, la haut perchée fulmine contre l’offensive lancée par certains députés de sa majorité pour abroger la loi interdisant le cumul. Je rencontre beaucoup de gens dans ma permanence du Vésinet pour tisser le lien avec mon territoire … argue-t-elle pour refuser cette demande. On ne va pas chicaner, s’étonner que nul ne l’ai jamais vue dans un commerce ou sur un marché, que jamais elle ne déambule dans les vide-greniers et autres foires-à-tout. Chacun trouve l’ancrage avec son territoire comme il le peut. 3 étoiles ou gargotes, au choix. C’est juste que Mme Braun-Pivet est inconséquente. Elle est restée conseillère municipale intermittente. Après une telle pétition contre les cumulards e

Faire mentir un constat trompeur ! by Coradetti

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Dans un courrier sur papier glacé B Coradetti fait le constat de la dégradation du Vésinet. Fugace lucidité puisqu’à la ligne suivante il rectifie en affirmant que ce constat est trompeur. Jusque là que du Coradetti pur jus, genre tout et son contraire. Là où ça se corse , c’est son souhait de « faire mentir un constat trompeur « (sic) On a beau retourner la proposition dans tous les sens on comprend que ça ne veut rien dire. Les deux négations s’annulant, Coradetti propose le statu quo ! Fallait-il prendre la plume pour reconnaître ce que tous les Vésigondins déplorent, l’état lamentable des lacs, pelouses et rivières … Parler un français intelligible n’est plus à la portée des maires du Vésinet. On se souvient de sa tentative d’importer l’écriture inclusive dans les documents internes à la mairie. Aujourd’hui c’est le principe de non contradiction qui est bafoué. Banal direz vous avec des illettrés. Encore plus inquiétant la volonté affichée ( La propreté de notre villle, tous

L’homme malade de la Boucle

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Propulsée malgré ses 18 % au premier tour à la conduite d'affaires qui lui étaient parfaitement étrangères la liste en marche a transformé la vénérable institution municipale en pétaudière.    Tout a été dit par les 4 orateurs de l’opposition – ultra majoritaires dans la population – mais une chose essentielle a été occultée. L’unanimité du diagnostic sur le naufrage financier et la débâcle morale du Rital et des obligés de Braun-Pivet. Quatre orateurs et pas l’épaisseur d’un papier à cigarette … quand il s’agit de dénoncer les calomnies proférées contre le Marquis, les tentatives avortées de museler le Huron et ses confrères. La violence exercée contre des conseillers d’opposition ou la religion du mensonge qui déferle comme la petite vérole sur le bas clergé à l’instigation de don Camillo et de son acolyte le grand Messe ! « Something is rotten in the city of Le Vésinet » aurait pu plagier le dernier orateur, plutôt que donner dans le latin du bas empire. Le Vésinet est s

Dictée dédiée à l'homme qui veut qu’on l’appelle Monsieur le Maire

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N’est pas Monsieur le Maire qui veut.  La dictée ci-dessous, exhumée d'un vieil almanach, va donner des boutons aux wokistes gauchos bobos écolos du Bld Carnot. Nous nous trouvons bien loin de l’écriture inclusive en vogue au château ...    "Monsieur Lamère a épousé Mademoiselle Lepère. De ce mariage, est né un fils aux yeux pers*. Monsieur est le père, Madame est la mère. Les deux font la paire. Le père, quoique père, est resté Lamère, mais la mère, avant d'être Lamère était Lepère.   Le père est donc le père sans être Lepère, puisqu'il est Lamère et la mère est Lamère, bien que née Lepère. Aucun des deux n'est maire. N'étant ni le maire ni la mère, le père ne commet donc pas d'impair en signant Lamère.   Le fils aux yeux pers de Lepère deviendra maire. Il sera le maire Lamère, aux yeux pers, fils de Monsieur Lamère, son père, et de Mademoiselle Lepère, sa mère.    La mère du maire meurt et Lamère, père du maire, la perd. Aux obsèques, le père de la m

Budget 2024 ou comment « gaspiller l’argent que l’on a pas ! »

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A Gabrielle Carré la palme pour cette formule choc. A Coradetti la noix d’honneur. «  Les impôts sont levés pour être dépensés  » Credo d’une irresponsable poche percée : celle qui contre tous ses engagements ruine la ville, explose la dette après avoir augmenté le coût des services et les taux d’imposition. Le ROB, puisque c’est l’acronyme idoine, doit permettre un débat d’orientation budgétaire. Sauf que M Goetschy a d’emblée questionné : les documents présentés ont-ils un semblant de sincérité ? L’analyse fine du projet présenté par Maetz confirmait que le mensonge gangrénait les documents budgétaires. Un exemple parmi mille, - la prétention que la renégociation des emprunts « Varèse » est une bonne affaire pour la ville, alors qu’elle plombe ses finances de 1 million d’€. Mr Goetshy le directeur financier crucifia le Maetz dont la mauvaise foi ne fait plus débat. 10M d’€ ! a tonné Stéphanie Cabossioras c’était le poids de la dette à votre arrivée. 10 M d’€ c'est le monta

Je le Haie ! by R. Bus

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Notre Ministre inutile de l'Agriculture, qui depuis des années ne fout rien dans son ministère, s'est pavané au Salon les bras croisés et ne semble rien appréhender de la situation.  Affirmer qu’il avait fait en un mois ce qui n’avait pas été fait en 10 ou 15 ans montre bien son inaction au Ministère au cours de ces dernières années. Englué dans un ministère qui fait tout sauf s'occuper réellement des agriculteurs et qui sort des directives plus idiotes les unes que les autres,  On vient d'avoir la démonstration que Mr.Fesneau n'a rien compris à la petite musique qui se joue depuis plus d'un mois. Pourtant, comme on l'a vu le 1er janvier, Mr Fesneau connaît la musique en s'exhibant au Concert de Vienne au lieu de s'occuper des agriculteurs. Souvenez-vous, Attal (le "petit moi") a très rapidement annoncé que les 14 normes imbéciles qui règlementent les Haies allaient être supprimées et remplacées par une seule. La semaine dernière, le M

Braun-Pivet : En Marche pour 2027 !

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La vulgarité va-t-elle entrer à l’Élysée*, avec sa sœur jumelle … la vacuité ? L’annonce ce matin sur Cnews/Europe 1 de la candidature de Braun-Pivet aux plus hautes fonctions n’étonne que ceux qui n’ont pas pris la mesure de l’égomanie de la haut perchée ! «  Je suis inspiratrice des femmes de pouvoir  » a-telle modestement concédé, justifiant sa légitimité à pousser le bouchon … «  J’ai montré la voie » Elle aurait pu ajouter qu’elle illustre jusqu’à l’absurde le principe qu’en politique seule l’obsession du moi peut permettre d’accéder au sommet. Sauf à s’appeler Hollande et être aspiré par le vide laissé par Strauss Kahn. De quoi Braun-Pivet est-elle le nom ? D’une compassion pour les populations affamées ? Qui n’est ni feinte ni sélective, comme en témoigne son attachement aux Restos du Cœur. D’une espérance, d’une idée, d’un projet, d’un changement de société … sa seule ambition - clairement déclarée - c’est de faire entrer une femme à l’Élysée … comme si le sexe d

Un signe … non, pas du tout … un Cygne, by R Bus

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On attendait un signe d’apaisement de Coradetti (celui qui veut qu’on l’appelle Monsieur le Maire) mais la nature fait mieux les choses que nos élus branquignoles de la majorité. Un Cygne est apparu au Lac des Ibis. C’est un miracle car, depuis des années, cette espèce avait disparu, chassée par les oies bernaches qui nous inondent de leur fiente comme une certaine élue nous inonde de ses propos malodorants et insultants. Combien de temps cet être solitaire va-t-il survivre dans cet environnement hostile ? Si quelques individus supplémentaires ne sont pas apportés rapidement, la réponse est évidente. Face à l’inconsistance d’une majorité municipale aux abois, qui dépense sans compter sur des sujets plus inutiles les uns que les autres, majorité incapable de mettre sur pied et de réaliser un seul projet intelligent, qui emprunte à tout va pour camoufler les trous qu’elle crée dans le budget, qui ment comme elle respire sur ses pseudo petites réalisations … la nature nous gratifie d

Inaction coupable !

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Que fait la mairie ? Recours purgés, le temple de la culture vésigondine est voué aux démolisseurs. Un trou béant au carrefour Pallu-Foch c’est le spectacle auquel on doit s’attendre avant l’érection d’un immeuble d’une vingtaine de logements. Dans deux ans, si ce n’est plus, une « librairie des lacs » rénovée, agrandie, accueillera sur deux niveaux les vésigondins lettrés, s’ils n’ont pas tous fui sous des cieux plus cléments. Quid de l’entre deux ? Quel devenir sera réservé à la dizaine de salariés conseilleurs qui s’activent en attendant de connaître la solution temporaire permettant d’éviter la disparition de cette enseigne ? Le flou règne. La ville se désintéresse du problème … pas l’ombre d’une esquisse de proposition ! Mais à quoi s’intéresse-t-elle, si ce n’est cirer les pompes de Braun-Pivet. Faire venir des bigarrés, comme ceux qui arpentent dorénavant les rue de la ville, est un job à plein temps ! Explosion de la délinquance, chute vertigineuse du chiffre d’affai

De quoi l’État se mêle ?

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Après avoir pré-panthéonisé l’architecte du rejet de la peine de mort, Macron programme le droit à supprimer la vie. Comprenne qui pourra. A force de légiférer, de s’immiscer, de dire le bon et le vrai, l’État se contredit. Et si l’État ne se mêlait plus de l’intime, ignorait les injonctions religieuses et laissait aux vivants – tous involontaires – le choix volontaire du trépas. L’instinct de survie est la clé des civilisations, le plus profond ressort de l’humanité. Nul risque qu’en laissant aux candidats à la solution finale le choix du moment ne se développe une épidémie de morts subites ! Quelle révolution copernicienne dans un monde judéo-chrétien de retirer à Dieu le monopole de la faucheuse. Quant à ceux qui excipent du serment d’Hippocrate l’impossibilité de demander à ses fidèles d’y déroger ils décontextualisent à des fins partisanes le testament d’un sage à des années lumière des problématiques de fin de vie du 21ème siècle. La moyenne des espérances de vie à son époque

V. Doro : une diatribe haineuse

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« Propos racistes, antisémites, xénophobes ! *» Termes extraits d'une diatribe haineuse proférée par une première adjointe en pleine possession de ses moyens. Nulle agression et nulle provocation ne pourront être invoquées à sa décharge. C’est à dessein que Mme D oro a ,  en séance publique du Conseil municipal, qualifié les billets signés du Huron. Coradetti a-t-il validé ces propos ? A-t-il intimé à son épigone de retirer  les qualificatifs infamants qu’elle venait de prononcer ? Il est patent que l’ensemble des élus siégeant dans le groupe majoritaire est solidaire d'un comportement aux accents calomniateurs quand ils ne sont pas diffamatoires. Le climat est à la terreur, pour paraphraser Mme Cabossioras. Madame Carré, monsieur de Chamborant, élus de l'opposition, en font les frais, le Huron n'est pas seul dans le collimateur. ( voir et écouter ) La diatribe fielleuse d'une groupie aux allures de virago – inouïe dans l’enceinte du Conseil – relève du

Du pénal pour un Rital ?

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Solidarité municipale oblige ! Le Rital rejoindra-t-il son exquise adjointe devant la 17ème Chambre ? Une double première pour le Vésinet. Une fierté de plus pour la haut Perchée dont le factotum risque moins la panthéonisation que l’humiliation d’une condamnation. S’en prendre avec véhémence à deux élus, les traîner dans la boue, les discréditer avec l’intention exprimée de leur nuire serait susceptible d'une qualification pénale, surtout si les faits inventoriés étaient inventés. Alors à la Cour de décider si le Rital devra perdre son éligibilité. A ce jour il reste présumé innocent. Certains maires se contentent de bien gérer leur ville, de rechercher un consensus et de faire profiter les administrés des impôts qui leur ont été prélevés. Pas au Vésinet : où le Rital explose les dépenses et la ville obtient la note de 4,9/20 au classement 2023 de toutes les communes de France pour sa gestion dispendieuse*. (avant l'explosion des emprunts + 10M€) Mais mal gérer ne lui s

"Un climat de terreur"

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Le Conseil municipal du 7 mars a eu à connaître d’un projet de délibération visant à financer les frais consécutifs aux actions du maire visant à faire condamner le Huron. Rital 2 ne fait qu’emboîter le pas de son « parrain » Rital 1 er qui s’était distingué par une avalanche de procédures contre le blog édité par Phénix. Résultats : Rital 1 er avait du quitter sa charge d’élu poussé dehors par le préfet, suite à des révélations de sa première adjointe susceptibles d’éclabousser sa réputation. Comme nul ne peut imaginer Rital 2 se transformer en micro « duce », s’ériger en censeur des critiques que ses actions – ou inactions suscitent – la rationalité des plaintes déjà déposées et de celle visant les billets du mois de décembre relève de la tambouille politicarde. Incapable de justifier ses errements, ses dépenses inconsidérées, ses libéralités (réelles ou supposées), le Rital met en place un rideau de fumée. Derrière cet écran il peut répondre à ses détracteurs «  regardez tout

Des oranges pour une Rombière ?

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La réponse de monsieur le président du tribunal judiciaire sera donnée avant les prochaines élections. La ville paiera-t-elle pour les dommages et intérêts qui sanctionneront son intervention lors du Conseil Municipal du 7 mars 2024 ?   Sera-t-elle inéligible ? Condamnée pour injures publiques es qualité de détentrice de l’autorité municipale la Rombière du Conseil pourra toujours trouver un job de poissonnière sur la Canebière !Pour le Vésinet, c'est compromis. Déjà citée pour agression verbale envers un électeur alors qu’elle présidait un bureau de vote, l’exquise adjointe du Rital est désormais visée nommément par une plainte avec constitution de partie civile. Les témoignages dûment confirmés avec signature et pièces d’identités ne permettent aucun échappatoire. La furie, et ci-devant copine de Braun-Pivet, est assurée d’une publicité dont le Rital pourra se vanter. Une équipe incompétente d’irascibles et de mal faisant entoure un édile disqualifié implorant les conseiller

Braun-Pivet : la girouette du perchoir

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Comment la présidente de l’Assemblée a-t-elle osé s’approprier la réforme constitutionnelle votée hier par les deux chambres, quand la présidente de la Commission des lois s’opposait véhémentement – le 11 juillet 2018 - à l’inscription du droit à l’IVG dans la Constitution . La vidéo est accablante pour la girouette du perchoir. Non seulement elle n’hésite pas, tout au contraire elle foudroie les députés qui souhaitent déposer un amendement au projet de loi constitutionnelle « Pour une démocratie plus représentative ». Le refus est sans appel ! « … l’inscription de ce droit ( IVG ) dans la constitution, je ne crois pas qu’il soit nécessaire d’autre par qu’il soit utile. A mon sens nul besoin de brandir des peurs de ce qui se passe dans d’autres pays pour estimer que ces droits seraient menacés dans le notre. Ce n’est absolument pas le cas dans notre pays et rien ne vous permet de l’affirmer.  » L’inscription de l’amendement a donc été refusée par Braun-Pivet en 2018 !!! Se glo